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et d autres variétés offriraient de semblables
différences dans toutes les parties du
corps.
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§ 3 r -
F orme-du crâne.
t e s variétés de l ’espèce humaine offrent
de légères différences dans la forme du
crâne , mais incomparablement plus fa ibles
que celles qu’on retrouve dans les d iverses
races d animaux domestiques. Le
crâne du nègre ne diffère pas autant de
celui de 1 Européen que le crâne du sang
lie r de celui du cochon domestique, et
la te tem outonné e du cheval Napolitain est
bien plus é lo ign é e d e ce lled u cheval Hongrois,
remarquable parson peu d elongueur
e t par 1 el endue de la mâchoire inférieure.
Campen a observé des fosses lacrymales
tres-profondes sur l ’Urus , tig e des boeufs
dojnestiques. La dégénération les a entiè rement
effacées chez ces derniers.
Je ne parle pas de la prodigieuse allé-
( « o )
ration du crâne dans les poules Pa-
douannes f ') .
§ 3 2*
Causes de dégénération.
La ' ie animale suppose l ’ existence de
de«x iaculi és , dépendant des forces vitales
, et comme les conditions primitives
et principales, indispensables à l ’exécution
des fonctions en général et en pa rticulier.
La première est la faculté de recevoir
l ’actioü des stimulus , de manière que le
corps en soit affecté. "
La seconde, le mode de réaction qui en
résulte et détermine l ’action du solide
vivant.
Aucun mouvement ne s’opère dans la
machine animale sans ce stimulus et la
réaction qui en est la suite.
/ ) P a l l a s S pic i leg. Z o o l o g i e , fase. I V , ;pa g 22.
S a n J i f o c l , M u s é um a n a tomi e . A c a d . l u g d . l>atàv.
T . I , p. 3q6;