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234 INTRODUCTION
Ies plus reconnus , principalement dans
lArr Verennaire.
La defcripîion des eípeces , envifagées
íous toutes ces faces , fera précédée
de celle du genre confidéré dans les
parties de la fruéHfication , dans la fleur
& dans le fruit, fuivant les principes de
la méthode adoptée , & dans 1 ordre de
íes claffes & de fes feâions. On emplojra
néanmoins dans la defcription les
obfervations modernes , comme plus
e x a f t e s , plus multipliées & plus pré»
cifes (u) . ' r r
Quant aux dénominations du genre &
de l'efpece , la premiere fera Francoife ,
& comprendra le nom , ¿u du
moins le nom le plus connu. La phrafe
Larme de TOURNEFORT , ou des Auteurs
qu u a Cités , fuivra immédiatement 5 à la
uiite viendra le nom générique & fpéciiique
£nvm/du Chevalier LiNxNÉ , auquel
{u) Voyc^l'AvenljJ-emcnt. On a moins mis en iif.af.
les obfervanons modernes , dans les deux premiered
c k f f e s , que dans ]es fuivantes ; les cara^eres de ces
cbiTes ont paru faciles à faifir , fans leur fecours. ii
eir mutile d avertir que lorfqu'on a eu à démontrer
penie de repeter fes caraûeres génériques : on a renv
o y e au genre ; & lorfque , dans la n.e^thode adoptée ,
l e . p e c e compofe on genre différent , on a indiqué le
"I"/ diftingue, fans l'adopter
eoii>me véritablement générique. ^
A LA Î5 0 T ANÎ QUE.
on ajoutera tous les noms étrangers dont
on aura pu s'inftruire.
Tel eft ie plan qu'on a fuivi , & par
lequel on a cherché à raffembler, dans
des efpeces de tableaux , fous un point
de vue fimple & rapproché , un grand
nombre d ' i n i k u a i o n s fondees fur les obfervations
les plus certaines & les plus
utiles : Ou, le Botanifte , dit le Chevalier
LINNÉ , ¿tahhffe Les venus des plantes ur
U fructification , après avoir ohferve leur
p-oût , leur odeur, leur lieu natal ( x ). _ ^
A l'éc^ard des ufages & des propriétés
on'^s'eft contenté de les mdiquer.
1 es'principes qui doivent diriger fur_ ce
point, font développés dans la Matière
^Médicale raifonnée ; on y renvoie également
pour fexplicaîion des termes pharmaceutiques
qu'on a employes.
Dans le choix des plantes uiuelles ,_oii
a préféré celles qui fe trouvent faci.eme^
rit, ou dont la culture eil: aifee ; on
BP s'eft pas borné aux plantes qui ioiit
d'un ufage journalier , on a décnt touoes
celles dont on peut attendre quelques lecours
; on en a même démontre plufieurs
dont on révoque en doute les vertus 5
(x^ Vires plantarum à fruEilficfone dfamatBot^ù^
eu), obfervato fapore, odon , colon & loco. VU. Bot,
pag. 278.
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