cincte. Sa chlamydo est àttfichée su rÀ l^au le .^^ ch é iïd .e ^|è re ft3ui*
est la' partie antérieurs d’u ^h ev g JP ^ .ita'o ù l Ro'chettè<**0 croit que)
celle reprcs&tatioil'abffgéeePsfiftboJiàueti'fo mèihesens>ciuè to;
tâte de cheval figurée®* unc-jcspèce dé' fenêtrcQur le Bâs-relicf de la '
vill3ftlb a n h iifoat ¿nous avons ,ptmé p i# h a u t^ r p h il« ® un r e p .^
funèbre; j ^ è c ro irt^ u e , tTapriis toirocë limiTOt^e^piKdifi'ertt.-
l'unc et l’autre dc ces deux opinions.. m:’ ’.j*
«Je n’entrcmymdi-alpas de r é f u t^ i’expliration.qge Caylus donner
de. ce monument. Sùivant'lui, l'artiste a fcprésëntééUne mère faisant-
ses adieux à son fils Philocharès, qui part poùr'ÿin voyage ou pour
une expédition militaire , ce qu’indique le cliej'al&mais Philocliajes-
moUrüt-.avant sonvrcleur, et sa mère fit; représenter, sur -softAôjnbenu1
l ’instarti d’un.d ep a rt'd o n t le souvenir caiis'ait~’sa tristesse. Des '
noms de Philohide'.et d’HépJtetodoré; nulle niention. ^
T IM AFO PA 2 dans -la.'seconde inscription pourrait être aiîssi
un nom d’hOpimc au nominatif, et celft serait même plus régulier;"
mais il m’a paru plus -naturel d’y voir le nom de la mère dé Philocharès
Sa génitif.,''.aie pareilles • irrégularités n’étant pas sans exemples
MI. Autrement, on ne concevrait guère la disposition des deux
épitapbes. rjfc ' fjle
ne .dirai que Quelques mots d’une autre stèle attique conservée
dans lé'-musée d’Oxford.’**, et dont M. Bocchli a inséré l’inscription
dans le Corpus ” 3. Cette-,stèle était surmontée d’une sirène dont la
partie supérieure a disparu ***. On ÿvojJ|; comme dans la précédente,
un jeune, hoiûine dont, la tunique est succincte, tenant par la bride
un'cheval qui piaffe, .ordonnant la main droite à une femme. O n fit
'au-dessus de cette scène l’inscription suivante :
IAQAHM0 2 2 0 0 1 0 Y
X 0 A A E IA E 2
AY21MAXH P IM o rE PO N O f
OPEAPPIoY,
■ ' M Ao5vi(ioç 2o<pivoU XoXXefî[jî] ç •
. Aueip^n [T]i|uqsQdov«<6ptapfi6Ô;
Ëhilodème, fils de Sophinus, du dème de Chollide.
fjj&simaché, fille d& Timogiton, d u dème ¿Ce Phréàrrhes, 1
Je rapproeberaï de ces’monuments atliques' la face ktérale d’une
urne de.Yolterra, publiée successivement parijM. Micali” 5;et par
M.- Inghirami ” 6, e t interprétée trèsrdifféremment par l’un e t par
■l’autre de tis 'ÿ e iir tarants. Ce basrrèljef représente un guerrier coiffé
de son casqué, revêtu de sa cbtte d’armès' et' de sa cuirasse; e t chausse
de* caligce. Il a son cheval bridé derrière lu i, et tient sa lance dans
la main gauche, tandis que de la droite il'prend la main d’unefemmo
dont le bras est orné d’un bracelet, le front ceint d’un diadème, et
le «>u entouré'd’a n Collier de perlS. A droit® de la tête du guerrier
oa'lit'cettè inscription :
(3 ffafl fÎUKr
A ptifaalii Lathuni/tai ■
iEt cette aube à gauche dejïa tête de la femme :
(V *,QflHWMlcÎlOflavil ,
Thania ÎViri
M.ijVIiqair^,vii dans cétfè'sçène; îfyrithoüs en h abit militaire,
.çonduiSâ^Dèidàmiênoblemejüvéai|N:maisM.Laghirami prouve
; 'victoi;ieuSemetìc<(u’il ne peut être*iciNjnestion dé mariage, e t encore
^moips%^yritlioüs et dq^éidami^, puïsdifedes insc'ri^ipns étrusques
’don rmn t lès ntais iîlçs ideux eMux dont l e portrait paraît fidèlement
-retracé,' D^cesffltìux-aiòms, jfial lus et mal idterprét&.parjEanzi et
parM.' ìugbirami qiii -^VÒicnt .Thannia j j f i i l i a ^ . FaSsii (que
Larizirahprocbe du nom roxnaaFalcidius) hatinioe A1.” 8, le prénom
'¿es la-ci$nriie TVia/u'a, connu par 'dìaptóés monüinçpts ***, ne peut-"
'laisser aucune .incertitude. ¡Gei^rahucnte , ajoute Inghirami,
fêfigar&che sjten g óntì-ìièr n u ^ s ifi r e p à& i ìo . dlC^dtima sepa-
razio/ut&ed iîtca v td ^m ô s ti^ fi'd p a r lè iu ia M dho d i lóro che
morendo s i ‘sepàm. d ’alV a/lrtPche, resta, incoila.
• Ainsi.notre-monumént représente iqÿgùerrier, célèbre peut-êf®
par quelque,.'dctqjresur les Latin®, qui prend congé de sa femmé^.
afPmoment d'entreprendre le Voyage suprême. ,
Je dois rapprocher de ce monument un b'as-relièf de la villa Ruspoli
qpfWinckelmarin a.pùblïé dans ses Monuments inédits a3° , et qui;
’ à-quelques nuances près , offre une conformité étonnante avec' l’orne
do;Ÿolterra que nousivenons d’expliquer. 'tJn%uerrier, le casque au
frOnt e t la lanc?, ou plutôt le javelot, sur l’épaule, prend la main
droite d’une.femme voilée. assise sur un siège sans dossier, e t les
-'-¡pieds appuyés Î u r iun JmcÆiStov. I l est yêtu d’uné. tunique'- courte
et. d’une cnlàûiyde; ses^pieds sont c b àu ss^ d e caligai. Derrière lui
I est- un che^îl; et derrière le^chèvaLùii arbre autour duquel est- en- ..
roulé un serpent dont la- tête domine celle du guerrier. Entre les
deux personnages que jê vrens dg.^éçrire, on’voit une -jeune -fille
-d’une' taille inférieure, et qui montra' au héros tin bouclier,epuh
^apa^tSviov,‘avec son baudrier, suspendus au haut du champ qu’ocihpe
le bas-relief-
- ' Winckelmahn a proposé trois interprétations différentes dè c®
mdnumént, Ajax de Locres, Jason e t Médée, et enfin Télèphe- et
Augée. C’rât.â'jeetté derllière 'qu’il a cru devoir s’arrêter ; 'mbis , il ’1
faut le dire; ellê n’est pas plus satisfaisante que les deux autres', car
pour y rètrpuver la tradition' conservée par Hygin’3' , il est forcé
d’admettre un arbrôsdan?jla chambre, nuptiale d’Augée ; e t i l ne ,
rend compte ni du boucler n i de l’épée -appendus au ihur. le me
trompé ; il suppose que l’épéè est celle avec laquelle Augé.e doit tuer '
Télèphe.
m
Si l’on compare ce sujet avec celui qui précède, on ne peut.-y voir/,;
avec" Visconti,3| t“, autre chose qu’un adieu funèbre. Le guqwrier va'i
partir, emporté par le chjÿsEde ©âva-ro;; le Jjouclier .et;le’i:ajMiS)viov
appëndus a la muraille, indiquent qu’il n’y^'aurà^lus de combats
■ pour, lu i,--.-et c’est ce ju e semble lupdire* liSjeune mîe qui les’ ÎtfiÉ
montre. - Enfin ; l’arbre et de serpeûKiéffiblèmes des îles Fortunées , J -
marquent quel; sera le terme de son d e rn ie t^ o y ag ^
Peut-.êtrq«feu.t-il ÿoir; aussi • un adieu- funèbre >5,ans un bas-relief*
d u musée d ^ ^é ro n e a3>, qui représente un homme u u , la clilamydSr
sur. l’épaule,-tenant ujÿchevalmar’kAiridè; e t écoutant un personnage
plùs petit qUè'lui qui' seriîbJeM îlAad resser les derniers souhaits.
Ce personnage,^enveloppé d’un hiaUteau^qui lui couvre entièrement®
' le corps, est ind^ué1 d’une manièijdjsi vague par l^ ^ k v u r e , qu’r a 1
ne peut juger-sûrement dei son sexe:'
Mais s’i l peut exister quelque incertitude sur ce dernier monument,
on n’eh peut dirmautant des urnes étrusquès^m -représententî1,
deux époux.se disant l^oernier adieu en présence de leur famille,
tandis que deux Kürjç ailées, l’une tenaift 'un glaive é çl’autre conduisant
un cheval paivlavuride; annoncengkt la-mort et le départ?33.
(Sur. d’au très ppies ,d(3_a m&ne c o n tre les Kiiptç manquent, mais un
serviteur jucci/icft^&mène.-!d?fatal coursiéni3ii Inghirafilif-, en décrivant
l’üfiËjje çeSjghon'imffits a3* r o un mari et sa femme; tout
‘appuyé; pour voir dans ce derñier^inonuroent Ériphylc, Amphiaraüs
sgf Polynicéf; Ce^^U'aipor.fé.^ginbrafsei'iÇejte opinion de Lanzi Jé°,
c’est une urne qujiLpublro et) qui offi^licáucoup d’ïnalogie avec le
mónuin^i^ftle Gorisi à telirprès que. le clîcvar nly a pas été représenté.
.deux deboit,ise tiennèn t p a r 1 a m a in droit® en présence d(un autre
couple ,^et de;ÿoigtjeuneS'enfants d,qrity’uq^gs t encore dansdes bras '
dé sa m ère, pense qtdp^'voulûfimétmuslon au moment où Alceste
Asejsépare d’Admèté. èt ilVpous apprend que c’e tarf aussi l’opinion de
• Lanzi’*38 sur. un sujet analogue. Foiir moi, je,js.uis peu disposé à
reconnaîtrê ici-uiie allusion à quelque fait mythologique; tout semble
annoncer\une scènSdç fàmille que l’artiste s’est ef^tcé de reproduire
avec toute;l’exactitude.possible. ' '
.Qüejquéfois aussi, sur l^bas-relief des urnes étrusques, le- mort a
est couché surson liqtfnnëbre, et sa famille ÿient prendre congé de
lui pendant qu’un esclave lui'amène lè' coursier qui doit le conduire
au -fortùpé. séjour. Le monument de ce genre le plus précieux, et
celui dont le sens laisse le moins d’incertrQde; est flne urne publiée '
par ' Gori a37, qui en a donné l’explication lathlus satisfaisante. Je crois
devoir la transcrire ici , parce_qujellé-'îôe sera nécessaire plus tard pouita
réfuter une opinion deM. Inghirami que je juge peuéfondé^.Dq&ns-
indicia déclarant parenlestjgui adstant circa lectumjuvenis.niorti
proximi. Ad es t eliam para tus equus quo a d Elysios campos ctin&
p om p a ducatur : e t n e '¿Ufiejus, imminenti fiunere dubitenius,
sa g ax sculptor prope eum erectam columellam scpulcralem scul-
p s it, quee ira metam d e s in itn u c e m pineam referentem a d
declaràndam beàtiotis (evi. tranquillitatem inéElysiis arvis con.se-
quëndam. Malien quee a d Icctum accedit, im posito sinistro pede
suppedaneo, morientis juvenis ma ter fiorsitan e s t y p a ra ta ejüs
o.ciilos claudere?38.
. - Gori cite ensuite un sujet semblable également publie par lui.,39;
seulement, sur ce dernier monument, lefeoi;^qu’on’pleuré, est une
jeune fille. Son père, comme dernier présente lui apporte un collier
orné de ¿rois bulles, semblable à ceux que portent les divinités
étrusques. . .
-, C’eSt sur cette, circonstafifte du collier que M.. Inghirami s’est
Or;|Sir cett&urhe ,|0n voir ui^nomme qui- ti^U dans la main
- gâuchéw e2wUiër.à%rois Sullès. tandis"quwS^'autre il s’appuie
tSùr l’épaule' d’une'ifenimapichementi'vêtuc et Muchééí'sur ün. lifc.Unc
e # tv e présente à cette femme un meubleiqqipVl. Inglm-ami a pris pour
unmiiroir, sym'îiqlbîdé lafioquetterie qui perdit Ériphylé-et tant d’autres
femmes, majs qui n’est autre chose qu’une boîte de parfums
uuverte. Trois autres personnages assistent'® cette scène, e t, entre
autres, une fenimèdont l’attitude annonce la douleur.
Sans doute ,-il ne faut'pas avec M. M ic alP* v o ir ici une scène
domestique, une femme qui'fait sa toilette ; mais il ne faut pas non
p lus, avec M. Inghirami,, y voir un sujet mythologique, quand,
même maigre l’absence dueçheval, la boîtè de parfums a<3, le fût '
mortuaire, et surtout la stèlè pkcée derrière le lit, emblème dont,
teomme nous venons de le ,#oir, Gori a si bien déterminé le sens
funèbre, £8ht e n 'u n -m o t annonce dans ce bas-relief un adieu
suprêriî9et rien â u tr^ h o se .^
Mais s i, pour, cette classe de monuments, j'e ne puis consentir
. à une interprétation fdhdée suP-un fait mythologique, je ne me refu-
serai pas a reconnaître dans deux monuments publiés, l’un par
Gori IH! l’autre par Inghjrami a45, le mythe de Bellérophon, que
Prcptus, à l’instigàtion de là coupable Sténobéc, envoie chez Iobate
pour qu’il y reçoive la- mort.’ Sténobée est dans son appartement,
indiqué par. un arc qui le sépare de la partie du champ occupée par
les autres pe&Onnagcs. Couchée sur u n comodo so fa, suivant l’ex-
pr.eçs.iôn :de'm. Inghirami,'èllé se regardé dans un miroir que lui pré-
ïscpte.unë esclave. En dehors, Proetus ordonne à Bellérophon de se
jreiidrdieii Cilîcie, e t près de là est un serviteur céiffé du bonnet
■phrygien qui lui amène un clieval e t porté les provisions nécessaires
ail voyage: Du reste, ces sortes de sujets sont une allusion indirecte
¿nudépart funèbre, Bellérophon étant un héros solaire..
J^rattache à cette classe de monuments ftous les vases peiffts où
lëmo rt uu-, s’appuyant sur un Mton e t tenantun cheval par la bride,
est représenté soùs'un édicule funéraire, le plus souvént entouré de
six .personnages Syec différents attributs et^qui, suivant l’opinion
assez probable de tpillm ,46, ne sont autres que des initiés ; car, ainsi
que le remarque M. Inghirami 147, tout porte à croire.que les anciens
représentaient sur des vases peints les circonstances-les'plus mys-
térieuses-de leur religion. La présence de ces six' initiés-annonce
peut-êtreque le mort, purifié par l’initiation, goûtë dans les îles'For-
tunées lébp’uheur réservé aux âmes des héros.
Les différents monuments de ce genre n’offrant que des variétés
insignifiantes, j.e n’entreprendrai pas d’en donner ici la nomenclature**
8. Je me contenterai, de rapprocher de ces vases le bas-relief
d’un tombeau romain en forme de tour carrée qui existait près de
»nu. Museo Pio Clem. x. V, tav. lÿ , p. ia5, éû\ Milan. Cf. F. G. Welckcr,
inn, de llnst. arcfy t. V, p. 6o. .; 1
• *J»C^XJV5».
■’LlnghirTmi ;Mon. Etr., Ser. I; tav. XXXVII. Les Kip« offrent ici le mefite
- c ^ ^ .q ú - o ú r e n c o n l r e s u r l
,J» Ibid., ifc-XXÍIet XYÎII.
M Opéripost., t. I,'p.-3/|8. r
»?! Muti Sir:, t. III , cl. i n , tal). XIX, n* i.
Op: cit." Diss. III, de Sc/mlcr. drua/ii., ÇXIII.
| | Vus. Etr., ti Í;- mb’. CXXXH. Gori renvoie à un ©jet semblable quji est
oprésenti sur une urne de Vollcrra, conservée it Florence dans le Museo
•*> T. n ; p'. i6a.' ■; '
* Scr.I, lav.LXXV.
¿nt. Mon.persen¡rjác., ’xav.XXXVl,p.x
»«> Sur un grand nombre de stèles func-riÂs provenant, de la Grèce, des
ùiVarîtcs'prés'cntent'uôè pÿxis*aux femmes mortes.
»« Mut. Etr., t.in , cl. III, tab.Xm, fig. x'.
»*’. Op. cit Ser’ I, tav. LX-I.
.»« Dctcr. des tomb.de Canota, pl. Vin,^pÎ38;
**W. Mon. Etr., Ser. I , p? j6a.
’** Je me contenterai de citer les beaux vases publiésmarMiliin, Description
les iombcauxdeÇaptfdypïym, et Peintures devatesfTII. pl. XXX tien» 6*7
in édièulc, au c^t^'àuqic|,cst un guerrier tenant^¡par la bride u n chenal peint