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 obliqué.,  intus  prominente.  Ventes  latérales  nuln,  
 Ligamentum  internum ,  infoVeis  afjixum. 
 Ô i S E K   Y A T I O S S . 
 Les lutràïres  soûl énriinemment distingues des martres,  
 farce  qu’elles  manquent  de  dents latérales,  et elles  offrent  
 tme  transition  aüx myairès  par leurs rapports avec  les ana-  
 tines.  Leur charnière présente  en  effet,  sur  chaque  valve  ,  
 une protubérance comprimée,  creusée en fossette en-dessus,  
 e t, à côté, une  ou  deux dents, doht une  est comme piiée  en  
 deux,  tandis que  l’autre  est  simple. Ces coquilles j  sur-tout  
 celles qui  sont  transversalement  oblongues,  sont  plus bâillantes  
 que les  mactres.  L’animal  fait sortir par  le  côté  antérieur  
 de  sa  coquille,  qui  est  le  plus  ouvert,  deux siphons,  
 et par le côté opposé un pied petit,  comprimé* 
 E S P È C E S . 
 Coquille  transversalement  obtongue. 
 i ;   Lutraire  solénoïde.  Luiraria  solenoides. 
 L .  testa  oblangd \  striis  transversis  rugoeformibus ;  lalerè  
 anlico proelongo  ,  apice  rotundato ,  valde hianle  
 Mya oblonga.  Gmel.  p  3aai.  Gualt.  test.  t.  90.  fig.  À.  a. 
 Da  Costa.  Conch.  brit.  p.  3o.  t.  17.  f.  \.  
 diemn.  Conch.  6.  tab.  a.  f.  12. 
 Habite  l ’Océan  d’Europe.  Mus.  n.o  Mon  cabinet.  Grande  
 coquille  d’on  blanc  sale  ou  roussâtre  ,  très-bàillante  ,  ven-  
 true  ,  à  côté postérieur  court,  arrondi. Deux dents  à côté de  
 la  fossette.  Largeur,  un  décimètre  et  10 millimètres.  Onia  
 trouve fossile  àù  Mont Marias,  près  de Rome. 
 YMraire  elliptique.  Lutraria  clhptica• 
 h .  testa ovali-oLlonga,  Iciviusculè  ;  striis  transversis exi»  
 guis i  laleribus rotundectis  :  antico  longioro. 
 Mactra  luiraria.  Lia. Gmel.  p.  3a5ÿ. 
 SANS  V'ERTfe'BBES.  4 6 $ 
 •  «- 
 List.  Conch.  t.  4t5.  f-  a5g. 
 Pennant.  Zool.  brit.  4* pL  5a.  t.  44/ 
 Çhemn.  Conch. 6. t.  a4* f.  240.  241. 
 (b)  Far.  antico  latere  attenuato  ,  obtuse  aeuto-  
 Habite l’Océan  d’Europe,  dans  le sable des côtes. Mon cabinet.  
 Elle  est  presqn’aussi grande que la précédente,  un  peu moins  
 bâillante,  à crochets petit,s. On  la trouve  fossile aux  environs  
 de  Bordeaux. 
 3.  Lutraire  ridée.  Lutraria  rugçsa, 
 Ij.  testé ouata,  albido-Jlauescente  ;  striis  Içngitudinalibus  
 elevatis ,  transversas  minus  elevat as  decussantibus-  
 Mactra  rugosa.  Gmel.  p. 3a6i. 
 Chemn  Conch. 6.  tab-  24' R 236. 
 Encycl.  p.  204* (■   2. a.  b. 
 (b)  Far.  striis  Ipngitqdinalibus  posticis  rarioribus,  magis  
 elevatis. 
 Mus.  n.v 
 Habite  l’Océan  européen ,  oh. elle  paraît  rare.  Mon  cabinet?  
 La variété  b.  vient  de St.-Domingue. 
 C o q u ille   o r b ic u la ir e   ou  sub trigon e . 
 4.  Ln'raire  comprimée.  Lutraria  compressa. 
 V^J'  ’  v  - 
 L*  testa  tenui,  compressa  ,  rotundato-trigonà ,  squalidà ,  
 transversis  striata.j  peçlunculus latas ,  etc.  List,  Conch.  
 t. a5f   f.  88. 
 Da Costa,  Çonch.  brit. p. 200. tab.  i 3. f.  1, 
 Encycl,  pi.  257,  f.  4.  Ligula  compressa ,  ex D. Leach. 
 A n  mactra Listen. Gmel.. p  3a6 i  7 
 Habite  dans  la Manche,  sur  lçs  côtes  de  France,  où  elle  est  
 très-commune.  Mon  cabinet.  Elle  est  d’un  gris sale,  quelquefois  
 jaunâtre  ou  roussâtre. 
 5,  Lutraire  calcinelle,  Lutraria  piperala. 
 L .  testa ovatâ, compressé, transversb  striata v dentibus mi~  
 nimis  ; foveoiâ  magné obliquatâ.  Poiret,  voyage  eu  Barb,  
 j .  p  i 5. 
 Mactra piperala. Gmel.  p.  3j6i .