Cette, .e^pèpe avait}étéA^rièjie^ent décrite en .îfjêÿ^à.
llsle-deéFrancé. par .Comin ersomj'fèt il en avait- formé un
genre qu’il nommait spurco; mais Sa description ne'paraît
pas avoir été connue^de M. de LacépèdèJ, qui n’a^pu parler
de ce moisson1 2 que d’aj^ès; un dessin au qjgMM^^Iafîsë
aussi par Coinmérson *. Ce _ deMn , jasséz mal faitj*surtout
relativèmæ'ut aux pectorales, a induit M*_ de en
quelques erreurs squ^Ia, mapij^^cjront pes/n^geqir^Sy sont
attachées et sur le nombre de leurs
_ Il nous paraît quei^ist* le même poàssorv.que Bloch3
a représenté sous le nom de synanceia verrucosd > 'mais
d^àp^gs- un individiî desséché au Übins en ‘partie. Les
différences des hombrês qu’il donne, eï^(îe!ceux*que nous
avons observés» se, réduisent à'p^pprè-s a rien* Il dit:
B. 1; D. 12/7fA. S/S-^C. 14j P. 11; VV1/&. ||
C'est encore cett'é ‘esjpOfoê Tque' M. Ehrenberg“ ,
pl. 3 ) nomme synanceia sanguinôlenià. Il dorfrïé pour
sës. nombres’:
i‘, b. 13/6j a. é f e f jr a k !»* f;.'iÿr'^
A la vérité > il ne lui attribue que quatre rayons branchiaux^
mais . e^est^ un noFmbre inadmissible.ff .
» ? |i^ individus sont venus de M&lé-de^Franoeq du Wai-
giou, de Me ’Strông’ et de celle de -Borabora j^cb'M Îes
devons à M. Mathieu, à MM. Qùoÿ et Gayihai’d f efJ à
MM. LessOîl ë¥^Cxarhot. Il est donc/prouvé que l’çspè&e
habité toutes* les parties chà^c$§j$ de".la mer_.d|t lédqllet
de l’océan Pacifique. ,
1. Hist, des poiss., t. DI, p. aSq.èt 372.
% I b ., pl..12, fig. i. , ,
3. Systema pisc., éd it, d e S & h n ., p l . 45.
L a ‘S'Yîir Ari c É f ï) o uble- fi l am ent.
ji -Ç^XSUtnceici bicapillata, nob.1 )
M. de LâCépèd’ë a aussi fait graver. ( t. I I , pl. 11, fig. 3 )
u n i i ^ h ^Éÿ^dîiEBfiâÉSon qui semblerait représenter le
poi^OTâ* précédent,* *■#'
si*ce n’élt qu!«n y voit deux’longs traits qui partent dé la nuque,
et qui pal'kissput annoncer deux filets dont nous ne trouvons pas
de tracés dans nos individus. Du'reste-, tout est pareil, sauf ce qui
peut tenir à l’état plus-.; où moins desséché , dans lequel était le
poisson quand ojjnl’a dessiné.
Malheureusement il n’existe pas de note relative à ce
dessin d|fhs'vdés’’t p'âpiéfs^de ’ Gommerson,' et c’est uniquem
e n t sur ! cWte figure que M. dé Lâcépède a établi son
espece.de la sporpène double-filament (t. III, p. a58 et 270).
Daus:tôus les'cas'il est certain que c’est une synancée très-
voisine de la^é cédente. Le dessin indique les nombres
dès* ra*yons comme .il* suit :
D. 13/7*; A. 3/5 ; C. 12; P. 1*7.
L e recueil manuscrit de peintures fait aux Moluques
pour Corneille dé Vlaming, nous offre trois figures de
poissons semblables pour la forme à ces h radiions, et qui
peut-êfre.n’en diffèrent que par l’inhabileté du peintre :
une brune à nageoires fauves ou rousses, intitulée calot j
une.grise avec des bandes verticales noirâtres, tachetées
de roux'et des taches r.oussés sur le gris; la troisième,
à peu près pareille, mais où le gris est remplacé par du
1, Scorpène double-filament, Lacép. ; Scorpoena bicapillata, Sh.
2. Shaw, ayant mal lù le nombre i3, donne à l’espèce dix-huit épines dorsales.
C’est une erreur que nous remarquons ici pour qu’on ne la copie pas.