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première, la fixième & ia ièptième (E) font à peu près refîèm-
biantes à celles du taureau. La troifième, la quatrième & la
cinquième en diffèrent par les apophylès épineufes & la partie
fopérieure du milieu de la vertèbre qui font plus minces, elles
n’ont point d’apophyfes inférieures dans le milieu, mais il le
trouve deux apophylès latérales fort étendues,côté qui font partie des apophylès tranfverlès , &un eq udie rcehfafeqmue-
cbolecnhto nà mceêllme ed.e la fixième vertèbre du cheval, du taureau, & du
Les vertèbres dorfâles étaient au nombre de quatorze, de
tnéme que les côtes; nous n’avons reconnu aucune différence
marquée entre ces parties & celles du taureau, excepté que les
deux premières côtes, une de chaque côté, étaient fort larges à
dleeu rl eeuxrt rléomnigtué eiunrf é; riielu rye , a&vo iltè fètoptt icvhraoiieesn tc ôptreesl q&ue lfèoprt ufnâu tlîiëesr.s
Le ftemum était compole de lix os : les premières côtes abou-
tOislf oaiveenct laeu fpérceomndie, rl eos st,r olielsiè fméceosn dàe cs elàl el ’adruti cluèlcaotinodn &du dpure mtroieir
fième os, les quatrièmes à l’articulation du troifième os avec le
quatrième, les cinquièmes à celle du quatrième & du cinquième
dOus, lceisn qfuixièièmmee so as ua vceincq ulei èfmixeiè omse, .& les léptièmes à l’articulation
II y avoit lix vertèbres lombaires alîèz reflèmblantes à celles
du taureau; mais le lacrum difleroit en ce qu’il n’était compole
que de quatre fiulîès vertèbres, quelles n’avoient point
d’apophylès épinetilès, & que les trois premières lailîbient entre
elles des efpacès vuidés alîèz grands for la face fopérieure du
illa cyru emn. aLvao iqt udeuixe- héutaiitt dcaonms ploe lelàem dgeli edr,i x&-lè pfte ufaluemlîèesn tv eqrutèabtorerzs e:
dans le cochon de Siam. Les os des hanches netoient pas fort
d u C o c h o n , ifc. 167
différens de ceux du taureau, mais le balfin avoit à proportion
beaucoup plus de largeur, de même que la gouttière & les trous
ovalaires.
L ’omoplate ( F ) eft convexe fur fa longueur, l’apophyfe
coracoïde eft à peu-près relfemblante à celle du taureau, mais
l ’épine ne commence à paroître qu’à environ un pouce au delfus
de ia cavité glénoïde, & s’élève peu à peu jufqu’à environ les deux
tiers de la longueur de l’omoplate ; enfuite elle s’abailîè en s’approchant
de ia bafe, comme dans le cheval; elle eft à demi
couchée du côté du bord poftérieur de l’omoplate, & pofée de
façon quelle ne Iailîè qu’environ un tiers de 1 omoplate a f o n
côté intérieur, & deux tiers à l’extérieur. Nous n’avons aperçu
aucune différence dans ia figure de l’humerus (GJ , ni dans
celle du rayon (H ) , f r ce n’eft que celui-ci eft plus arrondi en
avant que dans le taureau ; mais l’os du coude ( I ) eft beaucoup
plus gros en comparaifon du radius.
L e fémur ( K ) rellèmble beaucoup plus à celui du taureau
qu’à celui du cheva l, le cou de la tête de cet os eft un peu
mieux marqué que dans ces deux animaux, & le grand trochanter
e f t formonté dans le milieu par ün tubercule fort apparent, qui
lui donne beaucoup de relîèmblance avec celui du cheval, mais
les condyles de l’extrémité inférieure ne paroiffent pas plus élevés
l'U n que l’autre. L ’épine du tibia ( L ) eft plus Liftante, plus
mince & plus recourbée en dehors que dans le taureau. Le
péroné (M ) s’étend tout le long du tibia, & forme à fa bafe
une forte de malléole, mais il n’a point de tête; au contraire,
la partie fopérieure eft aplatie des deux côtés, & très-mince,
à l’exception des bords qui font un peu plus épais, for environ
u n tiers de la longueur de l’os.
L e carpe ( N J eft copipofe de huit o s , quatre dans le