affirmer, tl’après l ’examen que nous avons fait des dessins
et des manuscrits, c ’est que to u t annonce que l’histoire
naturelle des animaux en recevra les plus grands et les
plus beaux accroissemens.
En conséquence, nous avons l’h o n n eu r de proposer à
l ’Académie de témoigner de nouveau à MM. Quoy et Gaimard
la satisfaction que leur zèle infatigable lui a fait
ép ro ttv e r, et d ’adresser une copie du présent Rapport à
S. Exc. le Ministre de la m arin e, p our être jo in t à ceux
qui lui o nt été envoyés précédemment.
5 /ÿK é DUMÉRIL ; B a r o n G. CUVIER, rapporteur.
L’Académie adopte les conclusions de ce Rapport.
Certifié conforme.
Le secrétaire perpétuel, conseiller d ’E ta t, grand-officier
de Vordre royal de la Légion-d’Honneur,
INSTITUT DE FRANCE.
Acaîinnif voi)ttle ùfs Sncitcfs.
P a r is , le aG octobre 1S29.
Le Secrétaire perpétuel de l’Académie, pour les Sciences Naturelles,
certifie que ce qui suit est extrait du procès-verbal de la séance du lundi
26 octobre 1829.
L’Académie, qui a déjà entendu avec in té rê t le rap p o rt
qui lui a été fait par M. de Rossel, sur le voyage de découvertes
exécuté sous les ordres de M. le capitaine d ’Urville,
a désiré qu’il lui fût ren d u un compte particulier des tr a vaux
des naturalistes attachés à cette exp éd itio n , et elle
nous a chargés, MM. Geoffroy-Saint - H ilaire , L a tre ille ,
Duméril et moi, d ’en examiner la partie zoologique.
Il nous a été d’autant plus facile de nous acquitter de
ce devoir, que déjà quatre fois nous avons eu occasion d ’entretenir
l ’Académie des envois de ces savans n av ig a teu rs,
et que nous n ’avons en quelque sorte aujourd’hui q u ’à
résumer nos rapports p ré c é d en s, et à les compléter par
une indication des objets qu’ils en o n t déposés eux-mêmes,
à leur reto u r, soit à l’Académie, soit au Muséum d ’histoire
naturelle.
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