premier rang, & quatre dans le fécond. Les os du premier rang
reflémblent à peuprès à ceux du cheval & du taureau pour la
pofîtion & la figure; mais on ne peut pas fécond rang avec ceux du taureau ni du chceovmapl,a rpear rclees qouse dlue
pprluesm dieer rna’pepno rat eqnuter e dleesu xo,s &du fle’acuotnred rqauneg dtruo ics a:r poen d ut rcooucvheorna
p&lucse udxe dcee llu’hi odme ml’he,o pmamrcee qpuoeu lre Ilqeu enleottme bdrue cdoecsh odno aigptpsr, oqcuhee les fquelettes du cheval & du taureau. D’ailleurs les dénominations,
la figure & la pdfition des os du carpe, du tarie, &c.
étant mieux connues dans l’homme que dans les quadrupèdes,
on ne peut prendre un objet de comparaifôn qui foit plus fur.
bQeuaouciqouuep ldees cqeuuaxtr ed ed ol’ihgotsm mdue Ipqouuerle ttlee udru locnogcuheounr d&iff èrleeunrt
grofléur relatives, il paroît cependant, par la pofîtion des quatre
ol’hs odmu mfeec,o nqdu er anlegs dquu actarrep ed odiug tsc odcuh ocno,c hcoonm peaorrérse lpào ncdeeunxt daue doigt indice, au long doigt, à l’annulaire & à l’auriculaire ou petit
doigt, & que celui qui fe trouve de plus dans le Iquelette de
l’homme que dans lè Iquelette du cochon eft le pouce. Car l’os
dufi'cond rang du carpe du cochon,qui correfpond par fa pofîtion,
&au fulin, pcoeum pmaer dfâa nfsig lu’hroem, àm le’o, sa uvnecc ilfeosr mdeeu xd eo sl ’hduo mmméteac, asr’paret icule (O) qui portent les deux doigts extérieurs : les deux autres os du
fmoérmtaocnatrépse ,c hqauciu nfo pnat r auun doesf fduus dceasr pdee; ucxe sd doeiugxts osin fteémriebulersn,t , fopnart
cceatrtpee pdoel itli’hoonm, mcoer.r eEfpno nfûdirvea natu cetrtatep éczoomïdpea r&aif ôanu, lger apnrde moise r dous du fccpnd rang du carpe du cochon correfpond au trapèze de
rhomnie, & comme il ne fe trouve point d’os du métacarpe
au
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au deffous, c’eft une preuve que le doigt qui fe trouve de plus
dans l’homme que dans le cochon, eft le pouce : les deux os
du milieu du métacarpe du cochon font a peu près fembiables,
& beaucoup plus gros que l’os intérieur & que iexteiieur, qui
diffLèere ntatr fpee u l’un de l’autre. (P) eft compofédefept os, ceux qui correfpondent
à l’aftragale & au calcanéum de l’homme font bien reconnoif-
fables : on peut auffi diftinguer parmi les cinq autres ceux qui
ont rapport au foaphoïde & au cuboïde, par leur fituation. Celui
qduui mtieéntatt alraf ep lace du cuboïde, efl: au deffus des deux derniers os (Q). Les deux premiers font furmontés par trois
os que l’on peut rapporter aux trois os cunéiformes de I homme,
car ils fe trouvent placés comme eux au devant de celui que
ntroouiss oasv odnus tcaorfme pqaureé daue ufxc aopsh odïud em. éIlta tnaryf e,a p aaruc ed eqfufôe ulse cdoec hcoens
n’a pas le cinquième qui correlpondroit au pouce. L extrémité
dtruo ifqièumateri èoms ec uonsé idfour mmeést.a tIalr fye af eu ntr ohuuviteiè menet roes lpel acfééc odnerdr iè&re llea
partie fupérieure du métatarfe, qui reffemble plus, par fapofition,
à un os fëfamoïde qu’à un os du tarfe. Les os du métatarfe font
pluAs l ocnhgaqs uqeu pe iecdeu, xl esd- up hmaléatnagceasr pde.es deux doigts du milieu font
plus greffes & plus longues que celles des doigts intérieur &
edxut émriieluier u; ,c emuxai-sc ii lfse froenfltè bmeabulecnotu ap ppeluus p crèosu drtes ;m le’emxter éqmueit lée sd deo liegutsr
dernière phalange fe trouve vis-à-vis de 1 articulation de la premièLrees
pfhqaulaelnegttee sd edsu dfoâinggtsii edru , mdui liceouc haovne cd lea Sfiéacmon &de .du cochon
domeftique, ne different les uns des autres que par des caractères
relatifs à ceux dont il a déjà été Lit mention dans la defcription
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