CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES.
S i les Mollusques offraient des lacunes, que nous
avons cherché à remplir toutes les fois que nous
l’avons pu , nous savions également ce qu’il y avait
à faire dans l’étude des Zoophytes, encore à peine
ébauchée. Les matériaux que nous allons apporter
pour sei’vir à cette histoire sont très-certainement
ceux qui nous ont le plus coûté d’attention
et de constance pour approcher le plus près de
la vérité et laisser le moins possible à reprendre
dans une aussi grande masse de faits, recueillis
tant dans les relâches que sur les diverses mers
que tJslrolabe a parcourues *. Nous les donnons
tels quels, cpioique, mieux cpie personne, nous
saclhons ce que ces travaux ont de défectueux et
ce qui leur manque. Mais ce que les navigateurs
pourront peut-être seuls bien apprécier, ce sont
les circonstances au milieu desquelles ils ont été
faits,les obstacles physiqucsqueprésente un navire.
Lorsque ceci fut é c r it , nous espérions, comme nous l’avons fait pour
les Mollusques , pouvoir donner , soit dans cet ouvrage ou dans une
s u i l c , un allas d ’environ cent planches, relatives seulement aux Zoop
h y te s ; mais des circonstances indépendantes de notre volonté nous font
craindre de ne pouvoir continuer la publication de nos travaux.
Zoologie. T. IV. I