
aux dévéloppemens de ceux dont-la puberté
est précoce. Cette observation a été
faite dans tous les p a vs par les plus habile®
observateurs c).
Tant que les nations n e .se mélangent
p a s , elles couservent généralement la
même S taline; mais elle s’alièirq sensiblement
au contraire par des alliances aveo
des peuples de tailles différentes ci).
On ne peut douter de l'influence des
auteurs d’une race sur la statuée de leurs
descendans ; il existe des famill s entières
remarquable par la grandeur ou la petit esse
de leur taille.
c ) Vo y a g e de Coock dans l’hérnisphèr-- Sept.,
T. III
T e même, dans Xîawkesworch s collect., F. i l ,
p m. 187.
Mardsen , en parlant des habitans de S'utnatra ,
pag» 41. '
d ) Mauperluis, Vénus physique, p. i 3i.
Variétés fabuleuses du genre humain
Depuis H é rod o te , nos géographes ont
pui$é dan§ des çpurces; (diverses ; e t sur-*
tout dans des écr^s* d’Aristée , de Qtésiaë .
de Mégasthene , le récit d’une multitude'
de formes monstrueuses , attribuées à d ifférentes
nations Ce sont des A rima sp e s ,
q ui n’ont qu’ un oeil , des Çyn amo lgu e sà
tê te de chien , des Monooelis \ "qui n’on j
qu ’une jam b e , (Jes sauvages du Mont-
Imaus , qui ont la pointe du pied en ar*
rière , e t c ,. . , e »
Ce n’ est pas ici qu’i f con vient dé s’a r rê te
r sur cd sujet ; CépeUdarït Une séinblà'ble
recherche offre ÈL-laffois de l’in té rê t et de
l ’ntilité , en faisant voir l ’o r ig in e de ces
fables. Dans l ’anthropûdogie commé^danâ'
toutes les branches dé l'h is to ire n atu re lle ,
il n’est presqù’aucuh fait , quel qu’absurde
qu’il paraisse , qui n’ait pour base une vée
) Jo. A lb . Fabricii Dissert, de homi, or big
nostri in c o i , etc. Hainb. 1721 , 4.
S