
dent lire r ïeu r or ig ine d’un n a in , et leu»
nom èst conforme à cette opinion 2).
§ 74* '
Cause de la stature nationale»
Il n ’existe aucun peuple entièrement
composé de nains ou de géans, Les variétés
nationales de lastature humaine paraissent
( § 71 ) renfermées dans des bornes beaucoup
plus étroites que celles assignées aux
animaux domestiques ( § 29 , et s’ expliquent
facilement par les causes ordinaires
de dégénération.
Le climat ( § 34) : l ’exemple des Lapons
et des Hongrois démontre suffisamment
z ) Pallas semble croire que les QuimoÉj tirent
leur origine d’une généra lioo métive. Il d i t , en
parlant des Nègres ( Obs. sur la form.'des mon-
tag. page 1 4 ) , «11 n’est point nécessaire de r e -
5* courir ici a nu- mésalliance de 1 espère humaine,,
» comme il semble qu’en est arrivé une pour pro-
» du ire les montagnards Congioianes ou (^uimos
g de Madagascar. »
som action : ces deux colonies du mêm©
peuple placées sous un c ie l d iffé rent, on t
pris une stature difiérente.
La nourriture (§ 35) : ha physiologie*
prouve son influence sur la stature ;c est
à des alimens plus abondans que les chefs
des O-taïtiens doivent l ’élévation plus considérable
de leur taille a ). La stature de
plusieurs nations sauvages a sensiblement
diminué depuis .qu’ elles abusent des liqueurs
alkoolisées b).
L ’époque de la puberté : e lle varie chea
les différens peuples et influe beaucoup
sur la stature nationale, La continence fa*0
vorise l ’accroissement de ceux qui restent
long-temps impubères , comme'le remarqua
César sur les anciens Germains, Des jouis,
sances prématurées s’ opposent au contraire
a ) y o r s t e r , Bemerkungen , p. m. 2B6.
b ) Sur les Sauvages de la Baie d’Hudson, V ,
H Ellis Reise nach Hudson’s Meerbusen , page
201. XJmfréville über den gegenwärtigen Zustand
r Buds onsba y, pag. 21,