
G N A P H A L I U M (Fïlago) arvenfe.
G naphaU des champs, ht cotonnière des champs-
M e n a n t. Ao’cer-Ruhrkraut»
A nglais. Cu dweed.
F leu rit en Juillet, 0 .
S Y N G é n é s i E , P o l y g am i e Su p e r f l u e ,
O r i. Nat. de LiNNé xlix. C om p o se s .
CARACTèRE GéNéRiQUE. Réceptacle nu. Aigrette des femences Ample ou plumenfe. Calice
embriqué d’écailles, dont le s fupérieures. font arrondies, fearieufes, colorées e t luifantes.
CARACTèRE SRéctriQUE. (Selon W il l d .) T ig e herbacée, dresfée, paniculée; feuilles oblon-
g u e s , lancéolées, cotonnenfes; fleurs ramasfées axillaires et terminales, cotonneufes.
L e ca lice, avant de f o u v rir, est très ferm é ( f form e un p etit cône; comme on voit à ta fig . a. ,
L e mime grosfi b . L a Fleur ouverte c . , L a même gros fie d. ; cent fle u r n ’est que très
peu ouverte pendant la fécond ation, après laquelle les graines viennent[M entit à m aturité.
L a fig . e. fa it v o ir le réceptacle nu entouré d'un ccMce à d ix fo lio te s , dont les cinq in térieures
fo n t p lu s étroites d presque en alênes; en f. on voit un fleuron centra) herm aphrodite,
grosfi. L a fle u r entière avec toutes tes fem ences, g, ; flu le Jemence, furmontée de l ’ aigrette
ca pillaire K , la mime grosfie i . , le calice fa n é après les graines fo r tie s , k . L a tige est
couverte d’un duvet blanc, fu r lo u t vers k fom m et, ain fi que les fe u ille s . ,
L a fié r ilité du f o l, dans lequel cette plante fe p la ît , fe fa it déjà cen tilitre en quelque fo rte
p ar le p ort p articu lier de cette plante même-, auffi Us fe u ille s fe fa n e n t-e lle s bientôt après
ta fructification-, quelquefois l ’ herbe est f i effilée-, qu'on a de la peine à reconnu,tre ta
form e des fe u ille s ; c’ est ce qui m’ a fa it choifir pour le desfin une plante dont la flo ra ifo n ne
fu t pas beaucoup avancée, et dont lis fe u ille s fusfent encore p arfaites et fra îch es. On trouve
cette plante d'une hauteur d'un demi pied jusqu’ à. un p ied et demi..
t iE U N a t a l . Terre fablonneufe élevée.
Elle est très commune dans les Dun es, fnntout au x environsde la H<sp; elle est ausfl abondante
dans les bruyères de tou te la G u eilr e.
Elle, n’e s t d'aucun ufage dans l’économie..