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Los interprètes du musée de Mat) loue'oiit bien vu qu?il s'agissait partie droite du monument disparu;, mais en comparant ce qui
ici d’uno supplication et d’un sacrifice, mais ils.se sont entièrement, reste avec l a bas-reliefs que' nous avons décrits, on voit'qu’elle détrompés,
e t sur le nom à donner aux deux divinités, dans lesquelles vait contenir Hygie, unçfamille de suppliants,>et la tête du cheval
ils veulent reconnaître Jupiter et-Cérès, et sur le sens qu?on doit de eâvavoî.Visconti, trompé par la conformité qujqfTre la coiffure du
attacher à la tête de cheval, qu’ils regardent comme un*symbole du dieuaveccelledelastatuedePlütoncoüservéeaumusécdtoVatican“ 8,
lieu pour féliciter prétend que ce bas-relief a t funéraire et représenté ün mort reçu
ftglia au banquet du tyran des enfers. Il explique dé la même manière l a
i deir deux- bas-reliefs de la villa Albani, où Winckélmann a cru voir
srd’ôctobr où le sacrifice doit a1
Cérès dello avere essa ottenuto 'da Giove che la rapita
Prosetpina posesse uscire d ’inferno, e restare seco sei
anno. Ce qui les a surtout induits en erreur, c’est le porc qu!ils
pris po u r une truie, animal qui, comme destructeur des
était surtout .sacrifié à Cérès; ainsi que le dit'OvideIao :
Mais Cérès n’était, pas l’unique divinité à laquelle on .offrît
soit une truie, soit un porc,aa. Si les interprètes de ce bas-relief
eussent connu, le passage de Pausanias que nous avons cité plus
h a u t,a j ils auraient peut-être réformé leur premier sentiment. Du
reste, il.est à regretter que les explications du premier..volume
de cet intéressant recueil n’aient pas été, comme celles des volumes
suivants., confiécs.au savant M. Lobus; il aurait sans doute évité une
méprise aussi grave, lìti.q u i, dans sa lettre à Cicogna “ é, a.si bien
signalé, le sens funéraire du cheval sur les. tombeaux.
On-rencontre encore un exemple de cette catégorie de monuments
dans un bas-relief du musée d’OÎtford ” 5, toutilé, il
Neptune, Cérès e t le'cheval ^Arion, et dont nous , aurons"occasion
de nous occuper au § 4. Mais il est évident qu’il s’est'trompé ici, et je
prouverai bientôt que son interprétation des deux autres monuments
est également erronée.
Je rangerai encore, dans celte classe un bas-relief du musée de
Vérone “ », q u i, tout mutilé qu’il est par la moitié , et bien
que .la tête du cheval y manque, ne peut laissër aucune ince?-.
titude. L’encadrement de cet éx-motà consistait également en-
deux pilastres supportant mie architrave. Lé dieu.est seul,..il -n’est
point coUChé, mais assis sur son- trône; ses .pieds, reposent sur u n
iwowiiiov, Gomme nous l’avons, vu jusqu’ic i , ‘il est nu jusqu’è la
ceinture, et le reste de son corps est enveloppé dans-les larges -plis
manteau que retientsa -main gauche. Comme sur le monument
droite en avant en signe d’attention,
lequel un enfant nu conduit un porc,
trop' d’audace, que dans -la partie qui
invoquer le- dieu,; e t sans
de Merbaka, il étend la mt
Près du .dieu est Un au tel vi
On peut conjecturer, sans
manque se trouvait la famille- q
doute aussi la tête de cheval.
§ 3. Sacrifice d ’une chèvre.
Je n’ai rencontré .pour..cette classe qu’un seul typejqui m’a été
. , . . -.. : -.. , , ■ • ■ . ■ r . ... .... ... fourni par Je. recueil de.-.Gayhis *3?, .encore, nfy.voitton pas figurer la
' P®rtie,|iHiehe, ma,, doni, , mniikSon f a i t .d k p r â ta qua | j C . monumcnl,: H M B H H H H H I R I
oralir» E * u ],p e , I . rl.jton -lan ,I. m.m g a u d » s j , du.lékps' ia .C a jla ,, cmaarvé i l„ l.il.liolhi,,,,,. Jn roi, iii, '
I f t S d°n* f u t ,ne„- j e pU g g l p 3 Im a ^ o a t 1. ïa .t Ko.,,,
d a t a , ,« raprèmatalioa. pràaadentes inu! la.plaioa d'A igo., au, le. n u * dUda égliae ilavda i k V a a
eaiffi, Hjgia, enlièrm.ènt-ifflie. tieat dm» le mll.ga„Flimir P .aL .: . g * ¡,
ApyoC. Le lieu ¡seul d’où provient ce monument curieux me. faisait
le cadmile
e t drapé comme
tion jusqu’ici, se distingi
par le modius dont il i
l’acemz ouverte dans la n
pose d’un-père, d’une m
ficatcur qui, entièrement
gauche le plateau et le coutéau
occupe sa place accoutumée.
Vex-voto que je viens de décrire prouve combien il
saire de procéder, autant que possible,'.par comparais,
comparaison du plus grand nombre possible de faits analôgi
droite. Là famille du suppliant s
et. de.deux enfants, précédés du sac
conduit un.poyc, ,et. rient sur la mi
a tête du cheval de ©¿vadevoir
de ne le point passer
silence;; '
impie draperie., depuis IasCèin- '
un lit, tenant.dans la main
avant la main,.droite,l3a;:A ses
P Esculape barbu ; enveloppé d’ui
°S ture.jusqu’aux pieds, est assis s
- gauche131 une couperet étendant
s' pieds est Hygie., assise sans, doute sur, i
lr tourné vers le dieu. Elle s’appuie de la
peut juger'' du mouvement de la
siège à p a rt, et. le visage
tin; gauche sur. le; lit-mais
—k. ' j -u i- . °—WB— un ne i utter uu moi droite,, le, bras étant
x -.itreprend d expliquer les monuments de l’antiquité figurée V ii ' ’.ï ' a i <-» ■ i î - ■ ■
les bàs-relièls de la même famille. it pas manqué de voir Pluton
dans le dieu, coiffé du modius e t Proserpine dans la déesse placé,
à -ses pieds. E t cependant il est bien constant , par tout ce qui pré-
cède, que s sont Esculape e t Hygie. (Jest poui
elle invitait les suppliants à s’approcher. Devant le dieu.était sans doute
unetabfe que le dessinateur a confondue avec le lit,-près, duquel se dresse
un serpent. A la gauche du dieu, p n v o it , suivant ;l’üsage;l le jeune
cadmilc vêtu cet te, fois d’un e .tu n iq u etàla iree t. d’un'm anteau qui,
st pour laisse son épaule-droite à découvert; il a près de lui ün cratère dans
1 . _ ^
s deux dîïin
ivi cette méthode que Visconti s
l’un fragment de bas-relief.duiîül-
| £ m m , ¿ (oe a» modlu, « „ „ M M ¡ ¡ ¡ I I I I I * * * * * B B | .
fragment représente un digu coiffé du inodius el
gauche e t devant le seul n:i„ , , „ f lS l S qw semble. apçqnng.d clle-mome auprès des deux divinités. Comme
gauciie, e t devant le seul p.lastre de l’encadrement qui nous l’avons dit plus haut„la tête de cheval manque,soit qu’î l e ait
tenant, je , ^ ô o ? dans été omise par l ’artisto,.soit qu’eUe ait échappé aux. re ^ rd x d ü d te s i,
Jr un cratère. Toute la nateur. Toyte cette scène est contenue dans. l’çücadremènt ordinaire.
le seul pib
ï J cadmile n
n gauche et s’appuyant de la droîfe s
•‘° Ovid. Fasi. 1, 34g.
■” Ibid.-XV, 414. .
•” Voyez un exemple di
pl. XVni, p. Sa etsuiv. J
1. Part I , uv. L n , fig. CXXXVI
est représenté d’ordinaire. Vojea, entre autres, la statuì
vol. II, tav. X, et célie du musée de Vérono, LXXV, 5
eule divinité qui porte habituellement Je modius - ce
usi à Sérapis. Pbiir juger des rapports qui existent rótr<
rapiscl Esculape, i1 suffit de sc rappeler le Serapcum de Pouzzolcs
nplo de ce dieu était environné de cél|ulcs thermales.
Vol. I , p. ¿8, Limd., 1834. Tav. VI, fig. I , p. a4, ed. di Milàno.
Mus. Pio Ctem. \oi.n,pi.''r.
”» CXXJj r t. ' ,
,3* Tome III, p. io5; et x x x n .
,s' La gravure, faite sans aucun doute sur un calque du dessin, prêt
uche ce qui devait iitre ù droite, et réciproquement. Je rétabUs l’ordr
nablc dans ma deset■iption.
,3> La main, il est viai, a disparu, mais le mouvement du bras ne lusse
-utc sur le geste, qui., comme nous l’avons remarqué, annonce l’attcntii
133 La main droite ét le upé/oo; manquent.
:>-;l^resto>':k.m{m.qu,en;di»iie;G|jpIpsu^ an it/lqin..d,ê(re..$dèle. On n e rà Esculape et à sa fille, sont des dieux que l’on invoque pour un
n.y retrouve aucun sentiment, de,l’antiqüe, et toutes les figures sont malade que.le cheval de ©évéro;' se disposé à emporter,
ans le goût du siècle de Louis,XV.: on. les croirait dessinées par. Esculape e t Hygie.ne.figurent.pas toujours seuls sur les.monu-
anlw.ou; par.Boucher., Aussi, sans; le témoignage de Fourmont, ments.. Sur une pierre gràvée, publiée par Montfaucon '37, on voit
sans .les ^détails.de la composition si conformes à une foule de monu- - Esculape,; Jupiter .e t Hygie. -L’association: de ces trois divinités est
^ dessin de ce.bas- confirmée par une inscription du recueil de Doni '3*, dont le début
reiiet 1 peuyçe d un faussaire.maladroit. Mais ce; qui,?abstraetion faite est ainsi conçu :
de . ces. motifs, ; ne • permettrait -pas .d’élever; un .tel .doute,. c’ést „que.
le defeutreproché à .ce dessin.se retrouve,dans toutes lèS;gravures IOVI (| ET ASCLEPIO || [ET] HYGIAE
du recueil ;de,Çaylus. II. est de, certaines époques ou, foeil.des artistes,
ne;voit plus.la. nature telle.qu’elle, e st, et où leur main devient Rien ne s’oppose à ce qu’on reconnaisse ces trois divinités dans
inhabile à la reproduire. Les artistes dumoyen âge voyaient évidemT le» bois personnages principaux du. bas-relief de Montfaucon, car
ment faiu; , e t encore aujourd’hui, j ’en ai dejà fait la remarque ,3i,
la plupart des artistes anglais ne prêtent-ils pas aux têtes et aux
.formes:grecques .un-type;tout A fait.britannique?
, .Je ne .critiquerai point ici rinterprétarion. entièrement erronée que
Caylus a donnée de ce, bas-relief. Il convient naïvement que c’e st. un
problème dont il ne peut trouver ..la solution. H me suffira de dire
qu?il,y,voit;;u.n,tombeau, un père,de famille avec ses filles, et que le
serpent l’a porté ^ croire q u e santé était l’objet de la cérémonie;
ce* qui est vrai sans ,doute, mais.cn- contradiction avec l’jdée.de .tombeau,;
Les raisons sur lesqueUes il s’appuie. ;pour. prouver que cette
sculpture est du temps des Antonms sont sans aucune valeur.
§ 4- Supplications.
J arrive à une classe de monuments .dont le sens, plus, difficile, à
déterminer, a maintes fois embarrassé les archéologues; et d’abord,
pour procéder chronologiquement,' je parlerai de celui qu’a, pubhé
Montfaucon dans son Antiquité expliquée,3S, et qu’il.a rangé .dans. la
classe.des représentations-de repas et de festins. Je, reproduis, ici,la
description quHl en donne, en ajoutant, entre crochets'les .détails
qu’ilaomis .« Ce monument, dit-il, représente deux hommes [l’im
barbu.et l’autre,sans,barbe, e t tous deux-d’âge différent], à demi
couchés sur un liçy et.une femme assise sur une escàbelle. [et les
pieds, poses sur un iiroiîéiiov. .Lés deux, hommes sont nus jusqu’à la
ceinturé. jLe plus âgé appuie sa main droite sur l’épaule'droite du plus
j®une. .Çelui-ci pose la sienne sur, la tête de là femme, qui étend la
main gauche commp. si elle parlait. Sa.poitrine et son bras gauche
sont nus'; ses épaules, son, brps droit, ainsi que. topf l.e, reste de son
corps,. sont couverts d’un large peplus. Devant le mfôj une. table S
deux pieds couverte de gâteaux sacrés d’une forme très-vague.] l ï y
a. pour le service, quatre femmes ,3G [d’une taille inférieure à celle
des trois .personnages principaux, et dont Ja dernière porte sur sa tête
un objet rond et plat, peut-être une corbeille]; un homme nu [c’est-
à-dire un éphèbe, lé. cadmile obligé,,à;gauche du personnage principal
, mais sans aucun des attributs de sa.charge ] , et un petit, garçon
aussi, nu [derrière l’escabeüe àe la femme, e t affublé d’un bonnet
par. le dessinateur]. Ce qu’il y- a de singulier, et dont il serait difficile
de donner raison, c’est qu’un cheval, qui montre sa tété à une
fenetre, semble regarder les convives.
Il est . impossible de .ne pas reconnaître la conformité de ce -bas-
relief avec .tous çeux dont nous ayons déjà parlé. Mais quelles sont les
dont il, nous retrace l’image? car il, est évident que
[es trois personnages plus grands que tous les autres-acteurs de cette
scène, et dont, le costume est celui que nous avons vu jusqu’ici don-
■m Voyez plus haut, p..Î4.
■“ T.ni,pl;.5o, fig. 3.
1,6 Deux d’outre elles sont peut-être des hommes, car le dessin paraît très-
,Jj Suppt. de l'Ant. expi., t. I , pl. 19 bis, a.
,J* C1:I , n»83;p. a4.
’^ Pausan. n ; io,!3.
ll-° Pau San. n , x3, 3. Les représentations d’Esculape sans barbe sont assez
fréquentes.1 Voyez Passeri Gemma, astnf., t. 1, pl. LXXI, étVUconü, Mus.
Pio Ctem. m p. 40.
.' ' Le savant bénédictin joint & ce monument le nom de Desmonceaux
{Uses DeaMouceaux). Or, on saie qu’un architecte de-cc dernier nom, oncle
du célèbre comte de Bonncval, fut envoyé par-Imtiis XXV en Orient, vers
on sait quiEsculape é^i.t ^souyent représenté sans barbe : par exemple,
pour ne pas sortir du nord_du Péloponèse, dans. le temple, qu’on .lui
avait"consacré à Sicyone ,39, et.dans celui que contenait la citadelle
de Phlionte. '.d0,;.. . . ,
Mais comme Pausanias, dans la description du Péloponèse, d’où le
monuqïént'de Montfaucon doit provenir,, d‘, ne, parle d’aucun temple
elevé spécialement aux,trois dieux réunis dans l’inscription de Doni,
..Jçîiâ^gté fort que la première, des trois divinités du bas-relief de
Montfaucon soit Jupiter. Jlaimerais mieux y voir Esculape; . e t considérer
la seconde .comme Évamérion ou. Acesius, le même que
Télesphore, e t dont le.culte était réuni à celui d'Esculape et d’Hy-
gie, .non-seulement- à Titané, mais aussi à Épidaure Ma, principal
sanctuaire du'dieu de la médecine, le point d’où son Culte se propagea
, en- Grèce et en Asie 'é3. Hygie sans dpute joint ses supplications
à celles-dç la famille qu’on voit derrière el|e, et le geste
d’Èvumérion annonce peut-être que.sa prière est exaucée. -
Il faut bien se garder de voir une scène semblable sur le bas-
relief que Tournefort a publié dans son voyage '44. Voici la description
que çe savant en donne : -. ■
“ Ad hoi“. de.l’église de Métélinous (village de l’île de.Samos), on-
a enchâssé, À .hauteur.d’appjii ; unancien^^bas-relief de marbre, parfaitement
.beau,,qu’un papas découvrit; il y a quelques années, en
labourant .un dtemp.- .Ce marbre a deux pieds quatre pouces de
longueur, sur quinze ou seize pouces.dé, hauteur; l’épaisseur en.est
dé, trois,pouces;-mais comme.,il n’est pas fort élevé, de terre, les
têtes èn,.sont.maltraitécs. Le bas-relief contient sept figures, e t représente
une cérémonie faite pour, implorer le seepurs d’Esculape
dans. la maladie de quelque personne de considération. Le malade
est dans son lit; la tête e t la poitrine élevées, tenant un vase par
les deux anses ;’le dieu de la médecine paraît à sa droite vers le pied
du lit, sous la' figure d’un serpent. La tablé, qui est vis-à-vis le malade,
soutenue par trois pieds terminés en pieds de chèvre, est
chargée d’une pomme de pin ,fie deux flacons e t de deux corps qui
finissent en pyramide, placés à chacun des bouts. Sur la firoite du
.malade est assise une femme'dans-un fauteuil dont l e dossier est
fort élevé : cette figure est bien drapée e t les manches sont assez
serrées; son, visage est de.front, et il semble qu’elle ordonne quelque
chose à un jeune esclave qüi est tout auprès, et.qui a une, espèce
de casaque sur sa veste. Au pied du f it est une'autre femme
assise sur un tabouret couvert et dra'pé : elle est vêtue de même
que celle qui est dans le fauteuil, mais on ne la voit que de côté, et
son visage est presque de profil. C’est peut-être la femme, du malade,
car on voit à ses genoux ün jeune enfant debout e t tout n u , qu’un
petit chien semble caresser. Une jeune, esclave est encore placée
l’an 1668, et qu’il doit exister en manuscrit, dans la famille de Bonneval,
une relation de son voyage, dont Corneille Bruyn a inséré un extrait à la
fin du t. V- de ses Voyages. (Paris,' 1715, in-4*.) Une partie de cet extrait
se rapporte au Péloponèse. Dît- reste, le monument de Montfaucon pourrait
également avoir été copié & Pergame, où Des Monceaux s’est arrête,
et où le culte de Tclesphore était réuni à celui d'Esculape. Voy. Pausan. II,
'
. ,4‘ Pausan.□,-11, 7;
143 Pausan. II, a6, 7. Sans douté le culte d’Esculape est originaire de l’Asie;
mais après sou importation en Grèce il retourna, sous sà forme nouvelle, dans
ion antique patrie.
144 Tôurnefort, Relation d'un voyage du Levant, t. a, p.-3 et 137,' Lyon,
1717; 3 vol. in-8°.
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