
an cadavre hnmain étaient rares,et l ’amour
de la Zootomie les faisait négliger. Ces
parties sont ;
l e panicule charnu. Ce m„scie sous-
cutané ne se trouve que chez les animaux s
cependant G a h en , ses sectateurs et même
• restaurateur de l ’anatomie humaine
M ' e qui relève si souvent les erreurs
e cet ancien médecin, a'ssurent qu’il
extste dans l ’homme. C e s , Nicolas S,éé
ta Î tqm n0T fi, lep rem ie r c °nnaitre qu’il
était particulier aux brutes,
Le-merveilleux réseau artériel. Galien
m em ,t au nombre des organes internes
de 1 homme ; Vesale , d’après Berenger
a rp i’ démontra qu’il n ’en faisait pas
partie. ^
Le muscle suspenseur de l ’oeil. Fallope
prouve qu J n’appartenait qu’aux ani-
m a u x .
b ’aïlantoi'de.Cette membrane ne se trouve
pas ans le fétus d e l ’homme. On a démontré
( *9 )
dernièrement qu’elle n ’existait que chez
les autres mammifères , mais non pas g é néralement.
Je ne parle pas des organes particuliers
seulement à quelques animaux, quoiqu’on
ait cru que l ’homme en jouissait aussi ;
tel est le pancréas d’Asélius , le conduit
hépato-sistique, le corps d’Highmore.
Je passe également sous silence les organes
exclusifs à quelques genres des mammifères
, mais qui manquent si manifestement
à l ’homme que personne ne les lu i
a attribués ; tels sont la membrane clignotante,
que je place ici quoiqu’ extérieure,
le ligament suspenseur du c o u , etc.
Le trou incisif. Il se trouve situé derrière
les premières dents incisives supérieures
; commun à l ’homme et aux quadrupèdes,
il est simple chez lui et proportionnellement
moins grand ; double chez
la plupart des autres mammifères et chez
beaucoup d’une grandeur considérable.