tréens célébraient chaque année en rhpriiieùr de Diane, et dans
laquelle. la vierge consacrée à cette déesse fermait la procession
montée sur' un char traîné par des cerfs1J* (a).
14. L’artiste, sans doute pour montrer coriibien l’intervention du
dieu, sauveur est devenue nécessaire, nous' offre dès le début une
scène de nature à prouver l’imminence du-danger dont la brutale
agression des Centaures menace les Lapithes.
Un Centaure, sur les épaules duquel flotte une peau de bâte, soulève
une branche d’arbre I I dont il se prépare à frapper un Lapithc
nu , qui, le casque au front;,, se,fait un rempart de son bouclier, et
tient dans là main droite une pierre qu’i lv a lancer à son ennemi
'V . Celui-ci-, non content .du moyen de défense dont son bras
est armé, se. dresse sur ses pieds de derrière pour frapper son
adversaire à l’aide de ses sabots antérieurs. Tout le groupe rappelle
ces vers d’Ovide f|$ : -
Zpse dolor vires anitno dàbat; teger ih hoslem
Erigitur, pedibus que vint/n proeulcat àqiiinis:
Excipit Ulè ictus galed djpeiquc 'sortantes,
Defensatque humeras, proetentaque sustinet arma.
Derrière le Centaure est une femme portant un enfant sur son
bras droit. Le mouvement du bras gauche indique la frayeur, et
annonce,qu’elle cherche à éviter la poursuite d’un ravisseur qui la
menace (n)> ;, .
, x 5. Ce n’est pas sans motif qu’elle cherche à prendre la fuite, le
seul défenseur stiçvléquel ejle pourrait .compter ejt en ce moment
désarmé, et n’a plus que son bouclier pour toute défense. A ses pieds
est étendu mort un ennemi que .peut-être il vient de terrasser, ou
q u i, suivant une conjecture de M. Stackelberg, est tombé sous lés;
flèches d’Apollon,, dont le char se.voit.à peu de distance. Ainsi réduit
à son',bouclier,, il s’en lait un rempart en l’opposant de ses deux
mains a une ruade que lui lance un autre Centaure. Mais d’où vient
que ce dernier emploie une arme .de ce genre, surtoutidans un moment
oh il est engagé dans une lutte qui lui coûtera la vie; car il
vientwde saisir la tête e t le bras gauche, d’un jeune Lapithe, e t le '
niort violemment à l’épaule au moment où celui-ci, malgré la vive
douleur.qui se peiut sur tous ses traits, ,lui enfonce de la main droite
son épée dans le poitrail ?
M. Stackelberg en dqiinc une raison assez vraisemblable. Suivant
Jüi>, c’estrque le:premier.Lapithe lui à. enlevé une partie de la queue
d'un coup de son épée. En effet, dans l’original, la queue;.est écopr-
tée '" 9, e t c’est à to rt que la restauration lui en donne une aussi
longue que celle des autres (a).
i 6 .,8°. Quoi qu’il en soit, la victoire reste favorable aux Lapithes,
■Un Centaure vient d’être vaincu .et renversé par deux ennemis. L’un
d’eux tire le monstre par les cheveux, tandis que l’autre, appuyalit
son genou droit sur le dos de son farouche adversaire, semble se préparer
à le frapper de son épée. Mais un second Centaure qui survient
le saisit par le bras droit, e t de la main gauche s’efforce de-ltii arracher
son bouclier; tandis que le Centaure renversé cherche de la
main gauche è repousser lo coup qui menace sa tête, et de la droite
è écarter le genou qui- le presse ^Cj).i
17. Jusqu’ici nous n'avons encore vu dans les Centaures.qué-des
combattants plus ou moins heureux; l'artiste va nous les représenter
sous l’aspect odieux de ravisseurs justifiant le châtiment terrible;
qu'un dieu vient leur -infliger.
Une femme, portant un enfant sur son bras gaüchè, Cherche à
fu ir'un Centaure revêtu d’une chlamyde, ét-qui de son- bras droit
vient de la saisir par le cou; Toute son attitude annonce l’effroi et la
terreur, e t dans la'vivacité de la lutte sa tunique en se déchirant a
laissé à- découvert son sein d ro it -Cette scène, pleine d’intérêt e t de
mouvement, màis qui laisse beaucoup à . désirer soùs le rapport de
l’exécution, rappelle la métope 10* du Pàrthénon, que nous possédons
au Musée' royal du Louvre l8‘, e t les aa* e t a 5® détruites par
l’explosion de 1687,'. mais conservées dans les dessins de Garrey ,8a.
Près de là ; ü n ’Ccntaure-vient de terrasser un Lapithe couvert
d’une tunique, d’une cuirasse e t d’Une chlamyde, ce qui justifie-
la restauration ’qui .luiiidonne uu casque.• I l/e s t tombé sur- ses
genoux. Son ennemi, sur les épaules duquel flotte une' peau dè lion ■
s’efforce de lui arracher son casque : déjà même il lu i a- enlçvé Son
bouclier.
Ce dernier Centaure est plus âgé qu e tous les autres, et présente
certaines singularités, telles què le front chauve, les oreilles e t la
crinière de cheval, qui semblent annoncer-de la part du sculpteur
l’intention de faire reconnaître l’un des principaux personnages de
ce mythe, peut-être le Latreus dont .parle Ovide dans .ces vers 183 :
Provolat Emathü spoliis armatus ZZalesi,
Quem detterai telo, membris et corpore Latreus
Maximus. Hiiie oetas inter juvenemque, senemque,
Visjueertilis erat ; variabant tcmporacani.jy':-'~'t.
Qui çfypeo galeaque Macedoniaque sarissa
. Conspicuus ,etc. (a) .
18. A ces deux scèues oh le crime semble rester impuni;^§^cqc£ <
dent deux 'autres oh la vengeance céleste va frapper les coupables.
Un Lapithe entièrement n u , e t dans lequel. M. Stackelberg veut
voir Pélée Ou Nestor, estsur.le point d’étrangler son adversaire qu’il
a saisi par le cou; mais célùi-ci, dont les épaules sont couvertes
Yd’une;peau de lion, résiste de toutes ses forces, YetYiie paraît pas
disposé à lui abandonner la victoire. De son bras e t de spn. pied
droits il a entouré la cuisse gauche de son ennemi auquel il cherche
à faire perdre l’équilibre; le mouvement de la partie supérieure- de
Pauwn.,VII, 18. Peut-être ici pourrait-on expliquer l’attelage «lu char
d’Apollon et de Diane considérés comme dieux médecins et sauveurs, en s’appuyant
de cette opinion des anciens'd’après laquelle le cerf était considéré
comme un type de longévité (voyez Cic., Tusc. III, »8; Pausan.VIU, 10, fin);
mais j’avoue ne pas attacher grande importance à cette explication.
(a) Restaur. La face des deux divinités; l’arc et la main droite d'Apollon;
la main droite de Diane et les rênes.
■ ”* Telle' est l’arme qu'ob lui a supposée dans la restauration' du monument,
non sans quelque vraisemblance. Peut-être encore tenait-il un' quartier de
rocher. Voyez la description dé la ad* plaque, page a3.
- -Sur l’usage des pierres comme arme défensive, voy. Millin, Mon. inéd.,
t 1, p. aog; a , p. 284; et M. Raoul Rochettc, Mon. inéd., Achilléïdc, pl. IV, ■
ù° a , p. a3i
(a) Restaur. La face, lés deux jambes, la main gauche de l’Athénicn; la
jambe'gauche de devant et les deux jambes de derrière du Centaure ; une partie
de sa main droite et tout son avant-bras gauche ; la tète et l'épaule droite de
la femme qui fuit; son pied droit, et les doigts de la main gauche..
■r» Mctamorph. XII, 373-376.
■7»,M. Stackelberg remarque que les Grecs n’avaient pas le goût d'anglaiser
les chevaux, et que l’on ne peut voir une preuve du contraire dans les deux
exemples que présente notre monument, non plus que dans le cheval en bronze
qui se trouvait à Olympic et qui passait pour l’ouvrage de Phormis. En effet;
'sur notre monument, la mutilation est justifiée parla bataille; et quant au cheval
de Phormis, Pausanias (V, 27) remarque que cette queue ainsi écourtée le rendait
plus hideux : dnoxixosrai tz t>,v oèpiv, xal fortv fa! v«p-»t38e fri «l^fcivt Homère
(Od. o‘, 3oo et suiv.) nous représente les Lapithes coupant le nez et les oreilles
au Centaure Eurytion'èn punition de son crime. ■
, '. -(o) Restaur. La téte, une partie du bras droit, leplntdela cuisse droite ct le
genou gauche du Lapithe iquiVtiènt-le bouclier; le pied droit et une partie du
tibia de celui qui est mordu par le Centaure. Les bdudriers et les fourreaux que
la restauration donne aux deux Lapithes sont justifiés par le troit que chacun
d’eux a au-dessous de la mamelle gauche.
M Cette plaque devait incontestablement suivre celle qui précède, car'au
milieu'du bord droit de la plaque.,i5 est un vide; pratiqué pour, recevoir le
poignet en saillie qui se trouve près du bord gauche do la plaquo i6. .-
(o) Restaur. La téte et le bas de la jambe gauche du Lapithe qui tire le Centaure
par les cheveux ; le poignet (et la main gauche du Centaure renversé; une
faible partie du tibia gauche de l’autre Lapithe; une partie de la croupe et du
pied gauche de derrière du Centaure qui tient le bouclier.
h* 128. Voy. M. Brôndsted .Voyage et Recherches dans la Grèce, a*- livr. ;
p. ao3. Je partage bien Sincèrement l’opinion du savant danois-sur la restau-
’•* Voyez M. Brôndstcd, op..cit., p1. 267 et 268.
Métamorph., XII, <62-467- •
(e) Restaur. Une partie des chovcux,jla main droite et une partie de la jambo
droite de devant du Centaure è la gauche du spectateur; uno- faible-partie de la
jambe droite de derrière de Latreus, et son avant-bras droit; la-main gauche
et la téte d'Halcsus.
manière plus précise le sujet et l’époque de ce drame que celle que
' tous-ajlons:essayer de^décrirc.-- ■
-L’un des chefs'des Lapithes, Céuée ,8», que Neptune a rendu invulnérable
aux armes ordinaires,' est au moment de recevoir la mort,
écrase.sous un énorme quartier de.rocher que deux Centaures souson
bras gauche, la seule qui subsiste, semble annoncer que de c
bras il repoussait la'tête du Lapithe, et la pose de'cette tête justifie '
une pareille conj'ecture, suivie dans la restauration (A). On peut rapprocher'de
cette scène la 3 1 ® métope, du' Pàrthénon J?*. -,
- Cette lutte opiniâtre est suivie d’une scène non moins animée. Un
Lapithe portant-la chlamyde poursuit un Centaure nu iqulil, saisit lèventà grande peine.' De la main gauche il oppose son bouclier à
où va saisir pat-les cLevèux,- de .là'iâain. p u c h e , tandis que de la ses ennemis, tandis que dè la'droite il paraît vouloir porter & l’un
'droite-¡il se dispose à le frapper de son épée. Le Gèntaùre, qui a pro- d’eux- jtn • coup -de son ■ épée ; ' mais' scs efforts sont impuissants ;
bableinent ré'çùiine première blessure; se.cabre et porte laYmain' déjà son corps' est à demi,enfoncé dans la terre, et caché par un
gauche à son dos pour parer le ;cpup qui le menace. Gpvqui reste . vaste amas de rochers; Une scène absolument-semblable est repré-
du bras droit semble annoncer qu’il était,' comme l’indique la restau- • sentée.sur.îà frise du. temple de Thésée à Athènes, et paraît avoir
ration (b) , 'replié de manière à ce que la m
■pût protéger l’épaulé
, droitélou plutot'-là face; mais c’est en-vain
coup va atteindre le
monstre au visage : ••
-i , 1.. . -. I-. Adversum tu quoquequamvis
Terga fugoe dederis, vulnus, Crenoee, tu/is
Nam grave, respieiens inter duo lumina Je.
Qua naris fronti cohlmitlilur, accipts. wtoe
servi.de. type.à celle ,qjuinous occupe: L’attitude du héros, celle de
scs ennemis, les armes employées contre.lui, scs moyens de défense,
tout.est parfaitement, identique; On ne peut nier cependant que pour
l’energie et la.vérité de la représentation notre monument n’ait un
avantage marqué (p). '__
: La. plupart des poètes e t des mÿthbgraphcs qui ont raconté la
mort de Cénéeï»®, le font, mourir écrasé sous -des''troncs d’arbres.
Les arbres se trouvent très-rarement représentés sur les bas-reliefs
anciens,- sans doute à cause de la difficulté dé cetté représentation,
e t cela explique la préférence que,1’artisten donnée ici, comme sur la
frise du .Thésiïon, aux rochers,, l’üne'dcs deux armes.que, suivant
Ovide 'à 1, Mo’nychüs conseille a scs compagnons d’employer pour se
défaire de leur redoutable,àntàgohisté; Il n’en est pas Vie même’ sur
les .vases,peints, où cet épisode est souvent reproduit. Souvent les
Centaures-y .’sont .armés de'.branches d’arbres;-souvent même de
Ja.age m.étppe branches d’arbres et de pierres tout à la foisr9’. ;. .-. '-. . . .
sculpteur de L’imitation de là frise du Tliésélon'he s’arrête pas â ces trois personnages.
Là, comme sur notre monument, Cénée rie-mourait pas
Près' de là .ùnrautre Centaure tente une pareille,entreprise sur un sans défenseurs. Derrière le-^Çéntàure: dedroite se trouvait un Lapithe
jeune adolescent qui résiste avec plus dé vigueur; mais avec aussi peu prêt à frapper le monstre de son glaive : ici même incident- mais la
né que ses mains : de l’ùn.c il saisit combinaison des lignes a nécessité un,autre mouvement : le Lapithe
■ ■ l u i arracher,
ipant la
* ,ig. L’intérêt dramatique; dans cette admirable composition, ne
- peut un seul instant se ralêntihiPeu effrayé du' châtiment dbnt un
dieu le menace '.?6, ' un Centaure eiitèvé wii'é|j.éüùe fille q u i, le bras
gauche étendu e t la tête tournée dans la même direction, semble
appeler à son secours. La tête du monstre çst mutilée; mais à -en
juger par le mouvement que l’artiste lui a donné, on peut présumer
qu’il jetait en fuyant un regard de-convoitise sur le sein hu de là
' jeune fille, dont la tunique s’est déchirée en résistant
.Get épisodg offre .une assèz grande ressemblance'a>
du P a r t h é n o j im a i s l’avantage paraît rester
Phigalie.
1 d’autre a:
u ravisseur.
de.suç.cès, -
les cheveux de son adversaire, et de l’aiitre il seprépare.à lui assener à saisi 1’ore.illc, de son adversaire., ' e t s’efforce dei 1
UA-,Çeup' de poing.-;Gep.cndant , ;son, lubrique ennemi cherche à l’en- Déjà il lui a fait subir une mutilation plus cruelle en
traîner'en le saisissant, d’uqe. main par le haut! detlà cuisse.gauche, -queue1»3. Le-monstre dans la violence de sa dôùleur poussc d e s__
tandis,:qye .de.ljgùti^ ¡1 sembleylui.caresser la (figure comme pour dej-age. A là droite duLapithejune femme ieffrayéé s’enfuit, et semble
apaiSer sa juste fureur.-, . . . . . , yoùlpir se voiler à l’aspectde cettescèned’h'brréur. Sa pose annonce
Feu M. Combe prétendait que-ce; .tableau représentait Pirithoüs l’incertitude; et en effet; .à en jqger par Ja’.scène; qui .suit, elle se
au moment où il vole au secours dliippcdamie.qu’enlève E u r y t lo n t r o u v e entre deux' dangers auxquels il paraît difficile qu’elle puisse
tnais cette. conjecture est sans vraisemblance. Eien^dans" le . jeune se soustraire
la p ith e . n’annoncé; un héros ; e t.i| c s t beaucpup plus. probabje. de .. 21, Un Centaure, la peau de lion sur l’épaule gauche, s’élance eïi
penser que l’artiste n’a voulu représenter ici qu’une scène secondaire, se cabrant sur un jeune homme auquel il a arraché son épée; du
où il retraçait sous une double face la passion brutale à laquelle se moins telle est l’arme que la restauration de M. Stackelberg lui
laissèrent emporter les Gentaurès'aü milieu.dè l’ivresse du festin, donne, etaveé beaucoup de vraisemblance'»L Le Lapithe saisit son
Nous savons d’àilleure, d’après Paiisanias ' 88, qu’Alcàmène, sur le adversaire par la jambe gauche de devant e t, suivant M.Lcnormant,
fi'onton postérieur du temple de Jupiter à Olympie, avait aussi repré- par le bras gauche; mais la restauration anglaise comme celle de
sente le combat des Centaures et des Lapithes, e t que l’on y voyait, M. Stackelberg supposent ce mouvement au Centaure, et l’attitude
entre autres scènes, deux de ces monstres emportant l’tinunë vierge, du jeune homme, dont le COâps Sé réjette, en arrière; semble
é (tàv sa f9ivov, rautre uu beau garçon, i Si vraïSa ¿paîov (c).. justifier cette' conjecture.' Peut-être mêniè se"trompe-t-on de part et
>. La scène dont n
s oçcuper est .assurément d’autre : les deux mains manquent dans le monument, et lesàvantbras
.j’jme de celles qui caraptérisent Jp mieux .Iç.drame.mythologique.rj
traçé sur notre monument; mais il n’en est aucune qui indique d’ui
paraissent bien'éloigné
joindre (p)..
pour que les niains a t pu s
M Rntaur. La téte et la jambe droite du jeune Lapithe ; la main gauche «lu
Centaure et sa jànibê gauche de devant* .,.
,M Brôndstcd, op. cit.', p. 272.
- (») Reilaur. Les jambes du Lapithe; le basde la face du Çontau
sa croupe,
sa jambe gauche et le's'abot de' la jambe droite de derrière.' -
’“ .Ovide', Met. XH,-.3i2-3i5. : , .,
: M Les tracés d'un pied dë Ccntaure qui s’aperçoivent dans la partie inférieure
dè celte plaque.à gauche,-justifient pleinement la place qu’on lui a donnée
dans l’ensemble .-puisque dans la plaque précédente là jambe droite du Centaure
se termine au'genou. 1
-'*« Brôndstcd, op cit., p.. 271,
• ,M Pausan., V,-
(°) ^Restaur. La face du Centaure qui enlève la jeune fille ¡ une partie de llceil
droit,>la-joùc gauche et la jambe droite do devant dti Centaure qui lutte contre;
le jeune homme. . -,
. . ,w Sur le mythe de Cénée, voyez Millin, Mon. inéd., tome a, page a85 et
,. (n) Restaur. La téte et la queue du Centaure à gauche ; la face de Cénée, sa
main droite et une partie des muscles du bras droit.
"* Orphée, Argon. ,170, sq. ; Apoll.! Rh‘. , f, ¿9, sq. ; Ovid., Metam., XH,
5io et suiV. Un vase publié, par Millin (Vases grecs, P. VOE) représente Cénée
enseveli sous des branches de pin.
Mctamorph., XH, 807.
Voyez le vase publié par Millin, Mon, inéd., 1 2, p. 272 et suiv. Sur un vase
è figures noires «ju cabinet.de M. Durand, et qui représentela mort de Cénée,
les deux Centaures sont armés, l’un d’nn tronc d’arbre, l’autré d'un quartier'de
rocher. .Cénée, au milieu de si» deux adversaires, n'est visible que jusqu’à la
ceinture. M. Fossali possède un vase à peu près semblable.
Voyez note 179;
(z) Restaur. La face, la superficie de la poitrine et du bras droit du Lapithe;
la téte de la jeune fille*!
La restauration anglaise ne lui' donne pas d arme ; l’auteur de la description
du Musée britannique suppose qu’il tient une massue.
(r) Restaur. Le front, le poignet et la main gauches" du Centaure; les deux