Stellser ; n e # y Savait p o in t obser^ée^ e t elle |W f e i l
vue m ^ o plus p a r M. Tilesîus.
Le C ifab ô'i&sîfilif* k LÔ.w^^s^vï^iïi.iifes.
(Cottus v en traïïil noirf'C o ttu s ^pm l& id e s, G r a y ,^
M. Collée; a' rap p o rté au Muséum b ritan n iq u e plusieurs
P 01^ ^ ns nier d u R a rn cb a tk a^ujg.fi les cQjqsjejyateurs
^>9 ^ (q é isb ^ e-xj^blissép^enUpnt bien* v q p lu p e rm e ttre à
M. Yalencieunesvde . d e ^ u e ^ e t ^ d é c r i e , p o u r n o tre
ouvrage. > 11 se trouve dansMe n om b re deux, uespàees ,de
cba,boisseaux voisines (fcs précédeirtèsH Celle d u p r i e n t 1
article est su rto u t très-semblable -au cottns pùtilHgërfet f f
deN même H
rnijsH * $ * wlPdIl* |°u
plufi longue,
au W^PP™Cÿ^p4ije.ai 7^ S r4
du préopercule soiit_t^ks4 p o in ts, dontJes deux premi;^sf(|irjagée^
en avant, la troisième en armlle. Il y^alunejgelite épipe en. jjVant
de loeil, une jv^inte Çidj|sljî, qü plutôt ur^ ^ ro érosité /(f^Enjÿïe
îjPté f ; 1106^ - L’opercule a Æux j ^ sT»M memieie ddrüle,
® g t hâUte «P“ ia d euxiëïn^'t H’un quart s e u ^ e n t ^ ô i4 jo^nguë,
- n% que des rayons 'FaMk- les ventrales%ont fort alo'ijgéesV et
atteignent* au prémiisf t^ s ’^ ^ a n à le ! ' J
D. 9— 13; A. 17; C. '9; P. Î I æ S ^ '
La peau est nûé et lisse -, la ligne latéralè est formée cnnam» d’une
Suite de petits tubes lisses, , -
- -tLcèd?°|veSt brun’ Ç ^ c,^ é de noir/itre,; le yentre blanc:„quelques
tâdhes^ nuageuses marquent la jonction dé ces deux censeurs, Les
nagstkres tirent sur f orangé,1 eVhiit des points noirâtres sur leurs
rayons. v
L individu décrit n’a que. trois" pouces et demi.
L e 'C H Ai QISSEAU JrÔ RT E-kASSU E
^^(,Gbf|&|pjî?]0{i^er^nob. j ~Co ÿlegans, Gray) , 1
est unfi' sfi'oond’è'espè'ce provenant de la même mer et par
l i !mêm&voÿageur. Sàf physionomie très-distincte.
f » e m p t o y ' a Ç . a v a n t op jluliire orbite,' Farcade surci-
» l ^ ferwès-haute, et sépaféÇ'denefle de l’autre com par un sillon
profond. Tout m d^jslgs detij^fètë es^ cMgrmé. Son souVorbitâire
3 |s ’élârgi*; ejh ^vanaSjetl dqnné.deux pointes? Vuï aescenrdëpt sur le
' maxillaire la parue..d^^®^s;4aq:icme:eau: preoperciilè est large et
Fort épipfeuié. ï ë préopercule p l a i d e son*angle une' forte épine,
dirigée en arrive,'1 qjm-dépassl^ êmé la Paseg^ fa pectorale, et. a
ïj^ l^ ^c^n -è^lâp re jtavec deux petites pointes plus fermes. Le Bord
de l’iî^^-rrdé.et uu,peu deikep|en. sçiqfûl y a trpis fortes
, épipes, inférieur; llapj^rieure dirigée en ayant, la »posté-.
riepre erf ^ p | fe .la mitovennë presque droite^L’opercule est large.
. * long dé l’épine préôperculaire u n i carène
f l^ e v ë è W’e^sfi^iàfe :^ b n ;bord in ^ e u 'r a deu®;^®fèsfséi!s^celÉs
du préojretcule. Be„ l’afyièfe défïoceiput s’élëvétit ilèttt
pôltiVes 6bagrinéeS|^.nïous^|s, ârrô»dife%n mëssfees., un peu cour1
-• bées et comprimées. Les ' écailles d f la ligàedafciÉafe së&t relevées
| eliaqûn'èffd’un tu l^ c u le c d u ip rim é ,^ Bord dentelé en scie. Les
rayons des dpux^kp^les sont très-gjreÉêS ; les ÿèptiales. s fu t petites
D|6 —13;ÿAi.Hô?ïft. 11? P..16; V. 12/3*
Il y àyteoil lambeauslcutainés blancbâtres au-dessus -de l’anaîe.
La cou leu^ esu q nW n n foncé, disposé par bandes,verticales, au
; nombre deflteois'Ou quatre, sur unï fôBd marbré de blanchâtre. Le
ventre est blanc.
L’individu n’a |^ie deux pouces et demi.
Il n ||st possible de tenir comptéfdans un ouvrage
tel que le nôtre duj|poisson intitulé dans la Zoogi-aphie