BATfiACIENS CnODÈLES
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ATIIKTODÈBES. G, SALAMAHJÏBE. 1. 57
distinguer que par les plis de leurs articulations ; les doigts au nombre de
i quatre, et les cinq orteils, sont épais et mal développés; ils sont très-
' courts, surtout les deux extrêmes en dedans et en dehors. La peau qui
î recouvre ces membres est noire et irrégulièrement tachetée de jaune.
La queue se confond avec l'origine des cuisses à la base ; elle est véritablement
conique; sa longueur est un peu moindre que celle du tronc, à
partir du cou. Son pourtour est à peu près cylindrique, quand l'animal
n'est pas trop amaigri par l'abstinence, car, dans le cas contraire, on remarque
surtout dans la longueur inférieure, une légère ligne saillante
médiane. C'est au-delà du bassin que se voit la fente longitudinale, ou
l'espèce de vulve extérieure, servant d'entrée ou de sortie au cloaque.
COLOBATION. Nous avons déjà dit que la peau est généralement d'une
couleur noire assez foncée, avec des taches jaunes, irrégulièrement distribuées;
mais par leur disposition , ces maculatures présentent trois Variétés
principales que nous indiquerons de la manière suivante.
Variété A. C'est celle que la plupart des auteurs ont figurée, et entre
autres Roësel, Funk, Latreille, quoiqu'aucune de ces représentations ne
soit absolument semblable ou identique ; mais elles se rapprochent, en
cela que la grande tache jaune de la parotide est arrondie ou terminée vers
la nuque. Quant aux autres taches du dos, du tronc et des membres, elles
sont irrégulières et même souvent, elles n'offrent pas de symétrie à droite
et à gauche, de sorte que nous n'avons pu réunir deux individus absolument
identiques l'un à l'autre.
Variété B. Celle-ci se distingue principalement en ce que la grande
tache jaune de la parotide se continue le long des parties latérales du dos
en deux longues bandes jaunes, quelquefois prolongées jusque sur la queue,
plus souvent interrompues et même ne s'unissant à la grande tache jaune
parotidienne que d'un seul côté.
Le Muséum a reçu de M. le Docteur Bailly, qui l'avait recueilli dans les
environs de Rome, un individu de cette variété d'un aspect bien particulier
encore parce que le fond de la peau est tout-à-fait jaune et qu'on ne
distingue qu'une longue bande étroite, noire, sur la ligne médiane dorsale,
et uneautre de chaque côte des flancs, depuis l'épaule jusqu'au delà de
l'origine de la queue. Cette Salamandre porte également une tache noire
sur chaque parotide dans la région moyenne , s'étendant jusques et au
delà de l'oeil ; il y a aussi quelques petites taches noires sur les membres
mais le dessous du corps est d'un jaune pâle, excepté une petite tache noire
vers la jonction des clavicules.
Variété Q. Celle-ci est très-remarquable parce que les taches^ jaunes
sont rares, arrondies sur leur pourtour, distribuées presque symétrique^