éviter l’écueil que nous venons de signaler. Nous
ne joindrons point d’hypothèses aux fa its, parce
que rarement elles avancent la science et qu’elles
finissent par disparaître, tandis que les faits seuls
restent. Nous ne dirons que ce que nous avons vu ;
nous signalerons avec franchise ce que nos observations
laissent d’incomplet, et, ayant pour nous
l’expe'rience d’un second voyage, nous chercherons
à ne commettre que le moins d’erreurs possible.
ANIMAUX
VERTÉBRÉS