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feu de leu r regard y .Le descendans des
Mongoles et des Perses qui ont émigré
aux rudes Orientales, offrent les même»
caractères z ).
§ H-
Les Mulâtres.
Les enfans issus d individus colorés, rs-.
çoivent con tamment une couleur qui
semble le résuhat du mélange des teintes
de leurs pareils, il est cependant des exem-
p le sde métis, qui n’avaient la couleur que
de 1 un d eux a ). Mais en généra l, cette
te in te héréditaire mixte est constante, et
I on peut, sous ce rapport, suspecter le té"
m o ignage de J. Bruce; selon lu i, les enfans
de quelques villages du royaume de T ig re ,
sont toujours noirs, lors-même qu’il n ’y a
que 1 un ou 1 autre de leurs parens de ce tte
y ) Hawk e swo r lh’s , Collection o f Voyag e s ,
T. I I I , p. m. ¿74.
z ) Hodges’s Travels in India, page 3.
« ) Jac. Parsons in philosophical Transactions;
T V , p. 47»
( ‘t f * )
couleur, et l ’union de l’ Arabe avec la négresse,
ne produit que des enfans blançs
comme eux b ).
Les Métis ont r e ç u , suivant la couleur
de leurs parens, d e s noms particuliers. Je
vais les exposer d ’une manière synoptique.
h ) Voyage aux Sources du Nil, 1 .III*H
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