
 
        
         
		qa’à  la  vingt-troisième ou  la  vingt-cinquième  paire de  mamelons 
  pédiformes. —  Quatre mâchoires. 
 Les  aphrodites. 
 (b)  Branchies,  lorsqu  elles  sont  distinctes,  et  cirres  supérieurs  
 existant  sans  interruption  à  tontes  les  paires  de  mamelons  
 pédiformes—  Deux mâchoires ou aucune. 
 Les  néréidées, 
 (c)  Branchies,  lorsqu’elles  sont  distinctes ;  et  cirres  supérieurs  
 existant sans  interruption à  toutes  les paires de mamelons pédiformes.— 
 Mâchoires nombreuses ;  celles du côté droit moins  
 que celles du  côté gauche. — Première paire de mamelons pédiformes  
 nulle. 
 Les  euniees. 
 §§■   Branchies  en fo rme  de fouilles  très-compliquées ,   
 ou  de  houppes f   ou  d’arbuscules  très-rameux :  toujours  
 grandes  et  très-apparentes.  •—   Point  d ’aci-  
 cules. 
 (d)  Branchies  et  cirres  supérieurs  existant a  toutes  les  paires  de 
 mamelons  pédiformes. —  Point  de mâchoires. 
 Les  amphinomes. 
 LES  APHRODITES.   (Aphroditæ.) 
 Branchies  et  cirres supérieurs alternant,  dans  leur position  
 j  jusqu a  la  vingt-troisième  ou  la  vingt-cin-  
 quieme paire  de  mamelons  pédiformes.  •—   Quatre  
 mâchoires. 
 Les aphrodites  constituent  la  premiere famille  des  né-  
 réidées  de  M.  Savigny,  la  première  aussi  de  nos  anne-  
 lides  antennées.  Ces  annelides  ont  en. général  le  corps 
 plus  court,  quelquefois  plus  large  et  plus  comprimé  
 que  celui  des  autres  animaux  de  cette  classe.  Elles  sont  
 quelquefois  trè^-hérissées  de  soies  fines  qui  ont  des  couleurs  
 variées  et métalliques  très-brillantes,  et  leurs  branchies, 
   quoiqu’externes,  sont  ordinairement cachées  sous  
 deux  rangées  d’écailles  dorsales,  caduques.  Dans  quelques  
 espèces,  ces  écailles  sont  elles-mêmes  cachées  sous  
 un  feutre  qui  les  couvre  et  les  contient. 
 Mais  ce  qui  caractérise  particulièrement  les  animaux  
 de  cette  famille,  selon  M.  Savigny,  c’est  d’avoir  leurs  
 branchies  alternant  dans  leur  position,  jusqu’à  la  vingt-  
 troisième  ou  la  vingt-quatrième  paire  de  mamelons  pédiformes. 
   Ces  branchies  et  cirres  supérieurs  sont  nuis  à  
 la  seconde  paire,  à  la  quatrième  et  à  la  cinquième paire  
 de  mamelons;  ensuite  nuis  encore  à  la  septième,  la  neuvième  
 ,  la  onzième  et  ainsi  de  suite  jusqu’à  la  vingt-troisième  
 ou  la  vingt-cinquième  paire  inclusivement.  Leur  
 trompe  est  armée  de  quatre  mâchoires,  soit  cartilagir  
 neuses,  soit  cornées.  M.  Savigny  y  rapporte  les  mois  
 genres qui  suivent. 
 P A L M  Y  RE.   (Palmyra.  J 
 Point  de tentacules à l’orifice  de  la  trompe. Mâchoires  
 demi-cartilagineuses.  Antennes  extérieures  plus  grandes  
 que  les  trois  autres.  Deux  yeux.  Point d’écailies  dorsales. 
 Tentacula  ad  orijicium proboscidis  nulla.  Maxilice  
 semi-cartilagineoe. Antennes  exteriores aliis  tribus majores. 
   Oculi duo.  Squamæ  dorsales  nullce. 
 Tom e  V .