
de points, de taches ou marbrures fauves plus ou moins étendues ;
oeil placé à fleur du fruit, grand, ouvert, rougeâtre au fond, à divisions
caduques ou persistantes, lancéolées-linéaires, canaliculées, glabres
ou pubescentes, entouré de zones concentriques gercées; coeur
dessinant une sorte de losange sur la coupe longitudinale, bordé de
granulations assez petites en général; lacune centrale subéreuse, atténuée
vers l’oeil; loges assez profondes, larges, renfermant des pépins
de couleur acajou.
Chair d’un blanc d’ivoire, se confondant presque avec le coeur,
très-fine, ferme, peu granuleuse; eau abondante, sucrée, acidulée,
parfumée et rappelant la saveur de la Crassane sans en avoir l’as-
tringence. Fruit de première qualité.
Quelques pomologistes distinguent la P. Aurore de la P. Capiau-
mont; quant à nous, nous croyons devoir les réunir, la couleur plus
brune que présente la P. Capiaumont ne paraissant pas un caractère
suffisant pour les séparer.
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