De quelques Trigles étrangers y voisins du Perlon. -
• X*es formes et les détails du pqTfôm, et surtout: ceuxide
la petite espacé que nous venons^ do fàire^bto|î-lrei,®e ^
reproduisent encQre en grande partie' dans' des-4rigltes ’de
mers éloignées, mais ayec; quelques petits caraëtelra?'qui
peuvent passer pour spécifiques. '
Le Perlon t»E. la Nouvelle-Zélande, appelé Ko rat ou.
i ( Trîgla Aum«, Less. et G arn.1 ? Trigla papïti^iàeeUi P a r t.)
Ainsi ; MM- Lessou, &%. Gdrn.ot.en ont appQr |^ -un de la
Nouvelle-Zélande, que l’on-prendrait au premierpeoup
d’oeil pour notrè perlon d’Europej mais ayec plu:çfet|én-
tion on reconnaît -
quéïesigrantdaiions de sa tête' sont plus fines, plus nombrfeusçs,-et
eja même tempsnûeux prononcées; qu’il n’y a p'qint'djafét^sj^le
fias du sous-orbitaÎFe, et que »p^-eMu -bas dupréopérçule estqpeu
marquée; que lesgrams du bord cfiijaré’opercSale'sont ditïSps’ confine
en petites ües par des lignes irrégulières,'lissés^ enfin, que sod ô’ôrps
•est plus aldngé àproportiôm. La longueur de sa-tête est-comprise
quatre fois et demie dans sa longueur totale.' Ses pectorales y'sont
tTfiis fois et un. tiers.
D. 9 — 16; A.* 16; G. 11., et les 3 libres.; V. 1$. | .
M! Lçsson a peint-oe poisson sur le.vivanfejToutasa partie supérieure
est d’un foûge aurore, avec des tackes plus raqges-; ^ dessous
v est argefiie»?
Jtondelet, t. VII, p. 296) est le perlop de la Méditerranée, qui me paraît aussi le
trigla kyrair dè-Pallas (..Zbogr. ross., t. JH, p^ 235). Je ne pense pis même qke le
tngla'Tmcroiepi^oiàX^s,so,‘loc. cit., p. £99 Jen diffère beaucoup.
1, Zoologie du Voyage cfe la Coquille (Planches de poissons, n.* i 9)>i
. «•.',• face postérieure ou interne des pectorales est d’un vert n o irâtre
;^pbord supérieur. d»imfioauibfeu-cliair,d'inférieur- rougeâtre, :
.une.’grànde^tacfie d’un-noir profond, mar-gaee’dê,quelques petites
tac licvbî^fi^*cs,(it'i>qnrfis; occupe eë$têface^f.indroit^d^-septième
ét<dushuiuèm& rayon. A l’tê|:tériéur ïapwSotpÇé est, ç&ïme dkns le
perloxl ordinaire, UqixMre)'a%^ra^rAy@OES^fâ'n,cs. Les nagéoires dm
dos etTde la qùeiiè^s OTPtou^éttr esj M^éntr^®s èt l’anale bîanohâtres.
* ifidivi dus -ojit quinzëppuces. v kCJn dessin faite récemment à la A©ÀvÆllé-Éélandlt«<!fe^leS' yeux de
. M M1.- t( ^ o , y r f c . m f o j u s , apprerid que-le revers deda pçctkrale
est quelquefois'semé.de, grandes tacdievbli'ues.,,*
Le foie duApumou, est ppm volumineux et pjofondéiijbntsdiyisé
enfcpmxloge^acmtlé gaucne e lta g e u près*double du èfioit?
, L 'fçsqn^g^ësi large 'e f^ u r ’Çi ",
"L’festfimk'cmk arr6nu'r,'|>eu^dila.té;'iln,e's’èténd^as'^-déS'du tiers
-de'la Iqngueür d ld ’abdomen. Sesîparoil-sdnt'épàiss'ês^ etle&plis de
sa surface inka'nèîtrès-grflis. \
Le pylore1 |§>J^ C ^ sa partie antérieure ; iljçst très-large e t entouré
dc-.'si-x^clttsii^^^Sz'iyos. maispem longs.
L(fi&stin 'commencé ptâr ^Je d-un diametre assez grand- Arrivé
un peu plus, 1 c,<il Lait un petit coudei,et il diminue
alorslneâùcoup de diamètre. Aux deuy tieçs de la longueur de l'abdomen
, il: se plie pour «remonter aaris'la mqssjTfëfmle par le duo-
•dénmm’- e t^ de nèi^yéât/f^se dilate béaUcOtop ; £t
sé porte ainsi directement' à l ’ânusiiUn p£tî aymt l’anus, il se'rMæcit
un peu. •
La;yessieifâlktcffi-e çst très-grande ,a et, Mie resVeïfibTe’par'sâ forme
lfet*Jel app'endtcfeV àfeelï^du perfo.ri'deui®%0tfi#;- mais ses parois
S'ont b%aüçoup'^plus*inittees«,5d’un tissu, fibréux -beaucoup plus serré
et dumécïàt riafdî^bêaimoüp plus vif. "!*1
Les^ rein-s sontassez gfOs'f'tïn peu rehflésvérs la tête, eti$e pcfifent
jusques' àuprèsjjde l’anus ^€àr lk ‘veSsie urinaire éâfr ëjceessivemept
:petite.;'>3
J*’1'Au Mom%t*%u ügM' LèsSo.n é t'S fin o t prirent*c'ê trigie, il «était
près de-#ayerppar les ovaïrès sont pleins d’oeufs, dont Fe'poisson