
yôu se ch e zle s Caraïbes g ), les nègres h),
les O ta ïtien s i et mênae les Turcs k-')»
On igno re si cette disposition tient à la
finesse de 1 epiderme 011 bien à l ’ épaisseur
plus considérable du réseau de 'Malphigi.
Les affinités chimiques du corps avec
les élemens de l ’atmosphère paraissent la
cause de la fraîcheur particulière à la
peau chez plusieurs peuples d’A fr iq u e l )
e t des Indes Orientales m ).
g ) « Leur chair est basanée èt fort douce ; il
»> semble que ce so i t du salin quand on touche
»* leur peau. B iet ,Voyage de la France équinoxiale,
page 35x.
A) Pechlin , page 54.
Soemmerring j page 45.
a) Hawk e swo r th’s Collec t ion, T . I I .
ï ) « I l n’y a femme de quelque laboureur ou
» rustic eh As ie ( Turquie ) qui n’ ait une peau si
»> polie qu’il semble toucher à un fin velour. Beloa
ûbse rv . p. m. 198.
I) V o y a g e de Bruce aux sources du Nil, T . I V ,
^ 7n) K a n t , Philosoph für die We l t . P. I I , paga
-%:4-
Ma r sden, page 41,
Enfin l’odeur s ingulière des Caraïbes n j w
des Nègres 0 ) , e t de quelques autres peuples/;
) semble appartenir à la transpiration
insensible de Sahctorius, que de même
l ’aruin particulier à plusieurs variété^
d’animaux domestiques , comme au c h ie n
d ’E g yp te et aux chevaux d’un blanc roux.j
( Germ. Rothschimmel. Gal. V. Rouan.)
71) « Ils ont tous une odeur forte et désagréables
», Je ne puis rien indiquer qui pût en rapprocher,
», l ’idée. Quand on trouve ailleurs une odeur sem-
», blable, on l’appelle aux îles (A n t i l l e s ) une
», odeur de Caraïbe , ce qui prouve l ’embarras ou
», l’on est de la désigner,» Thibault de Chanvalon^,
Voyag e à la Martinique , page 44.
"i - .
o) Schotte on the synochus atrabiliosa , pagei
I04.
His tory o f Jamaïca. T. II. page 252,425.
p) Pausanias rapporte que les Ozoles indigènes
de Locre avaient une odeur infecte.
L a v a te r , Fragmens sur la Ph y s ionomie , T . 4;
page 368.
Jac. Frid, Ackermann de discrimine sexuui»
praeter genita lia , page iq .