* Les relation s varient à ce su jet d’une manière
qui les rend suspectes ni).
Les1 voyageurs le s plus exacts, les plus
véridiques, qui ont parcouru ces contrées,
ou gardent un silence profond sur cette
monstruosité, ou b ien , forts du témoign
a g e des in d ig èn e s , assurent que c ’est
une pure fiction n ).
D ’autres enfin rapportent l ’o r ig ine de
cette opinion erronéo.
Les u n s , à ün appendice des vê te -
fnens o .
D ’autres , à la queue des singes anhtro-
pomorphes p
I j a v . ’Tappe, §5jcihrige ostindicheReisebeschrei-
bung , page 40 Cassure des peuples de Sumatra.
ni ) H y a eu trois témoŸns , soi-disant oculaires
, qui parlent d’hommes k queue dans! île de
Formose Jo. Slrausse, J. Ott. Helbig et El. Kesse.
. n ) L e G en t i l , V o j . ns la mer de l’I n d e ,
T . I I , pag, 5z.
o ) Fontana,Recherches asiatiques, T. Î I I
p a g .x 5 1.
p ) C’est ainsi qu’ on a rapporté à un homme à
ï l n’ e x is te pas même un exemple de na*
tioit.à qu.eqè, q u i ait eu pour témoins beu«
laires des hommes qui méritassent d’ê tre
cru s , pas même une çeule fam ille s ign a lé e
par cette étrange anomalie, tandis que
tout le monde sait que plusieurs offrent
des monstruosités d’un autre g en re h é ré ditaires
et constantes, telles qu’un sixième
doigt*, e t c . .
On sent qu ’il n’ est ¡pas Ic i plus question
d e ces individus; qu’on a quelquefois vus ,
même en L u ro p e , et dont le coxis portait
queue le dessin d ’un singe. Çhaque auteur le chan-
-geaVt u n ' peu , ' e t jV h rut par devenir, presque
semblable k cèlui d’ un homme. <
j, dans jsa Traduction dps OEuvres, de
pri t son dessin, dàps‘les ^ménités de Lii>-
neiP^ c e l u i c i le devait 'k Aldrùvand qui l'a vait
pris à Gesner; C e dernier avoue l’avoir tiré d’ une
description allemande ^e) la - f e r r e Sainte j il n’en
nomme pas iau te q r v .ç ’ f s tB e rn a rd Brieydehbacîb
Son dessin était esj$e$;spigpjé. ,$Qn£ing svnf t i a**,
quatre mains , de véritables pouces.,, ,et pn ftji
peu a peu un animal bimane.