en haut par les deux bouts ; elles étaient aufli l’autre ; elles s’étendoient au dehors de l’os de la lloonngguueeus r ld’uen ed equuxe pqouuatcrees p&ou cedse ;m cie,t t&e p aerntiter oéietanitt carue ufdee ddaannss tdoeu tela folonn géuteeunrd udee,
& avoit des parois aufli minces à l’extrémité que celles des
défenfes du defliis. Les défenfes du deflous étant arrachées, for-
mpaortiieens td ceh alac ucnirec,o pnafré rleenucre c odu’urnb ucreer celxet éqruiei uarue,r aleits etruo cisi nfqe pptioèumceess
p&lu sd eémtroi itdee édtiaaimt èetnr ed; eehlolerss a&vo ilean pt lutrso ilsa rgfaec eesn ldoenfgloituusd i:n acelellse,- lcai
avoit dix lignes à l’endroit le plus large, 8c la circonférence de
chacune des défenfes était de deux pouces dix lignes à l’endrojt
le plus gros. La défenfe du deflous efl: placée plus en avant que
dceel lel ’dauut rdee fldiéisfe, n&fe .t ouLcehse , mpoaruivae fmaceen pso fdteé rilea umreâ, clha ofaircee ainnftéérriieeuurree
caufent un frottement1 entre les deux défenfes, qui les ufe en
lp’uanrtei ee, fl8 cc ocnocmavme e8 cc el’ afurtortet ecmoennvte xfee, &fai tq ufeu r leds eduéxf enfafcese ss,’ adloonn-t gent à mefiire que l’animai vieillit.fr elles ne prennent pas toutes
les deux à peu près la même courbure en s’alongeant, il doit
arriver que l’une ou l’autre fe caflè, ou qu’elles ne peuvent plus
gmliefrlèari t l’pulnues ceonn terne tile’aru, tr8ec, l8’acn idmanasl cme ocuarsr alait bfoauucteh ed en ep ofeu vfeorir
mâLchees r.fept dents mâchelières de chaque côté de la mâchoire
fdùep élrai emurâec, hfooirnet inpflaécriéeeusr ea.u Cdeesf ludse ndtess ofnixt ddeenst sp odien tcehs aqquuei sc’eônté
grènent exaélement, de part & d’autre, dans des cavités corref-
pondan.es. Il y a de plus dans la mâchoire inferieure deux autres
dents, une de chaque côté, derrière les défenfes 8c à une allez.
grande diflance des autres mâchelières, elles font les plus petites:
l’une ou l’autre, & quelquefois toutes les deux, manquent dans
différens fojets, fans qu’il y ait aucun veftige de l’alvéole. De
fept mâchoires, tant de fângliers, que de cochons de Siam &
de cochons domefliques, mâles & femelles, quatre avoient ces
ddaenusx lda enfetps,t ièemllees iml anneq ufoei etnrot udvaonist qdueeu xl ad ep ecteitse mdâecnht odirue s,c ô&té
droLit.’os hyoïde du cochon m’a paru compofe de fept os dans
qtruoeulvquoeits dfaonjest sl,a f&ou rdceh entteeu, fq udia nfse mdb’alouittr ens.’ êtCree tftoer mdéifef éqreunec de ’ufne
feul os , ou de trois os réunis par des lymphifes. Au refle, toutes
les parties de l’os hyoïde du cochon correfpondent par leur pofi-
tion, & à peu près par leur longueur, à celles de l’os hyoïde
du cheval, de l’âne, du taureau, du bélier & du bouc; mais
el’léletesn ednu ed iffofnèrt enfot rpta rm lain fcoersm, ef odrets éotsr.o iLtse s, dceounxc apvreins ciepna uxd epdoaunrs
for leur longueur, 8c ont d’un bout à l’autre prefque la même
lna’régtaeiuern t8 cp asla enmcêomree foérpmaiéfslè ;u rl eds atnros iflieè mcoecs hoosn . avLoeise nfte cboenadusc ouops plus de largeur que d’épaiflèur, 8c tenoient à la fourchette qui
efl aufli plus large qu’épaiffe, foit dans les branches, foit à l’endroLite
d ec olue urd ur éfuqnuieolne.tte du cochon efl beaucoup plus court à proportion que dans les fquelettes du cheval, de l'âne, du taureau,
du bélier 8c du bouc. Les vertèbres cervicales diffèrent
beaucoup, pour la plufpart, de celles du cheval 8c de celles du
tpaluurse ahua ;u tl’ea,p omphoyinfes léaprignee,u f8ec ( Dinc,plinl.é ex exn marri)èr ed ;e ill ay f éac aounfdlie deefsl
différences marquées dans les trois vertèbres du milieu, niais la