Le type de ces stèles fu n ^ -e s sc retrouve, à-n’en point douter,■
dans un • bâs-relief appartenant aujourd'hui, au musée royal 5lfi-
Publié'pour-la première fo is 'p a r Winckelmann 5a7 qui l’a pos-',
sodé, il a été reproduit successivement par d’Hancarville “ 8, par
M. de Clarac 5>», et par M.fR. O. Müller 53°. De chaque côté d'une
stèle & deux étages sur laquelle est placée une statue de Minerve
ivoi&o;, e t gÿtour. de laquelle est enroulé; ün serpent; On' voit une
figure en pied : à droite une Victoire ailée, e t le front ceint d’une
bandelette, tient dans la main gauche.une palme, e t de la droite
présente au serpent un.ohjetkeffacépar le temps, mais qui ..ne
peut avoir été autre chose qu’une patère; à gauche est un guerrier
barbu', le casque a u front e t la javeliue' sur l’épaule droite. Il est
vero d’une tunique courte-recouverte , d’uiie cuirasse.'-Sur son bras
gauche flotte une écharpe donf les plis inférieurs,Comme sur tous*
1 (^monuments de stylé' archaïque; se - terminent en éventail ou
plutôt eu queue de poissons Sès jambes et ses pieds sont nus. Tout»
le poids de>son corps,-porté sur la jambe'gauche, car la droite est
repliée.OSette attitude e t la poso penchée de sa tête annoncent,
comme l’a remarqué M. Raoul Rochette53t, la mélancolie e t la
réflexion. Contre le pied de -la: stèle est- appuyé u n bduclier. argicn,
qui-est sans doute celui1 du güerrier, et.que quelques antiquaires ont
p ris é tort pour une roue. .■
Ce monument a donné lieu à des interprétations très-différentes.
Winckelmann veut trouver dans- le ^guerrier-une-assimilation u
Philoctète qui vieilt d’être mordu par unserpent’53l.;la femme ailée
est Hygie.-.qui .va lui rendre là'santé, ou la Victoire qui.l’app'elle
devant Troie; enfin -Ja divinité placée sur l’aùtel est Pallas xpuerii,.
et le serpent le génie du défunt. ' Suivant d’HaUcarville 533j ce
monument e t tous ceux du même genre ont rapport à la ïondation
d!unerville; le bouclier .marque que le chef des colons doit:s’àrrêter
dans un lieu consacré à- Minerve ; ici - ce chef .est Thésée qui, en
réunissant autour d’Atbènes les différents peuples de l’A ttiq u e f u t
le deuxième fondateur de la ville ” 4, et le serpent est le gardien
de la citadelle dont parlent Hérodote 585 et Aristophane 5?8. Visconti,
dans sa-description du ■ müsé.e des antiques : du musée royal53',
admet l’explication du-serpentet l’origine athénienne de ce monument,
mais i l ne' reconnaît dans le guerrier ni Philoctète ni Thésée;
suivant lu i, c’est Thémistocle ou Cimon offrant - un sacrifice à
Minerve Poliade à 'l a suite'.d’une victoire naval oj) ce qu’indiqSfe*
l’aigrette de vaisseau^38 que tient, la Victoire. M. de Clarac 538
rapporté l’opinion de Winckelmann et celle de Visconti, ët n e se
prononce ni pour l’une n i pour l’aUtre. Feu M. Petit-Ràdël 5<°, plus
réservé que Visconti dans son système d’mferprétafîbn, s’est con-'
tenté de voir ici .un sacrifice fait par un guerrier à MiServc
Poliade; et eette explication, bien qu’insuffisante e t inexacte, a
• obtenu..l’approbation de Zoega 541, de M. K. O: Mflller 5é* ef-de
M. Welckcr ®é3, qui la trouvé indubitable,' e t ajotitecependant que
ces représentations appartiennent à des m onuments sépulcraux:
M;:. Raoul Rochette et M. Labus réfutent, avec traison selon moi ,
l’une ot l’autre interprétation.'
Le sébond monument de ce genre ést celui que. Winckelmann 5* 4 .
dit avoir vu en la possession'd’un gentilhomme écossais, nomnié',
, Arcliimbald Menzies, et- qui avait été rapporté de la Grèce avec plusieurs
autres antiquités; Sur ce monument est gravée une inscrip- .
lion funéraire se rapportanfcjà un seul -individu 545, ce .qui ne permet
pas de la . confondre avec le basrrelief du musée britannique dont; je
vais parler, et qui est le troisième daûs l’ordre des publications.
. :Ce bàS-relief, ainsi, que .nous l’apprend feu. Taylor. Combe 546, a
été apporté en Angleterre par u nM . Topham, en 17 » 5 , e t donné
au musée britannique par sir J . Banks en i 780, ce qui prouve en- •
core qu’on ne peut le confondre avèc celui. d’Archimbald Menzies.
. D’HancarvilIè est lé premier'qui l’ait fait connaître 547. Le sujet qu’il
représente est to u t.à fait analogue à celui du musée royal, bien
qu’avec quelques variantes notables: A k Victéjré est substituée üné ' -
' femme qu’on peut -prendre pour. Hygie- bu • 'pour une prêtresse 548 ;
la statue de Minerve est remplacée par lîn trophée avec un s,erpent
enroulé, e t derrière le guerrier est la. partie antérieure d’un cheval
au-dessus de la croupe duquçl;6n aperçoit ln tête nue d'un homme.
D'H aucarville|§| pense qu.c^çemonument fait allusion à la fondation
d’une colonie; que .le .sërpent~est le .dieu conducteur dont parle '
Orphée5®0; suivant lui encore, lé cheval indique que' les colons
viennent dé . loin, ét enfin lé guerrier est le clief' qui'médite
comme p o u r penser o ù il s ’arrêtera. Chose singulière,'il ne dit
pas un mot des deux inscriptions grecques gravées sur lès côtés de
cette sculpture* , et q u i, par leur nature funéraire, annihilent' ëntiè- '
remènt cette'interprétation. Ces deux inscriptions , qui n’en forment
|.qu’une seule 55*,' contiennent les -noms d é . vingt-huit guerriers, de
différentes contrées: de la-Grèce; e t ce q u i,, indépendamment de
d'exemple- fourni par le monument dé Meuziés^nè permet pas de
.douter du sens- funéraire du monument , c’est que tous les notes y
sont au datif. ; ' '
Hous devons la connaissance du quatrième bas-relief à M. K;
Müller, qui l’a publié dans YAmaltktea de feu Rôttiger 55a. Ce monument
fait partie de la' collection de H. Brundell, qui a été gra'vce '
e t publiée en 1809553. Les-blanchés de ce recueil très-rare sü r le .
continent et même en Angleterre ont été malheureusement exécutées
avec assez peu de so in ,'à en juger, par celle que M. Müller a
reproduite. On peut se convaincnegbcpendant que ce bas-relièrest ,
comme tous les'autres du-même'genre, dans lé' style, hiératique.
C’est du reste le pldrisimple 'dé fous. ’Le gHërrier, lé-cheval .èt
l'escorté n’y figurent p as; on n’y voit que k Victoire ailée versant
de son’ oenochoé une libation dans^une coupe qu’elle préSl*
Voyez Description dtemuséc royal des antiques du Louvre, n° 175. Kl Sassirilievi, 1. 1, p. a6oV ■
Mon', indd. pl. zib. »•. Loc. qt.'V./ . 1
RecAcreAci sur les arts de laGrice, L Ì, pl. XXIX, p. 489, Cole 163. ** Loc. ciL f^Y
’■» Miis. dèsculp. ant. er mod. pl. i i 3 , li0 »55, ù4. Op. cit^. 16». .
sî0 Mon. dé l'art angguc, pl. XIV, fig. ,48. Or v’hâ un i rnSbnc grecà, ina questà Spétta ni riefunto, sem dver parold
u ‘ Mon. inèd. p. »87. L’explication donnée par * s^ant, et que jerepror che ne significhita scultura. Toot ’le système d’intcrprélation de WinckelmanHI
..duirai;piaS$as; me parait'la seule admissible. s’csqrcsumé dans CCS paroles, il s-emblcrait, suivanUùi,. que tout monument
M> M. le docteur Labus; Mus. della r. Jetai, di Mantova, vol. ’Ht, p. 4», doit-avoir un.sens- mythologique firécis et déterminé et il ne voit pas qu’une
fait remarquer avec raison que le serpent non pub esser simbolo insieme di una inscriplion funéraire, quoiqu’elle niofln! que le nom du mort; suffit pour mettre
ferita e delta guarigione di essa. . • sur la voie du sens allégorique ou symbolique des sculptures qui ornent le
934 S’il est nu-pieds, c’est, s’il'faut en croire d’Hancarville, par allusion au tic Ancient Marbles in the Britisli Muséum. P. II, pl. XLI.
mydie qui lui fait retrouver sous une pierre l’épéc et les chaussures qu’ÉgéC . “ 7 'Loc cit.-
444 Cette dernière opinion est célie 'de M. Raoul Rochette, Mon. indili p. »88,
' . Vm, 41. 'Qyiv (lèfctv çéXaXii ‘rifi bxqonêl.wç. et He M. IC 0 . Müller, Amalthoea,
s3c Iysistr. 759. Br. tàv-éfiv... vèv olxoupév, ' «9 Loc. % *
«37. (Paris, 1817) OEuvresdiv. t. IV, p. 479. p BymiStqi, 1.
«* M.de Clarac [Deseript. des optiques, etc., n° z»5) donne à cette aigrette le “ ■ Voyez Boeckh, Corpus inscr. gr.n° 1936.. -
nom latin d'aplustra; celui d'ixpocvftiov qne lui assigne M. Welckcr {Ann. de “ ■ T. DI, pl.V,q>. 48- 5».
rinst. arch.t. V,p. i6 ï) me paraît beaucoup plus convenable. Mais l'objet que " 3 Engravings and etchings of th.i principal statues, busts, basreUe/s, sépulcral
tient laVicloiré est réellement une palme. monuments, cinerary urns in the i■.oUcction oj H. Blundell Esq.' at lace. 1809,
»9 Loc.cit. . » vol. folio. ’
10 Monumenti du Musée Napoli 1. IV, pl. XI, p. 33-36.
sente à un serpent qui se dresse devant un piédestal sur lequel
est placée une.statue de Minérvë, Contre la base.de la
statué est placée une cuirasse garnie de ses franges 555. M. Müller
adopte, comme.feu Petit-Radel, l'interprétation:de Visconti, et y
.voit, un sacrifice offert' à Minerve.Poliade par. un . général athé^
nien, en- réjouissance d’une victoire qu’il ¡1 remportée. . n. --
Le cinquième monument appartient au musée, de Mantouc,.et.a
été pumié récemment par M. le docteur Labus 556, avec une savante
. explication qui résume toutes les opimpns émises sur ce genre de
composition. Le sujet de ce bas-relief est,-comme celui dont je viens
de parler,, plps simple que le»trois premiers, eii;admettant, ce qui
■■.¿siprobable, que celui de Menzies’est en.itoùf semblable à celui de
Winckelmann. La Victoire ou la prêtresse n’y paraît pas; le guerrier,
dans l’attitude et dans-lé costume Consacrés, là lance renversée ét
suivi de-son cheval derrière lequel s’élève .un arbre, présente un
objet mutilé A un serpent,enroulé-autourj:d’un,.pilastre qui repose
sur une base en-forme d’aiitel-, èt porte ùùe.architrave. M: Labus;,n’àï-:
approuvé aucune des explications.que je viens de résumer, et, avec
grande raison, a cru devoir adopter celle qu’a proposée M. Raoul
Rochette55?, Tous ces monuments;, d it.e e -savant académicien, sont
des stèles, érigées su r un tombeau commun, ¿p lu sieu rs guerrier^
morts ensemble su r le même champ de, bataille da n s quelque
expédition glorieuse ss8. Lé sacrifice; aox mânes d e ces guerriers
est représenté de la manière la p lu s conforme à toutes les don-'
nées de Part antique, p a r la p rê tre s se où p lu tô t la v ill e personnifiée
, PO A I2 , qu'i offre un e lib a tio n a « se rp e n t gardien
sacré des mârie,s.'>L e g u e rr ie r q u i s’associe, .la t ê t e penchée,
dans un e altitude triste e t affligée, à c e t acte religieux ,.exprime .,
p a r une d é ces abstractions si/familières au génie des anciens,
l ’armée e n tiè re , le 5T P _A T 0 2 ^ £çnçqnnÿ?é dans u n seul
homme; e t la p a rtie a n té r ie u re d e c h ev a l avec une tè te
d’homme sculptée au^desstis, indique,- dans le même système
d ’abréviation symbolique, là condition équestre de#guerriers en
l ’honneur desquels étaient'consacrés Ces monuments.
Quelques détails ' de cette ingénieuse explication - pourront sans
. doute laisser des-doutes'aux esprits difficiles où; timides 559;> mais le
l§Mnd;'.me .’paraît hors de doute, et le sens - donné - au guerrier me
pa'ra%des plus'heureux. Le monument de Mantoue, que M. Raoul'
Rochette né- connaissait p o in t. encore lorsqu’il a publié son beau
travail, ne „peut donner lieu à aucune incertitude s.urt-la destination
funéraire de .ces bas-reliefs, puisque, comnîe l’a fort bien vu
M. Labus, il nous offre le totnbeau ou plutôt i’heroum.
Les variantes nombreuses qUé présentent ces différents monuments
prouvent, selp„n moi, jusqu’à l’évidence qu’on- aurait tort
» de les rattacher tpus.à'.la ville d’Athènes. Les seük'qui :lui appar-■
tiennent àvec certitude sont célui.;du musée royal et celui: de Blundell.
Peut-être doit-on y joindre celui de Menzies, s’il est en tout point
semblable à celui de Winckelmann. Quant au marbre du muSéS'
britannique , il ne peu£, comme l’a trèsTbien prouvé M. Boeckh 56°,.
provenir d’Athènes, puisqu’on n’y trouve aucun nom athénien, et
q u à la statue'de'Minerve'On-a substitué un trophée. L’absence de
cette statue-doit également faire rattacher à une autre localité le
marbre de Mantoue, bien que M. Labus voie dans l’arbre l’indication'
du' Céramique' extérieur;'’ ;
De l’inscription du marbre de-Londres on peut tirer cette conséquence
, que tous -ces monuments étaient' accompagné^d'une liste
de;-guerriers morts ; e t quer le marbre de Menzies est tronqué,
puisque son inscription ne. contient qü’.un Seul- nom,', Bien p lus,
il est vraisemblable, à en'juger par le typo-invariable du guer-
' rier, qu’à toutes les listes de soldats athéniens morts pour la p a trie,
qqi-sont contenues dans le^ Corpus5?', dévalent être joints des bas-
reliefs semblable» à-éëluK de Winckelmann ou à celui de Blundell.
* 'Enfinÿiét cette, dernière observation se' rattache particulièrement
à .mon.sujet, si .léi cheynl indiquc que les guerriers morts eiaient
'a Athènes des iinriic; des vîlv îitit«So TekoSvrsç, et ailleurs des iimérai,
des t-mioëâTai 553, on peut conclure que les monuments'oh’il manque
se rapportent à des ixWTat ; ce qui me porterait à concéder/que sur
quelques monuments.attiques, indiqués dans les sections I I et III de
ce travail-; le cheval , indépendamment du sens-funéraire que je lui'
ai.donné, annonce aussi quelle avait été la profession guerrière du
§ # . Equités singulares.
.-. -On a: beaucoup dFsdhté sur-le sens-qii’il convient'de'donner à ces
dèux mots ^uiièS'sfll^UtkeSi.bn''^^diiM:}::ce'>px’il■ y a dé plus
vraisemblable ,'c ’é st .que les cavaliers désignés par ce nom étaient
ainsi appelés, soit parcé qüüls co'inposaient uiie troupe d’élif^, soit-
parce; qutfls étaient’plus particulièrement attachés à’ la garde de
Pçmpereur; Les monuments funéraires--’relatifs' aux membres- de ce
corps’sont.assez nombreux, e t tous, à quelques légères variantes
près, offrent le même-type. Le portrait du mort’en buste,iou: couché;
occupe ordinairement la ipartie supérieure ; - vient ensuite l’inscrip -
tion, .puis un petit bas-relief - représentant, suivant le grade du
m o rt,;ub ou plusieurs chevaux, seuls ou conduits par un serviteur.
Mais'ce qiji caractérise particulièrementcespierresj c’est que les che-
vàux-y-sont toujours ¡couverts d’une large bande d’étoffe garnie de
franges. Chose assez remarquable ,,toüs ces equites meurent avant/|0
ans ¡iftoiis sont des étrangers,. de la .Germanic iecunzla 563 e t Supe-
Tï’o r 564, ’du Noricùm^65, de la Rhétie5?8;' dè:la Bannonie-5®7, de la
Dacie 568, de la Thrace 5?»; de la Syrie.5?0,' de la Mauritanie Césa-
rierinè5’1. L’inscription porte d’ordinâirc l’indication de la turma à
laquelle appartenait le mofit,. du corps oh il avait servi avant d’entrer
dans oette arme'de.choix 57*. Le-chef de ce corps, créé par Auguste
5’3, prenait lè titre de preépositus 57é, .
. Les différents-grades' q u e n o ù sfo n tco n n a ître les'.inscriptions,
sont ceux de A rm o rw n cùstos 5’5> dé Tubicen 5’6, de Decurio s71,
de f ixillarius 5?8, et de Sesquiplex 579, probablement subordonné
au- d é c u r io n .. ’
¥. 434 Minerve a le casque en tète et ta.iancc & la ■nain ;eiié est vétge d’un xiniiv 443 Fabrctti V,-n. 79, p..358.
à larges plis, que recouvre un iriaX»«; par-dessus le est un Si-XofSiov, et 544 Ibid, n. 78. .
par-dessus le StnXofôiov l’égide. Cést,'' comme- le fait remarquer M. Müller, le 448 Oderici Dissert.m. 3tO:
costume qui était généraiement attribué 4 cette d«‘SseavantPhidias. 844 Montf. Ant. expi. t. V, pl. LXXXVm, fig. I, »,!'6i.t-
351 Ce qui prouve que lîobjet rond placé au pied de l’autel sur le marbredu ^ Fâbretti V, n. 70, 93.
musée royal, est un bouclier et non pas une rou
e, comme lo pcnse -M. K 0 444 Id. V, n.-8o.- .. .
Müller, Amalthata, t BI, p. St.
«•TBid. n...71/
Jia Op.cit., pl. VU, p. 38-45.
548 Le savant- antiquaiie -cîlé' ün grand nombre
*!• Màntf. 1. c. fig. 4., Oderici .op. cit.' |
V Montf., 1: c. -fig. 6.
d'exemples de ces tombeaux . 4',> .Fabretti.V, n. 74.
communs appelés ordinairement p.vïi|»« xoivlv ou itoXwivîpiov. Voyez op. cit., 473 Ibid. n. 71. ALLÉCTV[S]: EX-ALA-I ILLYRICOR[VM). -f
p. »89, note 1'. . 544 Fabtétli V, nâi68,; p. .355.^
" f Pour Pj>rt , j’ai dé la peine 4 ne pas voirune Nfxi^dans^o femme, le a 4,4 Ibid. n.- 69, p; 356.. •
plus souvent ailée* qui fait la libation. — D'un autre cèté, sans^ier le sens 444 Fabrctti V, n. 7a, p.- 357. Ce titre se retrouve sur un fragment puf
donné au cheval, je ne crois pas que la manière <lontjl est représenté sur le pàrôylus m , 66;%, et doit, ainsi que le-cheval qui'est sculpté au-dess
marbro du^musée britannique tienne 4 un systitne d’abréviation symbolique, de l’inscription, faire ranger ce monument dans la classe qui nous occupe.
puisqu’on le trouve tout entier sur le inarbre de Mantoue.f .. 444 Fabrctti V, n. 8», p: 358..
Corpus lnscr. gr., n»* .t66 et 1936. 448 Oderici Dissert. p. 3io. Fabretti V, n« 85, 87, p. 359. A.
N01 165I169. ' ' 4,9..Oderici op. cit. p.s 3i ».
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