'1 6 . LIVRE § fré® ftïèM E..'# »Ü E« . Gr^IR^SSÉES.
nuque et les„y;eu-x. Les y eux'ont, leurs orbites saillans, verticalement
au-dessus du crâné--et* du ‘ museau. Tktkr „intervalle ,es^ fini-même
très-saillant, rnais.moins'qu’.eUX(^pfeis^.ar^it(|iié long; relevé dans
son milieu d’Une, tubérosité. Une arête,,psseuse, ’dont la court)e^est
'con ca v ev a^ d e lc e tlinteiivaf£l%î aÜIn out'du museau,- qui se, relève
'b^deoùp, et cëpéndant moins que les yeüx.1
j à-cjÿlmut du museau,1 CstpMis ‘qüe'double dë'la longueur du crâne.
Çefcte partie idjaimusçaùf vue)jle'îhàut\ estiâtissM'ar ge.que longue'; et
yle chaque ç^t^dç^onja^ête mitoyenne ç llië^ t .creusée'en unetiaj-ge
concavit^-^ÉEjt Iéâ ncurd^extérieups,,.relavés^de quelques tubercules
«., sont formés par les s^s-,©rM^Fesf|^,lev.pçéop,ercide^^ pn
sorte qu’il y a un g r a n i espace, entre T oeil etlfew^ms-jtrhitoipes. et
qüe le.nora îmmeur ge xornite n^estodimt'^Q^^^ Le pnéoperculé
a en arrière une poiritë’ontuse'etf 1 opercule dciïx', mais qui pafaïs-
^s'entpeu auj-travers de-la peau.
. » iL\CHiyerture de» la bouohutest- àuîb’otfo du -museau J
laine- éùj forme: IfehfeHfl supérieur,, qpücst .démûcirCulair ei êtl v-prtifeal.'
La mâchpire inférieure,*p|ape et'fessijdemigci^^Faà'rej^erÀonte
obliquement pour fermer la^bauiÿie.^Le max^lai-reys’â^ç'git^àsÿon
bord externe, et ne peut sguère se çaekeEjShug^fe cSOns--f%litairp.-
Des'bandes de dents ÆU- fi« .velours l | s î garnissent^fes;deux mâ-
'Ckoires ét'ïe devant cm ^ p mer mais1'il n'y ëu aTaiu unes -aux nala-
là langue^’qui est- Ia^?,-triangulaire., assez-oxxarpue Jet.
* médiocrement libre; ■
A 'Eès^üîies sOnt-'assez f^d''ttes'^-qu®i^â'è leur membril4v‘s%ttâëi.ë
dé chaquelg^éTaf l’isthme ; eÜe^@ntnsep.é|râÿîên,'§tï'donTlef dén ie r
est difficile .àÿjpQifc» sans dissection.'Dans lw3fei®vdê^iéTi^fei!i«fer-tfare
une peüteîproduétion^eartilaglpeüse t^^L’opejiîcufe, ûait'epc'epte£i|ne
petite écbancfttre -ron'de, qui a l ’air d’un trou particulier, eerdont
il est possi^e/qu# leqpbisson.se serve-pour respirer- qüand il u ! \eul
pas, entièrementt,ouyrirj ses--®uiéS.t: ,1
Laudprsale commence immédiatement à la nùque, àfeie&PJJtvdare
presque, surt les J^eux ; elle .àétg&di,jusqu’à la.çaudàlef Quinze: épines
droites, fortes et pointbes^ecupent plus’des d'eux'tiers*rde s llb ft-
gpeur^dont le. reste, est soutenu^par buit,; rayonsmous et bran-
CHAP. X IV .. PÉLORS. 3 1 7
Æfbtus. ;Les<'tiîoîs.premières1 desf-ceslépines sont garnies, presque
^jtu'Sqnéà ' la pointe,. par* la membrane ; mais les suivantes , en sont
dégagées’pour-leûESvdeux tiers supérieurs, qui sont cependant
enveloppés' de laîpeaûpÀehcette „pfeaa^a même sur chacune d’elles
plusiehésédli’eesi lambeaux déchiquetés que l’on voit dans tant de
*oepjGpSa&.$La haàteur. de cès’ épines est à peu près des deux tiers de
celle cht corps: La partie molle,est*arrondife et garnie de membrane
jùsqulâb.' bout des.rayons.<La>,caudale s'arrondit;en éventail; et a
id®u«5e’.iii^@^s.',L’analev'com'mO®GëïS(ilS6^!‘|És onzième'‘épine ; et'fibit,
fèomme’vlâ,) .didr^ale; ■ tout prèss.le» la.caudafep elle., est très-basse et a
trois rayons: épineûxfet sept »OH$^l£re lesquels la membrane est
un ipé®é1cka®GEée.'; Làp'e’ctoraleiesiyfortî. grande ; sa longueur 'est
cbm^ni^é^,tBoisâf|'isil(.eB demieVdans • Wâléîfdu porps; et quand elle
i eÿ^lias^lapg^ qiîëdomgùè; : ;elte n dix rayons compris
dans sa membrane*,îfetjilcy-em.a deux libres. Les deux premiers se
prôlolûgekt ëmfifeé'i'ë^ iÿiièlfeà^le neuvième, et le dixième ne sont pas
bran chus -T < leïonzàème et? fe, douzième ,l;©u ?les deux -doigts libres,
ïqîftojsii »effet la membrane quMe^vKpit'aux autres échamcrée jusqu’à
deuà-p^sés, euâbnlmltas' gips que cêu^ide.la'nàgeoire. Le second est
le plusd®nig.„La<veùt’tale commence sous sl’originej de*la pectorale;
èil4îaVrcommé^à roriltnaiTjdîj une* épine-^t.cinq ràyons mou s, et
icomadeeuk-ei vont ens’alongeànt, et que le dernier est attaché au
ventre paiTtoqfeÈsajdbngueùK, |}cHaqu^yentrale g , l ’-àir d’êtré une
.crête-,'- comme. parMç aussrtà.peu près lfl^néfgééirè anale.
B. I ; 10—^2^ V.
Tout c é spoîà4bnf; est enveloppé d’une peau .molle et spongieuse, *
hérissée en diffésens. ën-d^pljs de;,jfilamëns, mousson de lambeaux
plats ëMéekjqu^téss^Iif®, principaux de, ces lambeaux sont placés '
çp^I&eâksuit ;deux grands. squs^%;lèvre- ;infé^ieure ; un de chaque
- cô/rap^^e.-imuseau; a§ant du sëtis-orbitaire -ej tis-à^yj^dps pré-
,cé,dens, Vun en arrière de la bouche jgu^agL bo.rdtsûllant dq. la joue,
tenant» au.-grandi<sM%érbitair,eatredsfà, l’opercule■•,.'veille bas, plü-
ssieurs-pekts à la^faéeAexteEà^dé‘)-la pectorale et le long des côtés .du
s corps t i l y enn entre autres une. suite qui estle seul vestige de ligne