Lycus.r:en- B ithynie, qti’iJmoinme': centrismes l(!ifev?£/<n«^L
q®e IW'lcomptait parmi ceux qûïî^^ilkai%U^%pto5fi^-
nément de la corruption. CemomïiÀetcentrisquè^ q u i sq
rapporte à des,aiguill«»^( f;ïs$4ermmai&©k diminut
i v e , -qui in d iq u e^ u n ^ p fïte taille; son habitadojMasas
l ’eau êquce;y enfin J jËH j origine fabufeuse-; que pte îèh rs
écrivains d u ‘ mbÿen .Ige^n-t ; ^us^fattribu«ef àl%©ta?è. épi-
nocK.,é/4ont fait ^ïioire que l’epinophq pourrait bien-être
leiceptrisque&t/KJein s’^ft diéterminp^èri cqjîtéqué&G'èft’à
faire de çentrispus. le, uom dû^ënÿe.' PàtitéÉÔisf^clitei est
au m o in s^ u ssl ,bien fo n d é e i,èjsàè' la plupartqdë; dèlïfesî.sùr
lesquellésfreposent lès applications ifaiîtesjpaé’les'/modenies
de la nomenclature des"anciens.# 1 ^bep;énda^tkçâs‘ffaux
qüe l’épinoebe ^.naisse rpar «une: gé^ratian^ , sp ontanée>Rie n
n%es;t plu'a aisé>qUe_#^:réç'onnaîtias!les-dem sexesfiet nous
en ayons vu bien so 'u ÿ ^ '1 ïésNêufs^ 'qui slîîrÈ-'à^fez-gros
pou f d e ,à petits pois|opsri';$
Dànst nos .Tinsse aux des en virons, de /PàrisT l'es^^épinqf^^
fraient aux mois de Juillet et, ;d-Âo'ût.^^usiavons vvli des
femèlles jpleines d’oeufs dansdes.ddomûers i j éurS-^du , rifois
d’Àoût. Fabricius leur assigne, ausside>moisrde* Juillet au
Groenland; mais Monk dit que ce-ifrai,adieu(en |g g | | et
Juin »et nous trouvons ■ daUstleS'man.u's©Ëife*|dê. Balddër
que #’bst.€p0Avril. Peut-étfe^^||fè -'dafiference ment-ellfe à
ceSo que nous soupçonnons dans ïes>fe&p_èp&Sià l
■;^ous avons trouvé en effj^Tôo'mniie' nous lavons annoncé
au commencement de»leet article;-dans lésie%ux de
la France deux sortes d’épinockes, à trois ra y o is^ le s u n e|
(gasterosteus trachurus, nobr); ire vêtues tout d u long de
bandes écailleuses, les autres (gasterosteus leiurus,. noh.),
qui n’en ont que dans la région pectorale : mais pour tout
le re ste oes^poissons se re ss em b le n t te llem e n t q u ’o n p e u t
è n -faite UT^^d'escription c om m u n e .
Elles ne passent pas-trois pouces eh longueur. Leur corps est
..{«jSwiW-jMÿÿv et lainage. en -fuseau ; leur museau est pointu et leur
. I quèùe.foM mince; Leur hauteur est quatre fois dans la longueur
prisei^du bout du museau .à--la naissance de la caudale , et leur
r «X^aisseüjrt*est deux, foisv et demie dans la hauteur. La longueur de
i la tête >(est- le quart <J.ç, la longueur totale. Le profil supérieur descend
par unedigne légèrement convexe., et l’inférieur monte obliquement!
deppi^il'angle de. la mâchoire jusqu’au bout du museau,
; et va joindr&rien’j droite ligne lalifpurbe légèrenient convexe du
' .yeqire. L’oeife^est grand ; sqn diamètre fait un peü^plus du quart
;«<M|gladi>î|gveih:.'dë,1a tê te , et il est éloigné du bout du museau
«de?la longueur. de son diamètre.. Les sous-orbitaires, aif nombre
de frois^ôouvrent tout-l’espace entre l’oeil, la bouche et le pïéo-
-.percule; le.ÿ£trç>isième,\de forme à peu près (ferrée, va s’unir dans
, l’angle rentrant. du; .préopercule : ils . n’ont ni épines, ni dentelures.
Le préopercule, etr les autres pièces; op,erculaires en sont également
-^dépourvus ; mais..la-,surface de tQus.lesj.os est finement striée eû
, ' î.diyërs,-*.ii^.. L’opercule ;çst grand/ triangulaire, à bord postérieur
- , arj«qndi. éLe subopercule est étroit et coupé en arc de cercle j
liintëroperculé;A'est alongé : tous deux sont presque cachés sous
le > préopercule' et l’opercule; et-on'pourrait prendre aisément le
a^ éu s-o p e rcü le pour un rayon branchiostège. Les deux orifices de
^la-narine.sont percés dans une petite fossette qui est placée sur le
; bord aiitérieur ; du premier sous-orbitaire, et plus près de l’oeil que
• dWbâüstéâu.* La bouche-est un peu prQtractila; quand elle est fer-
-, tuée, la-'machoire inférieure avance un peu plus que la supérieure:
tout.es deux ont des dents fines et en velours sur une bande étroite,
mais il n’y en a point au yomer, ni aux palatins, ni à la langue.
Le dessus du, cranè est nu et-finement, strié, mais sans crêtes ni
tubérosités,’! L’ouverture des ouïes est grande ; on compte ..trois
!,-s5 raÿdiSîà la membrane branchiostège. La structure, de l’épaule mérite
d’être particulièrement étudiée; .je n’y vois pas de surscapu