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latérale Ia peau a de. plus» de chaque côté vers Ie düs, un er < :
noiiïbre de petites élevures ou tumeurs mollesrcooeraè des pustule
maïs tiuï cèdent sous le doigt.
•fei-«ondtent » ’est pas? plus foeils a décrire que sa forme. ..©m’c
se le représente gris, marbré de taches brunes de différente.- •■< ■
dèurs et teut semé de petits points Mânes, eonwaè s’iLétait un p<
saupoudré d è ferme. De pedtes taches Manches et noires se Moi
tvent sur h cf&tîe ert’MaffttilAMtèÿ.iiit 'éhih.lRM$rti MNMé diversifie:
: pt
te. Up
anas..
■vi .■. ■
i . tout semé de-.taeues ronues, noirâtres,
s du bord supériiiur, trols grandes tatdaes '
intervalles blanc de lait: extérieurement
liée comme le etjrps. Sà ■dorsale l’est de
toùtés ferunes,et l’anale 1est pour la plus
ï iji's de blanc dans ssti»oiééarttéïâmire ;
c 'éiffiîieri' soa pâtres; sur fin fend biaise. Le
liséré *^. iÉi*t Ihy'iS'dvjNiii _
rayons. Le ventre est blanchâtre.
'Ce. pélor filamenteux nous montre vro feiaaëséK|p*os;, situé, en
■ travers sous l’oesophage, et su prolongeant dans clmqne eôtê de
ïabdfômeii "en im lobe allongé et arroBcli e» arrière. Le droit, plus
eoQn que lé -gauche?- soutient la ésicule du fiel? qui est blanche ,
renne. Le canal, cholédoque est gros J assez
;nx'ï‘i'.îsitiurs vaisseaux hépato-eystiques, ilr:
,■ assez long, chargé en dèifeWé
'ituduamn: ; il se dilate en un sac arrondi en
ronde, de grande«
paralli
n VfàtatmBuii Ses parois sont plus minces que a les de
>t saé» plis à l’ingériliur. IV iferrièf'e éfel l’estoïnac, et
1 remonte vers le diaphragme une branche à parois
te termine dans la fourche du foifc Le pylore ? ouver t
de eette branché, est muni ^'<pittrë'a{^)gKli(lt|'éiiS>.
r, niais peu longues-: il y éû a deux de ^chtMjne côté,
imence par «noir un diamètre assez large, e t despèèms