lé e s, unies par u$ie peau molle, qui leur laisse assez de liberté peur
qW.|s%oij» puissè Se fléchir en tauE'ïséïJË^» H
Les pectorales -de; eetjaîgoftiis -S®» arrondies, du cinqüiëàé'de
sa longueur totale, et ont quinze rayonsiartieuiés^friais non; bf-an-
,éhus. Les ventrales sortent précisément autant-en avant quelles*
tues, et ne paraissent avoir quedeux raÿOxîs, p aifeq ùëTépïne Rattache
întiteemeA au premier rayon âæfè«. ‘ L^pretni èfe
commence' après l'es quatrième^»écaillés des séries supérieure^5Rur
■ 1« tiers* postérieur:de la pectorale : sd le ;fèst- arrondie-, moms’Mtite
que la partie du placée sous* elléj-'et soutenue par cinq raÿons
flexibles, quoique non articulés. Sâ membrane finit, au; piéd dé la
1 seconde! à la* douzième écaille. La seconde ' rï’ëst* paS*q$ifs?%afîtei‘
mais prend un peu* plus dïespaee en ■longuemtf 'j '-elle'fînxtf1Sà'f là
. --•vkgt^u^' éeéd'b^iflia^ ^rÉ^ ous tr ip le s, m^s'artioul'ês^L'R-fele
'lm-ceraespondiabs^ument ; elle alTatissi feép* rayofts ëf^emBlâ'Mes.
La portion de, cpïepe entreï'eesi deux nageoires-» ëtfïlâ*' caudale' n*esfr
-_que' trois fois et demie "dtfns <la Jl^ngUpui4 t@talé,',ià a& ^ ^ira^^ur
-y-est près /déî vingt feris. • La -cêmcM'éTSt arrondie jet à âiï$te:,¥®$0hs •
sa longueur-est le septième^|||tQthL É
' i ; p. " ’
| L’aspidophore a ledoie* médiocre, compost-d'un seul lobèi'ipfecé'
dans Pbypocondre gairebe^Sa fiswriïïéïgst ron tl^ -a in\ rxe ên ’dessous
et concave a i dessus» sous -l’estôanac.' La Vésicule du-ïfifeHcst -*frès-
« petite-^ le canal^diolédoifae est <4*rè&-court.' éfâesOpb'age*#ës^pas
fort long; il est étroit, et il-débouche1 dân^ un estomac-assezfetfge,
déprimé, arrondipddnt les paoeois sont minces ét Sânsplisseunfedans.
Le pylore sp’euvre auprès du cardia; iaris qu’il y ait de branche
montanté à i’estOBataG.'7#lS'y a .-einq appendices ééeealés. *
L intestin, après; s-iitere çontamtpé;.plusieMMs^^s>sii^fci-m®ne,
se rend à l ’anus ^l en conservant un diarhètre ëgal dans» toute sa
longueur. âes<p|irois sont très»inijaseés. f c in’ai- pas vu de-traces* de
vessie natatoire. Les. oi^a,resî-&fr®at pleins ?dkE®fi.p'rtks conÉne
de la fine graine de pavot. : Ces sacs, rejetés »suî“;i’aVFière de l’abdo-
. men> o,QGupeu|';à peine , le tiers .de sa longueur.. Jj’estomac était
, rempli de petijtS j^^sj^gésjj ^
mi ^'de^qwe nousS'fdïiS'dé j à d it ci~dessuiS‘('p. îgq ) d e l’histoire
Iî,é’’cMÇe^%èpë’cWï/<nd'ùs afcfatèriMs qu’eMellë h omm e ën anglais’'’
p o g g e , en ^ u s se jjlîs iiza (r en a rd ),1 et dans le N o rd
fyrodamusÿ^ q u e lle se. tien t dans les lieu x sa b lo n n eu x , et
qu’pn n e la m|Sigg.^poii^t.M II .e ^ ^ ^ s ÿ te . plusieurs bqques
figure%* >
Des" Aspidopliorês efirîÿtigèrs.
^Eifeê ï^ h e rc h e s de Steller, 1 d^Mb'ch let d'e’ M. Tilésius
d i t Tait 'donnaitre^sepr^S^^es^o^^S'SlfmsV'pfhs'b'd moins
sem1VÏ5%)les àn o tré æmra5ph’tfrei d tü r o p e ', é t nous en avons
ia lë huitièbfè,- due M. GôîK’ë‘,', cHirùrgiën-maior^ae la
marine' ângla ïWgi l s . .^Mbns les décrire 5dans l’ordre de
leur-ressembhmea,. eleSt^ Æ -e -que ndus-CQjQuien,çe;rbps par
celle S:* qui ont, comme la nôtre», les deux dorsales conti-
giie'sf et1 surtout par telle*' qnW%ôrf museau saillanf^et sa
en -rtp p r^ ^ ^ h t au pras'baut degrés**
' £ ’'Asp iD-’o^frôlfe Wi%R&ÈoS.
{JLg&iykis $Êpepsemqiis} Til. ; Phalangigt,es'açipensenù^us^ Pall.)
Celp* esp j^mil)le tellement, à laspldophore d ’Europe.
que^Steller, éloigné comme il était jde-tout objet de
cemp’éî’a'istpn ^»soupçonnait d’étre la mèoee»;Elle. en diiîEbre
oeppndant par des^. eaRafctères. assez nombreux, et dont
quelques-unS- sont -très-frappans»
3i»*Oatre SAoneyèlÜë^et Bloeh on 'en'a dans Seba ( t. III, pi.-28-,
fig..R^jfSffns Pennant , dans Donoyan (t. III, pl. 16.yp.rtct,, , |