
vidence est manifeste. Nous nous sommes
également assntésqu’il n’est aucune variété
soit pour la couleur, le v isa g e , a s ta -
tu re > quelque considérable tpi elle
paraisse, q u ín e s e fonde insensiblement
a v e c celles du même o rd re , de manier®
qu’ elles sont toutes re la tive s , et ne t. y
rent qu£ pag Ie degre.
E ’ après cela il n’ est pas étonnant que
leu r classification ne puisse ê tre qu ar t
traire. ;
§ 8r-
U ' ' ■ • Vf fi'' \
l e Genre humain est composé de cinq
variétés principales.
Dans l’arbitraire même, des raisons nous
font préférer une classification à une autre;
ainsi ! après une mûre réflexion et l ’examen
le plus soigneux de toutes les connaissant
ces acquises sur cette matière, )’al cru qu on
pouvait très-convenablement à sa disposition
naturelle , diviser le genre humain
eu c i n q variétés principales que je nomme ■
c m )
A R â c e ou variété Caucasiennes
B ) Mongole.
C ) Nègre.
D ) Américaine.
jÉ ) Malaie.
La variété Caucasiènîie sé trouve plâcê©
la premièré pour des raisons que j ’e xp liquerai
plus bas. '
Elle se transformé en deux extrêmes
îrè s -é lo ign é s , irès-diilérens l ’un, de 1 autre
, la race Mongole et là vàriété A f r icaine.
D eux variétés se rven td e pâssâge de é ë ttë
ï*ice prototype aux deux variétés qui eii
¡Sont les plus éloignées.
La vàriété Américaine entre la Caucasienne
et la M on g o le , là vàriété Malai©
entre la Caucasienne et la Nègre;
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