
S T A C H Y S palustris»
Epiaire marêcageuft.
'Allemand. Z u m p f Z îe s t .
A n g la is. Clown’s AllheaL
F ra n ça is. Ortie morte des marais.
F le u r it en Juillet et Août 21.
D i b y n a m i e G y m n o s p e r m e,
O rd . N a t. de L innô x l i i. V e r tic illè cs,
. GeNeRiQUES. Lèvre fupérieure de la C o ro lle creufée en voûtes lèvre in fé .
meure réfléchie latéralement. (On voit vers a une fleur réparée.) Segment intermédiaire échancré•
vers b. — E tam in es défleumes réfléchies vers les côtés. *
. CARACipèREs SpéciFiquES. V e r tie ille s dénviron 6 fleurs. — F eu ille s linéaires -lancéolées
fenu-amplexicaules, fesfiles. ’
L e C a lic e ,q u i est d rn fé en ÿ ,e s t rep rèfm té vers c. V e r sd . on m it le s E tam in es e t le P is t il ain/i
au sis Pont p la cés dans la C orolle O n voit vers e un P ù t il avec fe s d eux p e tits S tigm a tes
V ers f f e trouve le C a lice avec le s 4 fem en ces mûres et vers g une de ces fem en ces enlevée du
C a lice . L a T ig e e st g a r n ie , fu r .- to u t, vers la r a c in e , de p o ils ra id es, a in fi que U s nervures
des fe u ille s , dont le bord e t la fu r fa c e fo n t, cependant, ga rn ies de p o ils d ou x. L es F e u il.
le s , d it Ha ller avec r a ifo n , fo n t p o rtées p a r de courts P é tio le s; m a is, fo u s les V e n ic il-
.le s , elles fo n t ahfolum ent fe s file s . L e s V e r tie ille s fo n t cempofés de 6 à 10 F leu rs ■ les in fé r ieurs
en ont le p lu s , ta n d is que les fu p ér ieu rs n’en ont que 6 . L a liv r e in férieu re de la C orolle
est fo r t jo lim en t desfmee e t p e in t e le fegm en t du m ilieu n’est p a s tou jours échancré-, m ais
J ou v en t, feu lem en t fen d u . L a p la n te est ha ute de 2, p ied s. 5 ’
A dd. du T rad, J’ai obfervé une variété de cette plante dont la Tige entière était très veto':
et ne s élevait qu a peme_ a un pied, de hauteur; les Feuilles étaient d’un vert jaunâtre et très
Fleuri (F avrodT ’ q“ ^ for£ court lfétait uompoféque de 3 ou 4. vertieilles, cliâcun de I
L ieu N a t a l . Le long des bords des canaux et des fosfés.
^R isE f; autour dTlARLEM, fur-tout, au Klopjes-cingel't, autour dè L eide f ,
ü trecht f, et NiMeeuE f. — Dans les tourbières près du Cluvings-bosch, dans le Pavs
de Dr en th e ; entre Z wol et D eventer, près de la Ha y e , Sandhorst et ailleurs. V
A dd, du T rad. Elle est fort commune dans les environs de R otterdam, Delfsha-
ven Schibdam, Y sselmonde, N teuw-kerk et Gouda; ainfi que dans les Déparcemens
d ütrecht et de Gueldre, ou eUe croit en abondance. (F avrod.) 1
vaEiété»- indiquée ci-desfus, a été trouvée dans quelques terreins fecs et fablonneux des
Z uC en^CFavL “ “ 1 “ GüELDRE’ eDtr’autres= voiûnage d’AMESFOoRT et de
Usages E conomiques. La racine est très farineufé et petit fervir d’aliment après l’avoir
ftit cuire; quand on la fèche et qu on la réduit en farine, 011 peut en faire du pain TGesner #11111 Les cochons recherchent cette racine avec avidité en fouisfant la terre de leur grouin’
f /: Suec.-) Suckow rapporte que le gros bétail la mange a vec plaîflr; on la regarde c e p e S t
nomme nuifible dans les champs. _ Les abeilles en recherchent les. Fleurs! (Sir; J b l )