
îes appelaient T a r ta re s , aux vrais Tar-,
tares qui appartiennent , comme je l ’ai d i t ,
a la première variété.
À ù re s te , les Tartares se confondent
avec, les Mongoles par les Kirgu is et les
P eri.pl(?s yoisins, comme les Mongoles avec
les^ Ind ien s , ]es '1 h y b et a n s w ) avec les
•Américains par les EskimosayeclésMalaies
par |es habitans ■ des îles*Philippin es a? ).
” ttiinentia et acuta , superiorem mandib ulaniJiu.—
»inilem et profundam, cfent.es longos et raros ,
» palpébras a crinibus usquë ad nasurn protensas, -
>î oculos inconstantes et nigros , aspectus obliques
» et torvos »éxtremjtatss ossosaaet nervosas, crura '
» quoque grossa , sed t ib a s sbreviofes , statura
% ta in en nobis æqua lis , quo d enirn tibiis déficit
*>in superiori compose compensatur. »
, “0 Pri peut tirer cette conclusion des dessins
faits d’après les habiians du T/bec. par K e t i le , ca
que ni a ia l t voir- \v af. Hastings.
x ) Indien des îles Philippines, que J’ai vu
a Londres .chez Dairy mpl© , offrait parfaitement;
'Cette transition.
C) Variété Nègre.
C e tte varié té se trouve si lo in de nous
surtout sous le rapport de la couleur , que
plusieurs personnes ont cru qu’e lle for-»
mait une espèce particulière. V o lta ire ,
aussi ignorant en physiologie qu’habile èç
manier le rid icu le , partageait cette opinion.
Il devient inutile d e là réfuter, ayant
rendu manifeste ( Sect. III ) qu’ijl n ’existe
pas même un seul caractère tellement propre
et commun à tous les Ethiopiens , qui
ne se retrouve d ’une part répandu çà et là
dans les autres variétés du g en re humain, y/y
" “ t : ..——----~—;— ——r—: gjat
Y ) J ’ajouterai à ce que j ’ ai déjà dit à ce sujet ,
que cette poussière fuligineuse qu’on trouve chez
les Negres , dans Je réseau rauqueux de Malpigî>i,‘
ne leur est pas exclus ive , comme l’ont prétendu1
quelques auteurs ; je l’ai observée , 'quoiqu’on,
.moindre quantité , plus .inégalement distribuée
chez les matelots indiens , qu’on nomme LaScarés.
Mais Je vois une Indienne de Bombay , qui est ma
domestique, devenir avec le temps sensiblement
moins nôire sur les bràs et sur la Ugiire^ tdle cbn- '
serve ailleurs sans altération, la couleur de châtai