NATURELLE.
L A B R E B I S .
L’o n ne peut guère douter que les animaux aauelJe-
ment domefliques, n aient ete lauvages auparavant;
ceux dont nous avons donné j ’hiftoire en ont fourni
la preuve, & i on trouve encore aujourd’hui des chevaux,
des ânes& des taureaux fauvages. Mais l’homme,
qui s’eft fournis tant de millions d ’individus, peut-il
fe glorifier d’avoir conquis une-- feule efpèce entière !
Comme toutes ont été créées fins là participation,
ne peut-on pas croire que toutes ont eu ordre de
croître & de multiplier fins ion fcc ours ! Cependant,