
( )
t^ z rd e s hationfc sauvages. Plusieurs peu-
places des Indes or ien tale s et des Iles d e là
mér qja'cîfiquë emploient divers moyens
pour a lon g e r prodigieusement le lobe de
,1-oreiüe^ Ge ïu* sans doute u n e coutume
ai^ssi bùzairre qui servit de: fondement aux
fables des anciens auteurs qui assurent
qUiilnexiste des peuples ¡ dont les oreilles
son/t d ’ une grandeur monstrueuse.
§ ¿7- i.
Les matnèlles.
- Le s mamelles des femmes de ,queïques
nations sauvages, stirtout d’A fr iq u e p ) et
<3e plusieurs îles de la mer pacifique g )
s o in , d’après une foule dè témoins, longu
e s et pendantes; t i parâît dépendant
q u on a beaucoup exagéré r,), ou que cette
J?) Fermin f Economie animale, T. I , pag. 117.
Ko lb e mpag, 4 74 , ei^p^rljapt flcs Hottentos.
9 ) Schouten , en parlant des habitaos de l'île
d ’Honn. -PalrjfTnple culliectipn, I I , p. 58,- ,
r ) T ow r s a i i j dans la Collection de Vo y a g e s
manière,drètren’ est pas commune i
les femmes d’ un même peuple. On y^it
en effet journellement dans les comptoirs
a,es Européens des femmes des îles de la
mer du Sud s ) , ainsi que ^des n é g re s se^
dont la go rg e est de la plus gran d e .beauté.
A u reste cet te ampl eur des «mamelles 11.0^-
pas exclusive au x options >£3 %
retrouve également en Europe, on: 1)8»
observée jadis f chez f les Irlandaises i «,),, ; ^
de Hakluyt , T . I I , pag. 2 6 , d i t , en parlant des
nègres .du ¿leuye d.e S to V in e e n U « B l u s h s
».feu i l le s .ont d,es ^gpiges^i ¿.normes, que che£
;» ;quelques;Tunes elles pqqrraiçnt s’appuyer sur
j*j la terre., et reposer auprès, d’e lles ..»
Bruce ( V o y . aux Sources du N i l , "Tv I I ,
«pàg. £46. ) assure qu’ il est chez les Shangales de*
«femmes dont les mamelles pendent jusqu’aux
genouX.
«.) Fö r s te r , Bemerkungen, etc. pag. 24.8. ,
Pi AfLithgoitv’s , rare Adv.entures and pain-sul pe-i
r igr inat ions, pag- 4^ *
n .Pai vu dans le nord de l’ Irlande des femmes
» aller en route et vaquer aux soins du ménage