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ce qui, plus que'tout autre indice, annonce un-monument byzantin,
l'inscription porte une dote qui ne peut être rapportée qù’à Père
mondaine de Constantinople.
Cette date doit être le ao août de 'l’an 63oo ou 636a (808 ou 854
après J.-G.). En effet, la lettre T qui commence la ligne 6 indique
évidemment 3oo, devant lequel on ne peut supposer d'autre signe
que A ou Ç. Le premier nous porterait au quatorzième siècl.e de
l'ère vulgaire, époque où les Grecs du Péloponèse, par suite de
l'influence des Latins, pouvaient avoir substitué l’ère des Occidentaux
è l’ère de Constantinople ; car on verra plus ta rd , par
plusieurs inscriptions de Patras et de Vostitza, que cette nouvelle
supputation était en pleine vigueur au milieu du quinzième siècle.
Mais ici cette date ferait beaucoup trop récente. Comment supposer
qu’è une époque où l’épée de tant de conquérants étrangers
avait sillonné le sol du Péloponèse, la langue; poétique eut aussi peu
souffert, quand nous voyons, par la chronique de Morée, combien
la langue vujgàire elle-mémc avait été altérée? On ne peut donc
admettre ici que l’ère mondaine de Constantinople.
Reste a déterminer ce qu’indiquent les deux signes placés entre leT
et le mot À Y IoC TO Y . La première idée ' qui s’offre à l’esprit
c’est qu’ils représentent les deux mots i&ixo<rr$ üsim'pw (Çpv).
Mais alors que représente le signe qui suit le K vers' la fin de la
même ligne? Evidemment on ne peut y voir l’indication du nombre
60 (Ç ), et la seule supposition possible c’est qu’il est là pour annoncer
un adjectif numéral abrégé (ctxosrÇ s. e. 4|ztpa). S’il en est ainsi.,
le signe qui suit le T a-t-il ici la même fonction comme il a la
même forme, e t le double B qui l’accompagne est-il une abréviation
de. la terminaison w comme le simple B est une abréviation de OC ?
C’est une question que, dans l’absence de monuments semblables, il
est impossible de résoudre, mais qui permet d'hésiter entre les' dates
63oo et 636a.
Du reste il paraît bien évident que notre inscription se rapporte
à la construction de la fontaine su r laquelle elle a été lue, ce .qui
prouverait que Mistra n’est point une ville moderne, comme dn l’a
prétendu, que c’est, non pas la ville, mais seulement là citadelle
de ce nom, qui doit sa fondation à Guillaume de Villc-HardouinV*,
et que la ville existait déjà au neuvième siècle, portant probablement
le nom de Lacédémone pour les Grecs, mais déjà appelée Mistra
par les Slaves, dont les dernières invasions eurent lieu dans les années
746 e t 747 95. Par qu'i fut-elle fondée? c’est ce qu’il est difficile de
décider ; mais ce qu’on peut affirmer, c’est que lé nom de Mistra
est un nom slavea®.
Il serait trop long d’indiquer ici la marche que j’ai suivie pour
arriver à trouver le sens de ce monumentale plus'difficile peut-être'
que j’aie rencontré jusqu’ici. Je me contenterai de faire connaître
le résultat que j ’ai Obtenu,
Zr,0i, xupit xo[p]ûv, àvipapis-roç Aaxe^aquov!
- [t] oùm'xXnv Kptêa-ra xuS [pjèî fxjâyxivooç Av[0aç]
*poeTa-r[&t xfyM«]' W H«poeAiî«<n tozvtuv
h. {3â[0]pwv àveytipav xpouvoù; striait Suavraç ,
0UVTpYi[e]«î [i]î opu sà i’ ÏTniMaet [0]e8Btc«r[v]-re.
[Èv fc«i ,7] vV (ou
” Le passage de la Chronique, de Morce relatif à cette fondation ne laisse
aucun doute S cet égard : « Dans le tour que Guillaume de Villc-Hardouin
• fit dans ces contrées (après la capitulation de Honembasie, qui eut lieu
« trois ans après l’arrivée de Ville-Hardouin), il trouva, a une lieue de
« Lacédémonia, un petit monticule situé d’une manière pittoresque au-dessous
« d’une plus haute montagne. Cette situation lui parut convenable pour y placer
« un fort; il en lit en effet construire un sur cette montagne et lui donna le nom
• Mésithra qu’il porte encore aujourd'hui. Il en fit une belle place et un fort des
• plus imprenables.* Traduct. de H. Buchon, p. 186. — M. Narcisse Landois
prépare en ce moment une édition critique du texte de cette chronique si
importante.
Vis, 6 Lacedèmone patrie des vierges et des héros! Le fils de
celui qu’on a surnommé Krêbatas, l’illustre et habile Anlhas,
préside aux destinées de ce pays; et en effet, réveillant et réunis-
sant toutes ces sources, il les a conduites par un canal commun
jusqu’à ces çbllines, jusqu’à cette terre que protège la divinité.
L ’an 63oofo u 636a ), le ao août.
Il est à présumer que; la ville,; privée deau par suite de la perte
des sources qui 1 entretenaient ses fontaines, avait eu a souffrir de
quelque épidémie', e t qu’un magistrat, un irpoc-rà-nn, lui avait rendu
sa salubrité première en réparant l’aqueduc ou les canaux qui y
amenaient l’eau. Cela expliquerait l’emphase du'début : Zü0i, etc.
L’épithète de xupà xopQv donnée a Lacédémone paraît être une
imitation du Sxap-mv if xaXXiyôvaixoe d’IIomère 9? ; celle d’àvÿpapio-roç
ne se trouve pas dans les lexiques, mais elle est aussi conforme aux lois
grammaticales relatives à la composition des mots, que les expressions
¿vSpayaOta, àvSpayaOn-mî, etc.
Le nom de Kpeêaràç est évidemment dérivé du mot xpâë&tTo;
ou xpaêaroç, dont là langue - vulgaire a fait xps'êa-roç, comme de
xpaëêaTtov elle a fait xptëcc-rt
L’ellipse de yîv que je suppose au dernier vers n’a rien qui doive
choquer99. Sans doute daus cette ellipse, l’adjectif, est le plus communément
précédé de l’article, mais en poésie l’article est souvent
111111111
Je terminerai la publication des inscriptions grecques de Sparte.
par un monument beaucoup plus récent trouvé par M. Virlet dans
une maison du vieux Mistra ( ó oeytoç AnpiTptoç.). C’est la fin d'une
inscription qui devait être beaucoup plus longue et porte la date de
l’année 180a. Elle est écrite dans l’original en caractères gothiques
accompagnés des accents. Je la transcris en caractères courants pour
. compléter l’histoire de l’épigraphie làcédémohienne.
Kaî aSni Si’ iitcov XpuoxvOou se tüv àvoeXu(iÎT<ov
Sastf anioeeXtoSj^pf Aoxsoafpovoç xal açopoç rrpayp.dxoïV'
rnspif seaùsÿicsiv 0 tüç Mfaç tAçoç' .
Upap'/yf re épiotixal râv xalûv (lis. xaxüv) é -rpopioî-
EüyscOs Xorcôv âiraVTeç Bîfeg absoù
TOU oixooé|iou TOIGUTOU xaXoo xal ayaOoS"
xal oi ziiovrif OBop (f;;i ùpïv) iiii (lis. lia ) ,.
tyxégia 1ère t ü èy.ri\cGrÿ ccùtw.
Ém (lis. îtîi) cwnipitp ctwpS1 iv pivi aùyoôaTu :• ivBixvtôm e? :•
Elle l'a cors truite à ses propres frais, secondée par Ckrysant/ie,
le gouverneur et Üéphore de Lacédémone, dont la patrie est Lacédémone
elle-même, et qui est tout à la fois le chef du culte et
la terreur des méchants. Du reste priez tous pour Tkab.ile archi-
tecte'de ce bel et bon (édifice ?); et vous, qui buvez l ’eau qu’il vous
a donnée, accordez des éloges a celui q u i a accompli l ’eeuvre.
L’an du salut r 8o a , au mois d ’août, indiction 5.
93 Voyez M. Zinkeisen, Histoire de la Grèce depuis les premiers temps jusqu’à
nos jours, Leipzig, x83a, 1.1, p. 740 et suivantes.
’* M. Zinkeisen, loc. .cit., p. 855 et suivantes.
« Odyssée, XIII, 4ia.
Voyez Ducangc, Glossarium ad scriptores medioe et infimæ groecitatis.
V. zftiSStrcoç, et Coray 'Axtnm, 1.1, p. 111 et »38.
” Voyez Lamberti Bos, Ellipses grascia, p..78, cd. Schafcr. La langue,
allemande connaît aussi cette ellipse; Goethe, Wilhelm Mcistcr, VII, 1
fPir fûhicn dabei dass wir aicht gant in der Premde sind.
Æschyl. Agam. ¡t 17, cd. Klauscn : t/flpà ? lymsuf tcpw|/iv.
i 8 1 ')
MONUMENTS D’ANTIQUITÉ FIGURÉE,
RECUEILLIS A SPARTE FAR LES MEMBRES DE LA COMMISSION ET EXPLIQUÉS ft
P lancue 4à. Fîg. II?
Ce monument nous offre la . face antérieure d’un sarcophage
d’une' icbiiïpqsition élégante* et^symétrique , mais d’une excqulion
unipeù lâùrdé, ce qui iperniet de conjecturer. qii’il'f n’est pas antérieur,
an siècle dep Antonins, époque où,- suivant l’opinion, de
•Yiscpntjr, adoptée par M.-Gerhard 3 e t M. Labus 3, mais qui ne
saurait être admise'd’uné manière absolue*,.on commence à rencontrer
des sarcophages' ornés de basrreliefs. .Trpis.' génies nus et
â—TSpM portent sur leurs épaules des'ëyxapu'a qui tombent en fés-
tons. Au-dessus des deux sinuosités que forment ces deux guirlandes,
sont deux griffons; au-ddssoüs, d eux lionnes ayant chacune sous la-
patte un objet mutilé qui dôit être Une tête de bélier ou de taureau.
Les trois génies représentés sur ce bas-relief,ne peuvent être que
des;gqntes bachiques, comme le prouvent les griffons-et les lionnes,
animaux consacrés à Bàcclius5, et qui, independammeut de cette
attribution, ont souvent, comme animaux solaires®, rapport au^thème
gcnéthliaque du personnage renfermé dans«le fombéau/, surtout
quand la Ijonne, le griffon, ou le sphinx tient sous $à p atte, comme
cela a lieu souvent, surtout poùrde liop et-la’lionnfrj-une tète soit
de taureau, soit de b.élier8. 'Dépourvus d e . cet accessoire, ils se.
bornent à leua>scns. d’attribut baçliique. *
Mais, dan»ce dernîhr'dSs'; pourquoi cesanimaux bachiques.sontr
ils.représentés sur les tombeaux? Rjejder 9 y voit un symbole de la
mort.;? d’-Hancarville 10 un Usage 'emprunté aux Hyperboréens ou
S.çythés; Visconti11, des gardiens des tombeaux destinés à effrayer
çeüx.qui seraient tentés d’en violer la sainteté.vSans doute ces différentes'
opinions ont un certain degré de vraisemblance; mais, la
seule admissible, selon moi, est. celle qui y reconnaît *ufî emblème
d'initiation, c t c’èst {aussi'celle de Visconti11 ; seulement elle ne"
s’applique pas* directement au monument, à Poccas'io'tf duquel il
l’émet, puisque le^sphinx y tient une tête de bélier sous sa .pSttçîî
Quant aux génies, suivant M. Labus l3, qui adopte à cet éga.i'd le
sentiment. ,de Herder ce sont les gardiens du tombeau, e t ils ‘
semblent, dn e f Ne troublez pas le repos de ce corps; il dort,
dprès Vavoir rendu à la terre, nous'sommes les gardiens de styi
dbrnièr asile. Cette, explication, si. elle n’est pas à l’abri de toute
critique>.®-, est^du; moins,ingénieuse. Pour ma part,-.je crqis’que les
génies, cor.tége.dèfgaccbus, doivent se rattacher, comme les griffons,
les sphinx,’ les. panthères; les lions et*les lionnes, au sens général
du monument : la v ie dans la mort par suite de l’initiation.
Le type qu’offre notre-monument a été fréquemment reproduit,
ifia-is presque toujours avec dçs variantes. Les recueils de-monuments
d’antiquité figurée en fournissent dë nombreux,exemples1®.
Du reste, sur la plupart des tombeaux romains, on retrouve quel- •'
qu|un des ornements quijsont ici réunis,'L e' plus commun, cè sont
les êyxagira17, auxquels sont quelquefois substituées des guirlandes
de chêne'®, de laurier ' 9. ou de myrte
Fig? V . ' '
' Les traits de'céttë' tête; sont trop mutilés pour qu’il soit possible
de' détërmiucr avec certitude ti quelle divinité ellé appartenait.
MM. les membres de la commission y voient une tête de Bac-
chus31; je crois’qu’ils ont raison , à en. juger par les traces de
grappes de raisin qu’on- distingue encore dans la couronne, et par’
la résseinblance qu’offrc la coiffure avec celle des nombreuses représentations
de ce' dieu 33.'-0n ne peut s’empêcher cependant de' remarquer
la conformité de cette tête avec celle d’Hcrcule enfant sur
un hermès provenant de la villa d’Adrien 3®. Les fortes proportions
‘‘du cou, là chevelure épaisse et touffue', la petitesse des 'orëillcs,
Constitueraient une similitude parfaite, si, sur lé fragment'de Mistra,
la face n’était plus longue et moins'large quc sur le monument romain'.
Celte dernière circ<instancq,më porte à persister dans' la première
dpihîorf. Dù reste, Bpcchus3*;çt Hercule35 étaient également adorés«
' Museo Pio Clem., t. V, p. Ti,.ct t. VII, tav. XXII, éd. de,Milan. Millin.,
Mon. inéd., t. I , p. jo5 et suiv., adopte l'opinion,de Visconti, dont il rjpro- -
duil lé travail .sans en prévenir et sans y ajouter neaùcoup.
1 Ann. de flnst. archfi&îÿ
3 Musi della reale accadepjia di ' Mantova, vôb ll, p. ao et aa3.
‘ M. Labus, loc. cit.; place l’usage des sarcophages sculptés outre le .second
et le troisième siècIe Ué l’ère chréticnncyct Visconti lui-nicmc prouvé,'-¿p. cit.,
p. 1 o, (|ue l'usage de brûler les corps cessa d'étre èxclusif à Home à partir du règniy
d’Auguste.'Or, si dès lors on déposa les morts dans des caisses de-marbre, on
ne dut pas tarder à dccôrcr ces caisses, d’autant mieux que lès urn'cs sculptées
de l’ttrarie et les vases peints, déposés, dans Ici tombeaux de la grande Grèce,
, dû figurent tant dc scènék symboliques empruntées à ia mythologie, devaient
naturellement conduire'-à ce genre do décoration.*11 dut en être de même en
|è-Grècé, où*tantule sujqts symboliques représentés:sér les stèles et sur les vases
funéraires durent inspirer de bonne heure aux* artistes l’idée d’orner les
sarcophages d’une manière 'semblable;': ’
S > Voyez Visconti, Musi Pio ■Clemi t. V, tav. p. %8; cd^de Milan. Cf.
t. IV, tav. XXII, XXm, c segg. Môntfaûeoh', Suppl. à l’oint. Ex/fît t. V, pl. 5a,
. t. Vlly tav. XXXIX.
6 Voyez pour le griffop, Survins ad. Virg. Ecl. VIU, a7. C(5Gori, MiisŸEtrs'
t.’ à, p. 178. Le griffon décoré beaucoup dò monuments' consacrés à Apqllpn?
Voyez Mus. Pio Clem. t. IV, lav. Ali®, où. Melpomene a une tétede laurdau
sôtîs*ka massue; t. VII, lav. XLII, ^XLlX, etc. passeri.,'G'emnuc aslrlf. 1. 1
pl. XXXXIX, et t.
l'Voycz’à ce sujet la savante note où M. Raoul Rocliotte {Monuments ¡pdf
dits, p. i7, noto 3) réfiitc l’opinion d’après loquéllc Jcs’idécs as’trologiquès
soraient’ restées étrangères’-à l’ântîquîté. Cf. 'Labus, Mus. delta r.\a'ccad. di
Mantova, vq). II; p. ?68...
* Ajoutez aux-exemples cités par M. Raoul Ruchette, loc. cit. : petur Iis’
griffon, Montf. A. E., t. V, pl. XXXI. Cf. pl. XLIX; et pour la lionnc^d/ur.
Piò Clem. t. IV, tav. XX.
, t. II, p. 94, g5. -
il à la. dissertation de Lessistg sur la m
ians le t. IV du Consery. des ares et
'* Rtcherchesisur Corigine de la religion, etc., de 1
(■' ."ÏMus. Pio Clem. t. V, p; i5o... 4 •
13 Museo di Mantova, vol. II; p. aa3. ■
t | | OpLciti lettrif IVÎ" ' '■
z 15 Je crois cette explication tout au plûAJtdmissibJe pour les tètes de
Gorgonè sculptées «tir les tombeaux. Cf. Labus, op. cit.', vol. II, p.
'* Voyez Fabretti, /nicr. ant. c. VlfTii* XI, p. 4/17; Mus. Pio Clem. h IV,
tav. XVI, t. VU,: tav. XXXV; MiHini Mon. intfd. 1.1, pl. XIII, p. io5; Mont-
’ faucon, Ant. Expi. t. V, pl. XXIX et LI, etfes
'? Sur un monument publié.par Spon, Mise. crud. antiq. p. 3o6, IH, un
esclave présente à deux époux morts ct.couchéssurlè lit funèbre, une guirlande
de fruits, tandis que dë l’autre main il tient une lampe éteinte. Ainsi'les Îyxapmt
étaient ujiç offrande fltite aux morts' et destinée à décorer leur tombcau.’p rdi-r
naircment ilssontsuspendus à désb'ueranesou àdes tètesdebéliers. ,
,s Montf.' Ant. expi. t. V, pli XXXI. Raouf Rochettè, Monum. inéd. pl.
1 XLVII, fig. I , etc.
% ■» Ibid. pl. XXIX.
• * ¿iîjridîpi. XXX. *. •:
V Voyt$;,plus 'haut, p.-59.
H ' *j v ^ ÏM u k pio'cieai. t. H> ISy: XXVHÎf , XXIX et b. II; t. IV, tav. XX,
XXÏI.a-XXIV; t. V, tav. VÙ , VIII et C; t. VII, tav. H. Cf. Winckelmann, Mon.
. Mu}. Pio demi t. VII; tav. XII.
’ Pausaà; IIT, i 3;._5.'Cfi'in, 11. 8 et 18, 7.'
PausanVin^ i5, 3i II est vrai que dans le temple dont parle le voyageur,
Hercule était représenté AxXte\dnf, mais il y avait encore à Sparte deux autres _
eu. IU,