
S f saine crIti'l"« a prouvé la vraisem-
blance.
I l existe une race dont la stature, sans
t r e £ig»ntesque , est plus avantageuse et
plus athlétique que celle des autres t )
De Brosses, H;,t. des Nsvig. aux terres austra-
« s , T. J.
Pau w., Recherches sur les Américains, T. L
¡Vojage du Commodor Birba autour du mondé.
histoire d’Amérique de Robertson, T. I.
JForster Bemerkungen.
Com. Carli Rabbi Lettere americane, T. I,
Pennant ofthe Patagonnians. ^
Relation de ultimo viagge al estrecho de Magallanes.
1 7 8 5 , 786.
Zimmermann Geographische Geschichte des
Meunschen, T. I.
t ) C?est ainsi que les témoins les plus véridique*
•nt décrit les Patagons, et tels étaient ceux qui
Vinrent en Espagne àia fin du seizième sièçle , lefi
•euis qu’on ait vus en Europe.
hommes., Les relations que nous en avons
sont si ambiguës et si difféiemes , qu il est
jmpossible de déterminer exactement sa»
grandeur. Cependant, d après des témoins
dignes de fo i, elle n excède pas six pieds
et d em i, mesure anglaise ; cette taille nous
par ai ira moins étonnante si nous faisons
attention que tous les Américains sont
très-grands, surtout ceux du Sud, et qu il
est vraisemblable que ces peuples., comme
les anciens Germains, au rapport deTacntejj*
ne contractent d’alliance avec aucune nat
io n , et conservent par-là, leurs caractères
nationaux dans toute leur pureté.
Les Patagons sont Nomades, comme les
habitans de la Terre de-Feu et les autres
peuplades de l ’Amérique méridionale. Il
n ’est donc pas étonnant que les Européens,
qui abordèrent à des époques différentes
sur les mêmes points de ce pays , n’y aient
Van Linsckotea j qui les vit à Séville, dit, en
parlant d’eux-. — « Waren wel gestatuert ends
grof van leden », etc.