
S E N E C I O vulgaris.
Smeçôn commun.
Allem and. Gemeines Kreutzkraut.
A n g la is. Commun Groundfel or Simpfon.
Il F leurit en tous teras, même eh hjrver, quand il ne gèle pas. Q
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S r N G E N E S l E :
O rd. N a t. à
P o l y g a m iE S u p e r f l u s .
L i n n é xlix. C om poféesi
„ . Rpeentaele nu s aigrette Ample;C calice droit, cylindrique., èsli- aractere GENERIQUE* Keceptacie nu, g r-
Cülé à la bafe, oü entoUré d ra ille s ftnées bU noirâtres à leur fomAet.
CARACTERE Spécifique. Fleurs nues; feuilles amplexicaules, pinnatifides; dentées.
On a représenté le réceptacle nu en a. 1 mime pour montrer les fcm cnces, placées i &
L T L s écailles du ea licu le, placées a la bafe du calice contre le
tou jours noirâtres à la p o in te , ce qui n’ a pas confiamment heu dans les d e v in s du
2 1 , p a r lesquelles U s fle u ro n s fo n t entourés e, fe rrés. U s graines p a ie m e n t mures
étant enlevées du réceptacle p a r U fetou rs de l ’aigrette q u elles p o rten t, les dtv,fions
du calice fe recourbent , et fe ferrent, contre le pédoncule, comme on le vo,t en a « b.
Une I L e , gro tfil f. S eu i fleu ro n fem elle du bord de la fle u r c ; on M par
là L e cette espèce n'a pas-des demi fle u ro n s. Fleur hermaphrodite du dtsque d. L a
J r i est très fibreufe. L a tige est ordinairement p ou rp rée, toujours transparente,
. cylindrique et glabre. L es fe u ille s fo n t planes et glabres ; L a grandeur es la hauteur
d e là plante différé co o p éra ’,lement Suivant la différence et lexp o fm on du f o l, qu d ie
ha bite; cependant fa hauteur, furpasfe rarement celle a un pted.
L ,eü K a t ü . Le long des chemins, et furtout dans les lieux cultivés.
C’ est une d e s plantes, les plus commutes en toute forte de tefrein.
V ertus et Usaoe Meoicinae. On pourra fe fervir de cette plante comme d’un remède
t t — É réfolutif. car elle a des vertus femblablcs à celles du Leoniodon Taraxacum .
„ «H r . f . . . . . . fst mangé par les boeufs,, les chevres et les cochons, "wmmm W M «. »—- f
T « fleurs font beaucoup fréquentées par les abeilles. (M a t t u s ch k a j
mauvaifes herbes des lieux cultivés c’ est la plus commune! M. B ruomans dit, qu le
appartient ausü à l’ ivraie des prairies.