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îeâ cuisses dés Irlandaises sont, d it-o n ,
très-grosses p , *).
Les habitans de la nouvelle Zélande ont
les jambes si volumineuses qu’elles paraissent
oedématiées q}.
On prétend que nos antipodes ont les
jambes difformes et contournées,. et que
ce défaut tient à la m anière dont ils ont coutume
de s’asseoir r).
Les jambes torses sont très-communes
chez les Kalmoucks ; cela dépend de la
forme du berceau des enfans et de l ’équi-
,j> ) Twis s . ,Tpur in Irland, page 39,
* ) Vaillant dit dans son second V o y . en A f r i q
u e , que chez les Hou s\r a nas l ’s femmes ont les
fesses si proéminentes, qu’elles tremblent pendant
la marche , et pourraient servir d’appui aux
pieds des enfans. ( Note du Trud, )
t/) Monneron , ouvrage de la B o rd e , Hist, de
la.mer du Snd, T I I , page 97.
r ) Fo r s te r ’s. V o y . autour du G i o b e j ï , I I , p. 480.
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ta t iô n , à laquelle on l e s habitue dès le premier
âge «?)• r %
Les insulaires de la te r re dè Feu f ) ,
àppelés Pescherais pur Bougairiville u),
but les pieds extrêmement diifotmes.
C ’est surtout en A fr iq u e que les* difformités
des jambes et des pieds d eviennent
nationales chez plusieurs peuples. Les
anciens avaient fait cette observation particulièrement
sur les E g yp tieu s #0 » ^e®
Ethiopiens x ') , et les esclaves n e g r e s y ) .
11 faut aujourd’h u i distinguer chez cea
derniers , trois espèces de difformités des
extrémités inférieures. L a courbure des
s ) Palla« über die Mongolischen V olkerschaf-í
t e n , T . I , p. 98.
I ) Forster’s Bemerkungen, page 24 5v
u ) V o y . autour dû monde', page 147.’
w ) Aristoteles Probl'emat , 5 , 1-4 * page 481.
çd. Casanboni.
ce ) Vi rg i l l i i moretuTTi, ver® 35 , sôq.
y ) Petronii saty r icôn, c- »02,