tie bate & de point d’appui dans cette partie, qui eft très-forte.
L e cochon a fix dents incifives, deux dents canines, &
quatorze dents mâchelières, fept de chaque côté dans chacune
des mâchoires ; ce qui fait en tout quarante-quatre dents. Les
deux dents incifives du milieu (K , fig. 1 ) de la mâchoire
du delfos, ne le touchent que par leur extrémité, & font fort
éloignées l’une de l’autre à leur racine. Ces dents s’étendent
d’arrière en avant dans chaque côté de la mâchoire, & le replient
en bas au fortir de l’os pour le joindre l’une à l’autre par l’extrémité
; elles forment, par cette réunion, un arc de cercle qui
fo trouve au devant des quatre dents incifives du milieu de la
mâchoire du delfous. La fécondé dent incifive ( L ) de chaque
côté de la mâchoire du delfus, eft placée à côté de celles du
milieu, & eft à peu près aulfi large, mais moins longue ; fon
extrémité eft tranchante, parce qu’elle ne touche jamais aux
dents du delfous. La troifième & dernière dént incifive ( M )
de chaque côté de la mâchoire du delfus, eft la plus petite ;
elle a pour l’ordinaire deux lobes inégaux, diftingués par une
canelure, comme celles dont nous ferons mention dans la def-
cription des dents du chien ; le plus gros lobe eft en avant &
pointu, car cette dent n’approche jamais d’aucune autre par fon
extrémité : elle eft aulfi placée à quelque diftance des fecondes
dents incifives, & encore plus loin des canines. Les dents incifives
de la mâchoire du delfous font les unes contre les autres, &
s’étendent en avant & un peu en haut; les quatre du milieu
font longues & étroites; la dernière de chaque côté n’eft pas
plus large, mais bien moins longue, elle ne touche à aucune
dent par fon extrémité, & elle eft fort éloignée de la dent
canine de la même mâchoire; celle du delfous le trouve vis-
à-vis l’elpace qui relie vuide. J’ai vû une tête de verrat où il n’y
d u C o c h o n , ifc. 1 6 3
avoit aucun veftige de la dernière dent incifive du côté gauche,
ni Oden fodno nanlveé oaluex. quatre dents canines du lânglier le nom de
défenfe, & à celles des cochons deSiam & des cochons domef-
mtiqauise sl ecse ludié fdeen lcèrso chdeut .> Llâan fgilgieurr ef odnet tobuiteens cpelsu sd, elnotns geufets l a qmueê mlees, crochets des autres cochons. Dans une tête de lânglier (fig. i ,
pl. x x IV ) qui avoit un pied quatre pouces & demi de longueur
depuis l’extrémité antérieure des os propres du nez julqu’au
bout des prolongemens de l’occiput, la défenfe (N ) de chaque
côté de la mâchoire du delfus s’étendoit obliquement de dedans
en dehors, & d’arrière en avant, & fe recourboit en haut par
les deux bouts ; la partie poftérieure étoit logée dans une cavité,
o&lf efuoferm pooift eeu nt rarennfvfleermlàfeenmt ednat nfso rl ’ol’sen, d&ro iti l oyù acvhoaiqt ueu ndeé fcernêftee
fortoit de l’os. Celle du côté gauche étoit la plus longue; elle
s etendoit d’un pouce & demi au dehors de los, & entroit au
pdaedrtaien s cdoem mla el olna gruaecuinr ed, ’uenll ep éotuociet ctrreouisi è li&gn easv.o iJte d erse gpaarrdoeis ctreètste-
mcoiunrcbeusr àe le’exxtétrréiemuirteé . leCs edtteeu xdé tfieenrfse d eé tlaan tc iarcrroancfhééree nfcoer md’ouint pcearr cllàe
entier, qui auroit eu deux pouces huit lignes de diamètre. Ces
défenlès avoient une face plate & longitudinale for le côté fopé-
reileleusr , acveotiteen tf adceeu éxt opito upcaerst ag&ée ddeamnsi fdi el ocnirgcuoenufré rpenacr eu nau f iflolornti r;
de l’os, à l’endroit le plus gros. Une portion de la défenfe du
côté droit avoit été caffëe, l’animal étant vivant, car l’endroit de
la fLraaé lduérfee néfteo it poli par le frottement. (O) de chaque côté de la mâchoire du delfous
s’étendoit de devant en arrière, & fe recourboit en dehors &
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