Ce (.‘dialogue ne nous donne que 3g noms 39. (Quelle était donc la
quarantième division de Mégalopolis? car il est à présumer que l ’on
ne s’cu 'tint pas à un nombre tel .que 3g. Ce qui semble le prouver,
c’est que nous retrouvons un nombre décimal dans celui des dix fondateurs
de Mégalopolis dont Pausanias nous a conservé les noms40,
et dans ces dix mille représentants des Arcadieus4’ qui se .rassemblaient
à .Mégalopolis, e t que d’ailleurs un manuscrit donne ici le
nombre 4 o , ce qu’il n’a p u faire sans quelque raison. Si je ne me
trompe,la quarantième division, nu plutôt la première, d u t se composer
des mille Théhains d’élite envoyés par Epaminondas sous les
ordres de Pamménès pour protéger la ville naissante, en cas d’attaque
de la part des Lacédémoniens. C’était un témoignage de reconnaissance
bien naturel, « t Pausanias semble nous mettre sur la voie
de nette supposition, puisque immédiatement après la mention de
cette colonie thébuiuc, il cite les 3g.bourgs dont nous venous de parler.
is qu’il conviendrait .peut-être d ’effacer du catalogu
à -celle de çuXal, comme .cela eut lieu aussi pour Sparte, ainsi que
le remarque M. Boeckh Peut-être même cette dénomination fut-
elle donnée dès l’origine aux différents éléments de la population de
Mégalopolis, et il serait même facile de prouver, par le passage même
de M. Boeckh, auquel nous venons de faire .allusion, q u ’à l’époque
où Mégalopolis fu t fondée, la dénomination de çuXai, pour désigner
les quartiers des villes , était beaucoup plus en usage que
celle de xüpai. Quarante tribus seraient, j’en conviens, ™ nombre
bien considérable.; mais rien ne s’oppose à .ce quîon- admette ‘
que chacun des bourgs .qui consentit à venir sc renfermer dans
la grande v ille , fut récompensé de son dévouement en formant
une tribu à part. D’ailleurs ce serait une erreur ,de croire que
le mot ç-uXù ait le même sens que le mot latin tribus e t suppose,
comme lu i, trois1 divisions seulement4*. Si à Sparte les tribus étaient
d’abord au nombre de trois, la Athènes on en comptait quatre dans
.‘igine. Plus tard', ainsi que l’a prouvé M. Boeckh46, quand, dans
c a r ils semblent n’y figurer .que po u r mémoire. Je veux .parler des Sparte, on substitua à l’ancienne division dorienne la division topo-
Trapézontiens et des Lycosuréens, qui refusèrent obstinément d’aban- graphique, le nombre des tribus fu t porté à cinq, de même .qu’à
donner leurs anciennes demeures4“. Toutefois comme leurs
existaient encore sur la liste au temps de Pausanias, il est à présumer
que cette résistance avait eu un terme, et que ces deux bourgs
de l’Arcadie étaient représentés à Mégalopolis, bien que par un
moindre nombre d’habitants. C’est ce que semble faire entendre cette
phrase de Pausanias, qui s’applique aussi bien aux Trapézontiens et
aux Lycosuréens qu’à deux autres bourgades, également récalcitran-
Atliènes, quand Clistbène opéra un changement semblable, le n<
bre des tribus fut élevé de quatre à dix, et' j ’ôn .sait que plus tard
l’adulation accrut encore .ce nombre4’.
n ’est pas seulement à Sparte e t à Athènes que le nombre
dans lé p rins
* g
và àpyaîa ixXi
de changer çii
les Trîcolonéens :
, passage
primitif des .tribus fu t augmenté. A Argos,
cipe la même division qu’à Sparte la .division dorienne
les Pamphjrles e t les Dumanes, ÏXXeî«, .Ua'pçuXot x
ù yàp cuvtyûpouv ÉTI ta. ¿atta ajouta plus tard la tribu Hyrnétkia, TpvuSia (du n
, Claviei
les HyUéens,
Aujucve«, on
d’Uyrnétho,
Revenons maintenant au passage de Diodore, çq'jïpiijjaNVEç ci; aù-rr,
v.(6p.aç eîxoGi tSv èvop.aî*op.îvwv MaivaXuev xai Happaaiujv ÀpxaSwv, ç
' voyons si Wesseling était en droit de changer eücosi en Tt-rvapo
xovra, même avec l’autorité d’un manuscrit. Parmi l'es peuples qu
vinrent s’établir à Mégalopolis, Diodore ne cite que les Ménaliens ques,
et les Parrhasicus; o r , dans la liste de Pausanias les premiers ne nrate
figurent que pour dix bourgades, les seconds que pour h u it, ce qui.
donne pour les deux réunis dix-huit, nombre qui se rapproche beaucoup
de celui qu’indiquent les éditions, antérieures à celle de doit
Wesseling;
Il faut donc reconnaître que le document que nous a transmis
Diodore est incomplet, puisqu’il ne parle ni des Eutrésiens, ni des
Egyptiens, ni des Cynurcens, ni delaTripolis; mais il n’est pas permis
de corriger son erreur par une autre erreur, puisque les bourgs des
Ménaliens e t des Parrhasîens ne peuvent en aucune façon être portés à
quarante. La leçon du manuscrit cité par Wesseling vient sans douté, la fin Jù
de ce qu’un copiste, qui connaissait le passage de Pausanias, a trouvé ment des
le nombre vingt beaucoup trop faible, et aura jugé à propos de rétablir
celui que lui fournissait sa mémoire, sans se rappeler que dans Pausanias
il n’était pas question seulement de deux contrées, mais de sept.
Quoi qu’il en soit, il paraît certain qu’environ quarante bourgades
contribuèrent à peupler Mégalopolis, et l’on peut conjecturer que
ces bourgades donnèrent leurs noms aux différents quartiers, xSjüu43,
d e là ville. Plus tard cette dénomination de xSfuu fit sans doute place
heroïne d’Argos), ainsi que Je prouvent les inscriptio
et le témoignage d’Éphore48, xai uposETéOn i (lisez ÎpvtiOia).
De même à Sicyone on ajouta la tribu Ægialée *9, à Mégare
VAdrianideio. •
Il serait facile de multiplier les exemples *«; ceux que,je viens de
donuer suffisent pour prouver que le mot çuXai, pouvant s’appliquer à
nombre quelconque de divisions, soit de races, soit topographi-
i empêche d’admettre ¡qu’à Mégalopolis il existait quante
<puXal, quelque extraordinaire que paraisse d’abord ce nombre.
Reste à déterminer quel est le nom de la tribu indiquée dans
:ription. Il est certain, d’après ce,qui précède, que ce nom
celui de -l’un des bourgs qui furent incorporés à Méga-
lopohs, et que c’est dans Pausanias qu’il faut le chercher, puisque lui
seul .nous a transmis la liste de ces bourgs.
Avant tout il est bon de remarquer que la huitième ligne se termine
par ces lettres : Y P PTHCAY, où il est facile de reconnaître les
deux mots feàp e t -rifeci la syllabe Au, qui pourrait bien être Je com-
de la tribu en question ; d’où.jl s’ensuivrait que
se trouver à la ligne 8, non pas dans l’alignë-
mencementflùn
mènt des autres lignes, puisque aucun nom grec ne.serait assez long
pour .remplir un pareil espace, mais probablement au milieu de la
ligne. Cette violation des lois de la symétrie n’est pas sans autorité.
Il me suffira de citer les n“ g i6 , 1216, i3 a a , i3 5 8 e t i4 4 5 d u
Corpus Inscriptionum greecarum.
Cela posé, je ne vois dans tous les noms conservés p ar Pausanias
que celui du botirg de Lyctea, Auxoia, qui puisse ici convenir;,d’autant
mieux q ue, suivant Etieàne de Byzance6’; ce.bourg avait aussi
*» Manncrt, Geogr. der Griechen und Römer, t. VOX, p. 458, n’en a trouvé Bine fa utgrami
que 38; mais c’est évidemment une erreur. . « àtfc. cit.
** Loc. cit^a. Ce furent Lyeomcdc et Hopoléas, Mantinécns; Timon et
Proxénc de Tégce; Cléolaüs et Acriphins de Clitor; Eucampidas et Hiéronymc,
Ménaliens; et enfin Pasicratc ctThcoxénc, Parrliasiens.
“ Pausan. YIH, 3î , i.
44 Idera. ibiil.27, 3'et 4-
**' Pbotius Lex. cd. Rie. Porson. Cantabr. i 83a. P. 1, p. 197 : ot 51 «ùç h tÿ
p. 2.74*. Kwpat, t 4 pipt] xéXcwc.
dem erant, ut Alhenis Ioniae : et quoe olim xüpai fucrunt eajam tribus [yuXal] p. 76 sqq.
ifuu; /¡inc inde çuXJa voceni. Corp. Inscr. 1.1, p. 609.
“ Suivant Hesycbius ce mot désigne le quartier d’une ville, GuX^ wtyjta,
¡UfOi nbXtut. S’il faut en croiro Pbotius-, Lex., P. a, p. 6o5, la tribu n'était que
le tiers de la çuXé. Tpirréç* to Tpi-rov pfpoe vrfi çuXîfc.
47 Par l'addition des tribus Antigonide et-Démétriadc, remplacées plus tard,
pour un semblable motif, par les tribus Ptolcmaïde et Attalidc. - .
48 Apud Stoph. Byzanl. v. SupSy. Cf. Boeckh. Corpus Inscr. gr., 1.1, p. 579.
i’Î?:6. Müllcr, Dpricns, t. U, p. 77,
” Cf. Bocckh., Corpus Inscr. gr. 2073.
41 Cf. Guasco Inscript. Capitol., t. Il, p. 1 sq.,;C. 0 . Müller Dorions, I.II,
nom AuxaiOa53, dont l'ethnique'AUxaiOrnii; peut être facilement retrouve
dans notre inscription; car onpcüt facilement supposer un i entre
l’A et le £ de’ila dernière ligne, et ce £ lui-même peut fort bien
avoir été un © ,:d e même que le chevron brisé qui précède le ©
peut être, considéré comme les' restes d’ùn N , ce qui donnerait faci-
lement AYKAI0ITWN.
Mais:quëlles fonctions,-quels¡devoirs Claudia Ditté a-t-elle rempiis
pour la :tribù Lycæa ou -Lycoetha ?■ car-’, -si je ne me trompe, c’est bien
le sens qu’il faut', donner, ici à ùssp. Avant de répondre à cette ques4
tion, observons que,, ces devoirs; elle a dû les remplir dans l’inté^
rieur même de Mégalopolis, car dans les dernières lettres de là ligne
6 il est facile de reconnaître le mot EN©AÀ£. Or Pausanias nous
apprend qu’il existait à Mégalopolis-une enceinte, consacrée aux
Grandes DéessesS4; que Callignotus, Montas, Sosigènes et Polus,
avaient les premiers établi dâns cette villé^lcs mystères de ces
deux divinités,, e t que ces mystères à Mégalopolis1 étaient une
imitation de ceux qù’on célébrait à Eleusis5*; enfin qu’il y avait-
dans la ville un très-grand temple dans lequel, de son temps encore,
avait lieu cette solennité, xal âybofftv ¿VTaOOa tàv teXettIv tau; ÔEaîç 56.
Dès lors la question se résout facilement et la restitution se présente
d’elle-même à ivOaSa Taïv Oeaîv JXiToégyiiasv, car le © qui commence
là ligne 7 peut trèsrbien provenir d’une erreur du copiste qui aura
pris les restes d’un Y pour l’un des éléments dit © e t la sigle p
51 Ilapà 31 MeveXétg AuxatOa jjùvè tou 0.
" VHI ,3‘ ’ ” ■
pour le reste de cette lettre. Je ne pourrais citer d’exemple de cette
sigle, du reste très-admissible, mais rietf n’est plus commun que
ces sortes de combinaisons, et je citerai seulement celle du K et du
P, n° i‘2'5;g d û 'Corpus, celle du T et-du P, n° 227 b , et surtout
célle du © et de TO'proposée par M. Boeckh au n° 1787, et celle
du © et de l’Y,- n° 1 a5 r du même recueil parce que dans ces deux
dernières, comme ici; la seconde lettre dépasse la première. ’
Quant à làV formule Taîv btali ¡XiTojpYëosv, elle se rencontré fréquemment
dans les insbriptions,'surt6ut.au participe, XtTOupyyieaoav
toïv Oeaîv *’..,Si j ’a i employé l’indicatif, c’est que les lacunes ne paraissaient
pas comporter d’autre restitution.
Je ne sais;çè,qu’on pensera de ces conjectures ; mais si elles étaient
approuvées,^.en résulterait, crois, quelques documents utiles.
D abord nous serions fixés sur; la division topographique et politique
dë Mégalopolis; nous aurions la preuve qu’au second siècle de notre
ère, les mystères des Grandes Déesses étaient encore célébrés.dans
cette ville, et que par conséquent ellè n’était pius dans un état de
décadence aussi complet’ qu’à l’époque d’Auguslc, alors que Strabon
disait de cette cité : la grande ville n ’est p lus qu ’un g rand désert58.
Enfin le : recueil des siglcs grecques e t celui des noms grecs recevraient
l’un et. l’autre une aqditipn assez importante, et le recueil
des inscriptions de Mégalopolis s’enrichirait d’un monument curieux
sous plus d’un rapport.;
“ 'Ibid.;^'.'^
47 Cf. Corpus Inscr. gr. i 435, i456^ctcÎ
“ ’E(n)(i(a lieyàXi) iorlv 4 MiyaXéraXu;. Stràb. YIH, 8, J, p. 388.
Au moment Q&ij'p termine cette^.explication des monuments écrits.,
de Mégalopolis , je reçois le premier cahier des inScri jjtiôbs (grecques
médites publiées à Nauplie par M. Ross î. L’inscription qui concerne
lëpOnt de Mégalopolis y figure sous le n° 11, e t la copie qu’en donne
-iHgfi^tfrïie'diffère que sous très-peu de rapports de celles qui nous ont
été remises. Je dois même dire qu’elle serait en tout point conforme
à celle,de M. Gliarles Lenormant, si à la fin de la seconde lignë ëlle
ne donnait pas AN Al au lièud’ANAI, à la ligne 5 EPOH2 E et non
EPOIH2 E , e t s i, au commencement de la troisième ligne, elle
offrait l’S qui figure sur le texte de M. Lenormant.
Du reste, l’explication que présente M; Ross de ce monument se
rapproche en beaucoup de points de la mienne. Nous croyons devoir
la transcrire ici, parce que l’ouvrage où elle est consignée ne se
trouve point encore dans le commerce.
Titulus a p u d Boeckhium i 53i ' e Pouquevillio desumptus, qui
perverso Cartivrighti dpographo us us erat, Qua prop ter lapidem
quern ja m Sinaniprope Megalopolin in ecclesia quadam asservo ,
accuratius description in tabula repetii.
V. a- Cartwrightus. m ale R— K— O HISEPATIANAE. V. 4
e t 5. Non observavit in Greeco titulo p u n c ta (A) hic ilia inter voces,
quemadmodum in Latinis assolent, interposita.Y. S. Omisit TH N.
Ibidem Greecum titulum male in duos (leg. duas) pa rte s diremit.
Y. 6. Habet À TA G O IA O rM A T iIN 2 IN EA P flK E© fl, quoe
tantum non omnia nihili sunt. Leviores errores proetermitto.
— ^ Goesarjri Aug. e t civitati ita
— — --- Ut promiserat (Ajn('ni®3 !rf
u s ? .— ■psjîîO 'Tauriscus-pontem-fecit; '
— AuToxo)ttTopi Kaioapi xat -n ttéXet
5. — — Taujpfexo« Îiî(>(i)ti(re Tàv.ÿiçupav xaOùi
èxeoylO» ? xjavà to idy/ia tiïv ouvfîpwv i f ’ §
•• T- — aÙTÙv tô ¿-ivo'jiiov xai PaXavui — —
— — ëyei OpeitpaTMV Jià piou.
‘ Inscriptiones grinças médirai. Collcgit cdiditqtic Lud. Rossius, Antiquit.
regui Grascise consorvandis colligondlsquc prtcfectus. Fasciculus I. Naupllx,
i834,'4°.
* Voyez t e lexiques de Schneider et de Passow, et Buttmann, Ausf. Gr. Spr.,
Pontem d e quo hoc -tituloxagitur trans JJelissontem fluvium
inter septentrionalem eimeridionalem Mégalopolis p artem fuisse
probabile est-,•.¡ubi hodieque p ontis antiqui reliquia! quoedam vir
suntur. Eum,pontem in honorem alicujus Ccesaris Augusti e t civi-
la tis (sc. Mégalopolis) fa c ien d um Tauriscus quidam susceperat :
quem promissis suis stetisse e t opus absolvisse teslatur titulus la-
tinus. Qui sequitur Greecus titulus a d eandem rem referri neque
a liu d quidquam n isi versio prcecedentis esse videtur (quamobrem
post xaOi>{ conjeci tmur/lhr, sc. _tjt pbomisbrat); additis tamen
coriditionibus de quibus Corivenerat inter Tauriscum e t synedros,
quem senatum Megalopolitanorum esse probabile est. Post i f ’ &
verbum aliquid fu is se conseritaneum e st v elu t p«j cntoçépeiy v e l
àiîo8iSévai.(rô iiîivé|uov), sed p lu ra excidisse suspicor. Inpro ximis
bene observavit Boeckhius faXavo a d g la n d e s, quibus pecora
vescuntur referendum v id a i ; f o r tasse f u i t paXavov tôv. çxfpov iirip '
Æv m Ope^pucTuv Sta piou. Modieque• Mégalopolis ruderibus ab
utraque fluminis parte querceta contigua sunt.
Je me permettrai quelques légères critiques sur le travail de
M. Ross, quitsans. doute trouvera beaucoup plus encore à reprendre
dans le mien. D’abord qu’entend-il par alicujus Cecsaris A u gu sti?
Les noms de Coesar Augustus, quand ils ne sont pas précédés d’un
prénom ou.suivis d’un surnom, ne peuvent désigner qu’Auguste.
Or là ligne 4 i Là première de la partie grecque, prouve jusqu’à I’éyi-
dcnce qu’aucune addition de ce genre ne peut être supposée ici.
C’est dôiic bieû'd’Auguste qu’il'.est question ici e t non de quelque
autre empereur. La note 2 de la page 48 vient encore appuyer cette
assertion. -
Je demanderai ensuite à M. Ross s’il croit beaucoup à la forme
ümcylbn : son point d’inteirogation' m’en ferait douter. Cette forme
est certainement d’une époque bien postérieure au siècle d’Auguste 4 ;
e t en admettant d’ailleurs qu’à cette époque on ait employé intieylin,
on employait aussi imhrftto, et ce dernier répond beaucoup mieux
à promiserat.
t. □ , p. 144. Matlhiæ, il estvrai, dans sa.Gr. gr., S 253, indique l’aor. 1.
Phoedi., à35D),'qiu, d’après le témoignage de M. Bckker, n’est appuyé que par
ItÉ '