
L ’union des blancs avec les nègres donne
des Mulâtres c j.
Des blancs avec les Indiens, des M é tis d).
Des blancs avec les Américains e \ des
Métis, M é t i f s f ), Mestindes g ) ou Marne-
lucks h).
c ) Kle.n Annalen der Gesetzgebung in den
Preaassischrn Staten, T. VII. p. 116.
d) Bruin Reizen over Moskovie, p. rn. 358.
Valentin ond en nieuw Oost-Indien , T. I. p. 2
pag. 18.
e) Garcilasso « por desir que somos mezclados
■’» de ambas Nasciones. »
p *33 TWÍSS S ^raveIs through Portugal and Spains'
) Labat, Voy. aux Isles d’Amérique, T. II.-
P* 132«
h )|de Hauterive, Hist.de l’Acad. desSiences de
Paris, an. 1724. p. ! g.
Des nègres avec les Américains, des
Zamb e s i ) qu’on nomme aussi Mulàti ■es k ) ,
lo b e s t ljfy Caribocas et Kabugles m).
Dans ces produits divers, on reconnaît
la couleur et les traits des père, et des
mères, mais confondus et mêlés parf ite-
ment ensemble Ils sont tous plus ou moins
noirs ou jaunes, et leurs joues offrent à
peine les traces d un faible incarnat. Ils
ont tous les yeux noirs, mais leur cheveux
ne sont pas toujours de cette couleur.
Les mulâtres sont les seuls qui prennent
généralement une chevelure erepue.
z) Gi ly Storia Americana, T , IV . p. 320.
Ti ) Garcilasso.
*1 ) Tvviss.
m ) Marcgrav , Traité du Brésil, p. 12. j