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Figure 3. Autre peigne, à une seule oreille, à côtes larges, saillantes
et fortement prononcées : nous ne connoissons rien de semblable dans les
nombreuses espèces qui ornent les plus riches collections de coquilles.
Figure 4. Cette coquille délicate et fragile, encore adhérente à la pierre
qui lui a servi de soutien, a pour analogue, VOstreapleuronectes, L . ,
Nat., sp. 6, vulgairement la Sole, qui vit dans les mers de la Chine
et du Japon, et qui n’est point une huitre, mais un peigne d’une élégance
et d’une fragilité extrême. C’est le Pecten pleuronectes de Lamarck ; la
Sole de Dargenville , planche 27, figure G.
Figure 5. Autre coquille très-mince et aussi bien conservée que la précédente
, n’ayant le plus souvent qu’une seule valve, et si fragile que, malgré
son bel état de conservation, l’on seroit comme assuré de la briser, si
on vouloit la séparer de la pierre. J’ai trouvé sur les lieux, à force de recherches,
la seconde valve, et il résulte du caractère de l’une et de l’autre,
qu’il faut ranger cette coquille parmi les hirondelles, dont Lamarck a fait
le genre Avicule, Avicula, genre 142, page i 34-
C ’est une espèce nouvelle et inconnue : on en trouve de trois fois plus
grandes. Comme cette coquille est presque papyracée, on est étonné de la
trouver en si bon état; il est vrai que les beaux exemplaires n’en sont pas
communs.
Figure 6. Très-bel ostracite avec ses deux valves, de l’espèce nommée
Gryphite. Linné a placé les gryphites, qui sont fort multipliées, dans le
genre des huitres ; il seroit peut-être convenable de les tirer de là , pour en
former un genre particulier. On trouve dans beaucoup d’endroits des gryphites
pétrifiées et même dans l’état fossile, et les espèces en sont nombreuses;
celles dans l’état naturel sont recherchées des naturalistes, qui leur
ont donné le nom de Crêtes de coq, et on en compte déjà plusieurs espèces.
Celle de Maestricht figurée sous ce n®. paroît nouvelle.
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