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Kadou était g a i , savait se faire aimer des ollieiers et estimer
des matelots. Souvent il nous chantait toutes les ehansons ([u’il
savait; il était fier d’avoir tant voyagé; il aimait sur-tout à
chanter un air de 1 ile d’É a p , cpii ressemble beaucoup à im
autre de Radak. Cet air a souvent retenti sur la cime des montagnes
neigeuses d'Ounalaclika ; Kadou passait quelquefois des
heures entières à le repéter; alors le souvenir de sa patrie et
de ses voyages le touchait jnsqu’aii.x larmes.
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