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159. BEURRÉ DELBECQ. 160. HOWE L L .
BEUUKÉ DELBECQ
[N ” 1 5 9 ]
The Fruits and the fruü-lrees of America. D owning, 1869. Page 684,
Jardin fruitier du Muséum. Decaisne.
Dictionnaire de pomologie. André L eroy. Tome I, page 347.
Duiletin du Cercle d'ArboricuUure de Belgique. 1872. Page 305.
LAHÉKAUD (1)
The Fruüs and the fruü-lrees of America. Downing, 1869. Page 796.
Diciionnaire de pomologie. André L e ro y . Tome I, page 324,
Obtenu par VAN MONS et dédié par lu i à son ami, M. Delbecq,
l’un des rédacteurs du Mcssagop des Sciences et des Arts. Premier
rapport en 1822.
Arbre d’une bonne vigueur sur cognassier et d’une végétation facile à
plier aux formes soumises à la taille, s’accommodant surtout de celles de
pyramide et de fuseau. Son rapport se fait attendre assez longtemps pour
devenir ensuite suffisant, quoique sa fertilité soit un peu interrompue par
des alternats.
Variété à introduire dans le jardin fruitier. Elle est saine, d’une fertilité
seulement moyenne, mais la bonne qualité de son fruit la rend bien digne
de la culture.
D E SC RIPT IO N
Ramcaii:^ d’une force bien soutenue et un peu épaissis à leur sommet,
unis dans leur contour, un peu coudés à leurs entre-noeuds inégaux entre
eux, jaunâtres; lenticelles blanchâtres, larges, peu nombreuses et un peu
apparentes.
(1) M. André Leroy é ta b lit le fa it p o s itif q u e c e tte v a rié té re ç u t ce nom de M_. Jam in ,
de Bourg-Ia-Reine, au q u e l elle av a it é té com m u n iq u ée p a r M. Bonnet,_ avec permission de
la b ap tise r. M. P y n a e rt a sig n alé le p rem ie r, e t avec ra iso n , l’Id e n tité du B eu rré Delbecq
avec la Poire L ah é ra rd . C’e st donc en c o re u n g ain de Van Mons q u i, ap rès avoir passé p a r
les m a in s de M. Bonnet, d e Boulogne, p o u r a rriv e r à M. Jam in , a re ç u de lu i u n nouveau
b ap tême . Ce fa it, comme n ous l ’avons déjà fa it rem a rq u e r, s’est d é jà re p ro d u it p o u r plus
ie u rs a u tre s v arié tés. Van Mons m e tta it la plus g ra n d e nég lig en c e dans la d é sig n atio n des
v a rié té s qu ’il com m u n iq u ait à ses amis ou même ne- le u r a ttrib u a it qu ’u n n um éro d ’o rd re ,
e t dès lors ses correspondants pouvaient les considérer comme ^ des semis n on encore
n ommés e t s’a u to ris a ie n t ou au to risa ie n t d ’a u tre s a rb o ricu lteu rs à en fa ire la d édic ace a
le u r convenance.
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