¡M - S l s
Du rék e , M.. IJoeckh ne s’est point trompé sur le contenu de cette
inscription. G’ost.unC'série d'amendes imposées aux villes de Cléones,
d’Alén et de Stymplialcs, ainsi qu’à la commune des Arcadicns, e t qui
varient de. 10.00 à 3o3o statères (ypuooî88).
La -restitution d'un pareil •monument, dont je ne connais pas
d'exemple, est assurément fort difficile : je l'ai tentée néanmoins, en
prenant po.ur-base la ligne 18.qui, paraissant complète, fôumit le
nombre de lettres que devait contenir chacune des dix-neuf autres.
Le résultat de mou travail np peut, je crois, à cet égard, laisser de
doute que sur quclquosjnoms propres e t sur (Quelques nombres.
Je dois ajouter d’ailleurs y pour prevenir, les objections auxquelles
.pourraient‘donner lieu certaines substitutions de lettres qui paraîtront
peut-être un: peu hardies., que la «légèreté avec laquelle un •
homme d’iihnginatiôn, disonóle mot, un poète tej qué M. Quinet,
doit copier des-inscriptions, surtout sous l’jmprcssiou de la^fièvre, •
àutonise:itne certaine audaoe dan^l’OTchéologue appelé à interpréter
ces monufnents. E l disce quid iri restitiiendisînscriptionibus liceal,
dit quelque p a rt M.Boeckh6» à l’oécásioñ d’une pierre où .dans deux
copiés différentes Y E = H^vil P PÔ = AN A , ÉKO = - C T O ,
YA = M , fÎÇH = Í1CEI, E C = -H .
[Al T A 5 EKA H 5 1 A ]5 K A T A A IK A l [K ]A E [iï] 27
[NAI 1 A ]X X X A AA [XP ]0 [Y ]2XPH AN A[0E IN A I] 28
[E T I K AI] K A T A A IK A I K [A E n N A I T O K OI] 27
[N O N ] T f lN A PK A A f lN IA E [T I X H H H H .X P ] 26
5; [ETIK].AÍ[K]AT[AA]IKAI A A [E ]A [T ] fl[N APKA] 26
[À A N A ]E T IX X PA PX IT EA H 5 [TO K O IN O N T flN ] 3o
[A P ]K A À A N A E T IX X P A N A P O [5© E N H 5 T O ] 27
K O [l]N O N T A N APKAAflN A E T I [X XP.KAEÍ1] 27
[N]AI T O KOINON T f lN APKAA[AN A ETI XX P] 28
10. [MN]AMflN KAEflNAI A E [T ] l[X X P A P 0A I5 T f lN ] 28
[5TYM ]O A AIA N IA ETI XHHHH X P 0 E P 5 [A rO ] 29
[PA 5 ] T O KOINON T f lN APKAAflN A E [TI X XP] 28
[0E ]5T [I]A A A 5 KAEflNAI TO KOI[N]Q[NTflNAP] 29
[K A A f lN A] ETI XHHHH X P 0 E P 2 IA A N O [5A PO ] 29
i5 . [A I 5 T f l ]N STYMcDAAlAN [A E T I X XP KAEÍ1] 27
[NAI A ETI X ]X P PO A YM [NI]5 K[AE]fl[NAI T O ] 27
K O [l] N O N T f lN APKA A flN [A E T I XHHHH X P ] 27
M EN A A [K ]I A A 5 K A E f lN A I [ T f lN ] A PKAAflN 27
A ETI [X ]H H H [X P ...............
• • • ................ A P 0A I 5 T f lN 5TYM O AA IÍ1N............
[Ai TÔÇ ézAvioía]' ¡caraSúeai. [K]Xj[«ov<h ta ] , XXXAAA ¡ S R I
^ . .
[Évtxaî] xaraSúuaKfrimal, t4 xotviv] -rùv Àpxàfev, 1et, l[ri XHHHH
Xp(ucoS{).]
[Évt x]«l [x]«T[aí]úc«t. ÀX[î] « [ t3s [v Apxáfev, c e ] ,h X Xp(ucoùç).
ApxiTÍX»!«, [vi xotviv tçSv ÀpjxiSav, a', f e X ydacaùA
AvSpo[oOivnç t4] xo[t]v4v^Sy Apxáíuv, cl, f e [X Xp(u<7oC<)].
[KXtuv]al, r4 xoivèv twv Àpxxd[uy, a , . f e X xp(usôùî)],
[Mv]«jiuv, KXsuval, a ,. X Zp(UGoùç)]. ; ‘
[A tüv îtu^çoXÎuv, ta , h t XHHHH ¿(ucoftí);
©apff[«yépa{], t4 xotvèv -rñv Apxáíuv, X xp(uîoCç)].
[ © « K ^ oî, K W l,^ 4 xot[v]4[v,SvApx¿íUv ,a '] , f e XHHHH
xp(uooùçj.
0ipetî«v4[i, i t5]v Zwpçôfc», [ a , f e X
[Kleuval, a , fe X] xp(ucoú;)]. 1
“ Ei_,(dv y^cÆîéfeo«, «po*™*^«, 6or«^p, «l -51 c j f o *
Xpouovi. Polliix Onom. IX, 5, segm. 59.
“ Corpus Inter, gr., 11, p. gig, col. t;
Uv. XXXIV, 3a. »mat u et, umma quondam Gracia,.
"Plutarquc, Vie d'Aratus, ch. a9. Il est encore cité par les scoliastcs de
Sophocle, d'Euripide et d'Apollonius! Voy. Vossius, de Hul.gr., I. m , p. 355.
n<SXu(i[vt]{, K[X»]ce[vai, v4] xo{t]í$ «5v Apxàfev, [ a , ï-rt XHHHH ,
Xp(ucoùç)].
Msvcúxtóa?, KXeúVaí, (*S xotyôvjl [ tSv] Apxáfev, a ', f e [ x ]HHH
ft[xp(uooD5)]. ;
À woXtç TÍ5v SrujxpttXíuv. . . . •................. ...............................
Cléones, onze [fois, -3o3ô stàtères d ’or q u i devront être ci
Cléones, la république des Arcadiens, o n z e fo is , item, iljoo
Stàtères.
AUTRES AUENDBS.
Aléa des Arcadiens, une fo is , item , io o o stàtères.
A rc kile lè s, la république des Arca d ien s, «ne fo is , item, '
io o o stàtères.'- • ;•
AridrostkèneS,. la république des Arcadiens, une jô is , item ,
i ooo statères..
Cléones, la république4 des Arcadiens, une fo is , item,, iooo
Statères.
M n amo n , Cléones, une fo is , itemfiOOO statères.
L a v ille des Stjrmphaliens, onze fois,; item, i4oo statères.
Thersagoras, là république des ■ Arcadiens, .u n e fo is , item ,
iooô statères.
Thestiadas, Cléones, la république des. Arcadiens, une fo is ,
item, i^o o stàtères.
Thersidanus, la ville des Stymphaliens, un e fo is , item, iooo
statères.
Cléones, une fo is , item, io ô o statères.
Pofymnis, Cléones, la république des Arcadiens, un e fo is , item,
i 4oo statères.
Mén a lc id a sC léo n e s,, la république des Arcadiens, une'fois,
L a ville des Stymphaliéns .- .1®T,........................
Mais en vertu de quel droit la ville d’Argos impose-t-elle des
amendes aussi considérables? Pourquoi les villes de Cléones, d’Aléa,
de Stymphale, e t surtout la république des Arcadiens, sont-elles
jugees e t condamnées par elle? Des amendes aussi fortes se rapportent
elles toutes à une même époque?' Quel peut être l’âge de ce
monument? Cc'sont autant de questions que nous allons examiner,
sans toutefois nous flatter de les résoudre entièrement
L’histoire de la ville d’Argos ne nous est point connue dans son
entier. Nous .ne savons de cette ville que ce qui concerne sa longue
lutte contre Sparte, e t c’est seulement à l’aide de quelques données
éparsesdansHérodote,1Thucydide,Xénophon,Diodore de Sicile,Polybe,
Strabon., Plutarquc et Pausanias, que I’én; peut suivre les destinées de
cette cité qui jeta tan t d’éclat sur la Grèce 7°. Combien.il est regrettable
quelë temps nenous ait pas conservé les Apyo^ucà’ 1 deDinias eld’Ister” ,
la description d’Argos par Socrate’3, les histoires du Péloponèse de
Chryserme’< et d’Iolaüs’®, etc.; sans douté, dans ces ouvrages tout
spéciaux, nous eussions trouvé une histoire suivie!':dë cette ville, ou
du moins-tous les éléments nécessaires pour la reconstruire. Encore,
si quelque savant s’était occupé de recueillir et de coordonner les
faits relatifs à Argos, qui sont disséminés dans les 'écrivains de
l’antiquité.; mais ce secours même nous manque, et nous ne possé-
” AthcD. XIV,
JfeDiog«.lacrt.
rt. mal., p. »45,. D, e
¡r. II, 5 et p. 4>4-
6. Cf. Vossius, o|
11 Schol. Jïîcandri ad Ther. v. 5x3 : lélaos vifl IXcXo
iis bas, au vers 683, il le nomme ’léXm.
( ip 3 H
s encore sur cette quesUmliqueiès recherches auxquelles M. G. 0 .
Müller s’est livré accide^fPment: dans-son savant ouvrage sur la
race dorienneyet lès livres de MM. Kortüni^Tittmann-et'Waclismulii
sur lès-constitutions grecques ?®. ’
■ Nous, essayerons .de, suppléer, à c e qui. nous, manque|. e t Sabord
nous examinerons à quelle, ép o q ^ p e u t appartenir notre monument
considéré en luUmême. Il est é v l^ i t , à en';juger par" la forme des
lettres, qu’il,ne peut êtreinPd’unè époque très-ancienne,' ni' postérieur
au premiér siècle de, nofre.ère-.mais, d’u ù :a u tt# ^ té , la simplicité
de l’é n o n c é l’abs cnco. de. tout nom. romain,. l'évaluation des (sommes
en statères ef.-nonspas en.deniers, comme au n° 5 , doivent le fane
? considérercoinràe appartenant aux. tempS,Iqp^'ont précédé la réduc-
- tiori. ae lai Grècé éft province ^romaine. Ôn est dpnc fondé à croire ,
au premier aperçu; qu,’il es t «lu second ou du trpisième siècle avant J.Ç.
• Voyons maintenant si llantiquité classique offre .quelque exemple
d’amepdtBiimposées par Argos. Oi> n’en peut,, jeic'rois, citer,'¡qù’ui^
• seul , ■m auV^'A^'àtÎS>^ 'V%p^(hte, puisqu’il ' nous est fourni,
par Hérodote, Le^pèredè l’histpir^nouSiapprend »7,'què.ve«Tai^|g!*-
Argos.condamna , les. Éginètes et les Sicÿoniensià une .amendé de
mille.talents, pour.avoir.:ravagé son territoire de-iccînçert avec les
Lacédémohiens: Mais, comme l’observe avec raison M. C. O. Müller ’8,
les Argiens-nèpouyaientiprendrei une semblable décision comme y.illé;
ils n’en avaient le droit .qu’autant.qu’ils'parlaient au nom;d’une con-
fédération,partageant leurs ressentimentsiuèr,' cette confédération' ne
pouvait être autre que l’ampllictyonie d’Argos ,SdpUt,tnous devons en
convenir;;il. n’est.fait.que deux. fois mention dans les, écrivains de
l’antiquité-P.o,-.mais dont l’existence, est aujourd’hui généralement admise
par’des.-savants ,et .qui est 'du.reste considérée comme, en.tiè,
rement distincte de.-.celle qui, avaife son.siège dans. 151e;de Calaurie •«,
etÿà laquelle,’Argos. .p rit, part, après; [(expulsion des habitants dé
Nguplie ,8a. Cette dernière s’assemblait dans le temple de, Neptune.,
de même que celle.d’Argos se.réùuissait, spiyan.t M., MülÎer, dans le
sanctuaire d’Apollon Pythéen 83 ; : e t, suivant ,fain.tc-©rpix,; dbn.t
l’qpinibnjmejparaît plus probable.8^, danscelui de Junon.
Sainté-Grbix.pense.que les-.villes de Cléones, de Corinthc e t de
Mycènes, faisaieut partie de cette dernière .amphictyonie, puisque
dans différentes; circpnstançes. elles eufent la présidence des jeux
Néméens83,;Il croit.aussi que dans des temps plus anciens, les'Mes-
séniens .et les. iÆcédétaoniens étaient compris parmi les membres de
l’association. Cette, conjecture, qui n’a pas été contestée, que je sache;
semble recevoir quelque force. dc;l'inscription qui nous occupe; car
sij comme je, le pense., ce monument n’est autre chose qu’un registre
des condamnatiehs prononcées ..par l’amphictypnie d’Àrgos, nous
sommes fondés, à croire qüeles Arcadiens, qui figurent fréquemment
parmi, les condamnés, participaient au ^ ijrôits e t aux charges de la
confédéràtion; et si elle.s’étendait jusqu’à l’Arcadie, rien n’empêche
çrôirç que primitivement d!autres États du Péloponèse aient été
dans le même cas.
Toutefois, il paraît que de .bonne heure, .et sans doute par suite
de l'antagonisme de Sparte et d’Argos, cette dernière-ville parvint-
à faire,exclure sa rivale. Nous voyons en effet dans Hérodote 86, que
lors de la guerre d’extermination.que Clépmèncs entreprit vers l’an
. 5 1 o , contre Argos., et où il. dut reculer devant^ l’héroïque courage
de Télésilla 8’ , le roi de Sparte se rendit à l’Heræum pour y offrir
E ’* ,c "O P»s>. d® la idiisoi talion de Hc^utlica Jrgivomm, par Ubbo.
être icLd’ancunc ulilïté. V! & 'ncomP,ct> "« Pfut
Ci Ô. MüIlcr, 1.1, Die Dorier, p. i/,7, , note 5; p. i 53 et siiiv. Hcraiann, Lchrbiüh
dergr. Staaualtcrthúmcr, $ u , noto 6. Connop Thirwall, a Hisiory o/Grcece,
vol. I, p. 35| 5i
11 Strabon ,VHI, p. 3gS.
*’ Ibid.,ÿ* 3,a; '
“ . Op. ôiiif 1. 1, p. i 53.
" o p -p ffp - ' 30- '
lui-même un'saççificc;, mais fut écarté d cT’autcl 'p n r 1er prêtre,
attendu qù.il- n’était pas permis' à un 'étranger' dï^sacrifièr dans ce
■> Ce qùil y a.de certain, c’est qu’au nombre des coupables nous
trouvons-deux villes dont l’associatioii à l’amphictyohie ne saurait
guère , laisser de doute : je veux p a rler d’Aléa et de Stymphale.
Pausanias d it positivement que ces deîlx .villes s’étaient réunies à la
confédération .arg-iemie. • ÏTupçàXtot Î4 T.Taypivot, |Uv oùijürçà Ap/.-ii'o.v
îtl èfev; dU’¿«V4 ÀpÿoX ix4v <7pvTtXo5oi'(MT«oTSvre{ i« o4-r4liOe).4vróí88;
e t un peu plus, }oiu : Me-rà i l 2t^ iX é » itfevÀXfa euv'sip(ou piv ta0
ÀpyoXixoti p.íT'íywcot xaláé'n)8». Il paraît évident que par les mots
ouveSpiou -roS Àpyo>.woâ,' ônî.M't.enteiidrê-.-Painplÿctjvàiie-d’Argbs,
puisque le mot owtôptov se^dMigne Tamphiçtyoniépar excellchcc,
celle dé Delphes. ! . ...
V®r 0 “ pourrait, je le sai?, m’objecter que dans les deux passages de
■ Pausanias-que, je viens de citer,: ôÿipit-rà Apxáfev f e 'eioiv' peut s’entendre
d’un changcmènt.asse^ïéeent; mais cet autre páísagé de
Pausanias prouve que'¡à réunion -«les Arcadiens à la confédération
afgiennç est d’.unmép^que Jjien antérieure, à cet, écrivain : .TaywaOra
yoCv èç Àpxdicii,éyoÏTo.av,-n? ouvTiWoai'-roùi Tpivau^, x aOà '» a ï v.ù-v
- î t « Âpxài(tiv eeèTÇv eîoiy oí êç;-rd ÀpyofeàvTiXoSvTeî-i)0. ,
Jíajouleni encore que.le-verbe («Téx«v, .employé par Pausanias
dans ¡le .second passage’, est ;ùne expression consacrée en parlant
des, amphictyonies. Cette explication, qu’Harpocralion donne du mot
hiéromnémons ne peut làisser.aucun. dout.e à cet.égard : ùpopépovi{....
P r p ùg u v e i p í ó u C.v.. ; . •
Resterait à expliquer comment des.noms de.pàrtiçüliers se trouvent
réunis aux noms -d'exes willes. ikcliitélësi».1, AndrosthèncsO1, Mnamon
etCi ,vsont-ils les .magistrats -des . différentes cit'és 'ou républiques
qui se sont-rendues coupables d’infractions à la loi amphictyonique,
et l’amendé énoncée frappe-t-elle les uns et les autres?
je serais porté à l.e croiré, d’autant plus, qu’à en juger par un passage
de Plutarque 94, les, chefs des-<^nfédéra.tions payaient, souvent pour
les confédérations cÎjfesr.mêines, Nous; voyons, en effet, dans laôlOe.-
d’Aratus, que ce grand-homme ayant, à la tête des Achécns, alors
qu'il était, stratège, tenté .infruclueusement de déliyrer.Argos de son
tyran Aristippé, fut accusé par celui-ci devant les Mantinéens et
n’ayant pas comparu, fut condamné à une amende de trente minés.
M. Scliorn , dans son Histoire de la Grèce depuis tétablissement de
la ligue ètolienne et de la ligue achéenne ju sq u ’à, la destruction
de Corinthe 95, pensé que cette.affaire fut portée devant les Mantinéens,
parce que leur ville était sans doute le tribunal suprême des .
Macédoniens dans le Péloponèse ;. mais comme il ne.dbnne aucune
preuve à l’appui de celte assertion, je préfère, conjecture pour conjecture,
admettre que Màntinée>: comme appartenant à la-république
des Arcadiens , avait alors la présidence d e l’amphictyonie, qu’Argos
np pouvait garder,sans scandale, dans une gffàire qui intéressait aussi
yivemeut son maître. Et.ce qui, indépendamment de tant d’autres
faits, prouve bien que Mantinée appartenait à la république arca-
diennc, c’çst le reproche que lui adresse Péusanias d’avoir,;dans la
guerre de Thèbes contre Lacédémone , .cherché à faire sa paix avec
cette dernière, sans la participation des autres confédérés 9®.
Mais s i, comiffe tout, porte à le, çcoij-e, l’inscription qui nous
“ Arg. 7H ad Knd. Hom. Hpofoo)®« Îî «5 ¿ySvo« xat ’Apy«!oi xal Koflàlm
*’ Eaus. H; ao, 7. Elut, deviri. mut", p. E. Eucian. Amor. 3o.' Max.
Tyr. Dits. XX, p. ai8. Polyaea. Strat. VIII, 33. Clcm. Alex. Strôm. p. aa3 ,- 5.
Sylb. Siiià. in v. TtWéiWw. .
“ VlII. chap. aa.
*“ Paus..yi, m ad fin.
” Ligne'6.'.
’’ Lignçjio.
” Vie-:d’Anuus, chap. ¿5.
’* KaríXWvT*; ü & t4 sdxn lyfevto Slxaioi- îtipA^OAraç Si feuojpwuwiju,»!
' 5a .