: r!
' à
il'
i :
n a
PÉCHER LÉOPOLD l«r.
flxees au noyau, d'un blanc-jaunâtre, ou très-faiblement teintée
de rose près du noyau; eau très-abondante, sucrée, parfumée;
noyau g ro s, ovoïde, ventru, tronqué â la base, mucrone au sommet,
marqué de profonds sillons obliques; stifere ventrale assez
la r g e , sillonnée ; suture dorsale saillante à la base, obtuse vers
le sommet et accompagnée d ’une rainure peu profonde.
Cette variété mûrit ses fruits à la fin de septembre ou dans les
premiers jou r s d’octobre, sous le climat de Paris, mais e lle est
p us précoce aux environs de Lyon où sa maturité se manifeste
dès le mois d’août. [Pomol. de France, Y ., h“ 9. 1868.)
Arbre tree-vigoareux c l en même temps d’une grande fertilité. Le fruit
très-gros, arrondi, mesure sep t centimèlres en hauteur et n eu f de diamètre
son sommet présenté nn tr es-lég e r enfoncement dans le fond duquel sê
û o u v e le point pistilaire très-apparent. La ramure, bien marquée à son point
origine se prolonge ainsi sur une longueur d'environ trois centimètres ; elle
devient alors tr es-peu apparente. La pean e st fine, duveteuse, jaune rosée,
peu ou point marquée de rouge, et maculée de taches blanches; elle se
détaché facilement de la chair, qni e st très-fine et très-fondante; son eau
abondante e st tr es-sn cr ée, agréablement parfumée et quelque peu vineuse
L epoque de maturité de ce beau et bon fruit a lieu du f ' au t3 octobre; ii
eonvient donc de le placer au midi. J'ai reçu ce Péche r de M. Vanorlé, curé
B iv o r t:T L . "
“ “ i* belle et bonne pêche dans
lA tb um de Pomologxe, nous avons pu constater des diITérences notables entre
nrovie “ î “ Rûjourd'hni. Ces différences
proviennent sans doute, en partie, du transport de cette variété sur divers
sujets au moyen de la greffe, mais surtout de la position de l'arbre en esp alier.
- û o u s avons remarqué, depuis 7 à 8 ans, que l'exposition du midi lui
|ï ' I
'f'
PÉCHER LÉOPOLD I” .
e st tout à fait contraire ; l ’arbre y p ousse assez vigoureusement ju squ ’en juillet,
mais aussitôt le s grandes chaleurs v en u es, il se montre languissant, la séve
s ’arrête, les feuilles s ’abaissent, et les fruits qui ré sistent n’atteignent que les
deux tiers de leur grosseur, mûrissent aussitôt et re stent médiocres. Il suffira
donc, nous en sommes assuré, de placer l ’arbre au levant ou au couchant pour
obtenir des fruits plus gro s, plus tardifs, moins colorés et de première qualité.
Le fruit tr ès-g ro s, arrondi, mesure sep t centimètres en hauteur e t neuf
centimètres en diamètre. La peau e st fine, duve teuse, jaune clair, plus ou
moins colorée du côté du soleil ; elle se détache facilement de la chair qui est
très-fine, très-fondante, de saveur sucrée-vineuse agréablement parfumée et
de première qualilé. Le noyau se sépare facilement de la chair. La maturité
a lieu vers le 15 septembre ou dans les premiers jours d’octobre. » Bivort,
Ann. de Pomol. belge, VIII, p. 9.
.'ri
' v'â
•i î:;
ri