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4. Vermilie chenille. V e r milia eruca.
V. testa repente , tereti - subulatd , transverse rugosd,
albidâ; lineis Unis ru fis dorsalibus.
Mus» n.°
Habite les mers australes. Elle u’est lisse sur aucun point deson
tube 5 ses rides transverses sont les termes de ses divers
accroissemens.
5. Vermilie subcrénelée. Vermilia subcrenata.
V . testârepente , jlexuosd, albidd ; carina dorsali carinis-
que lateralibus dentato - crenatis j operculo brevissime
conico.
Mon cabinet.
Habite l’Océan Indien, sur le spondyle mntique. Elle se creuse
un lit sur la coquille.
6. Vermilie plicifère. Vermüia plicifera.
V . testa repente , Jlexuosd , cylindrica ; carind \ dorsali
minimd j lateribus pliais creberrimis tenuissimis arcuatis.
Mon cabinet.
Habite la Méditerranée, sur un ;peigne tube d’ un blanc
rougeâtre.
7. Vermilie scabre. Vermilia scahra.
V'• testâ repente, tereti, g ra c ili, Jlexuosd ; dorso cariais
subquinis, minitnis, denticulatis.
Mon cabinet.
Habite dans la Manche , près la Rochelle, sur un peigne. Elle
est différente du vermetus S - costatus de Daudin.
8. Vermilie rubanée. Vermilia toeniata.
V . testa repente, contortd , sublriquetrd, albâ j fas dis
duabus dorsalibus rubro-violaceis.
Mus. n.°
Habite sur une monodonte des mers australes, à la terre de
Diémen.
Etc. Voyez, les vermets de Daudin, recueil de Mém. p.
SANS VËRTÈBRESs
G ALÉ CLAIRE. ( Galeolaria. )
Corps tubicolaire . . . » ', muni antérieurement d’un
opercule testacé , composé.
Tubes testacés, très-nombreux, cylindracés, snbangu-
leux, droits, ondés., serrés en touffes, fixés par leur base, ouverts
a leur sommet. Ouverture orbiculaire, à bord se terminant
d’un côté par une languette spatulée. Opercule
orbiculaire, galéirorme, armé en-dessus de pièces testacées
diverses, au nombre de cintra neuf, dont une au milieu
est linéaire tronquée, et toutes attachées à son bqrd d’un
seul côté*
Corpus tubicolape. . . . antice operculo testaceo
composito instruçtum.
Tubuli te s tac ei nutnerosissimi cylindraçeo-cingu-
la t i, erecto undati conferd , coespitosi , basi a ffiû è i ,
extremitate superiore pervii. Apertura orbicularis ;
margine in lingulam spatulatam hinc terminato.Oper-
culum orbiculare j galeijonne„ valais testaceis variis
supernè armatum. Valvoe quinque ad novem operculi
margine hinc affix ce : unica mediana lineari-truncatd
aliis majore.
O £ S,ER V A T I O N S .
La galéolaire tient sans doute de très-près aux vermilies;
aussi d’abord je les réunissais toutes dans le même genre. Cependant
la considération de leur port tout-â-fait particulier,
celle de la languette de leur ouverture , et surtout celle de
leur singulier opercule , m’ont décidé à les distinguer comme