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Mais souvent l’accélération est moindre et la première phase
subsiste jusqu’au sommet de l’hypocotylc où la succession des diverses
phases est facile cà suivre.
Bien plus, dans des cas nombreux C), le développement est moins
accéléré encore et la première phase persiste jusque dans le cotyledon
OÙ le cycle complet peut être observé.
Enfin, dans certaines plantes fossiles très anciennes, telles que les
Sp/inioplty/liim, la première phase est représentée dans la tige cutiere.
Comme dans cette plante l’accélération était nulle, cette phase a persiste
ainsi que les phases suivantes, et le cycle sc montre complet dans toute
sa hauteur.
Par conséquent, si nous comparons les Phanérogames actuelles a ce
type fossile, nous constatons que les dispositions primitives de ce type
ancestral sc trouvent conservées complè tement dans la racine, tandis que
dans la tige elles ont à peu près complè tement disparu.
Ainsi, chez les Phanérogames, la tige a acquis, par rappor t à la
racine, une ’ accélération considérable. Cette accélération est telle que, dans
beaucoup de cas, il ne subsiste même plus aucun vaisseau d’origmc
primaire, les premie rs vaisseaux différenciés appartiennent aux formations
secondaires.
En résumé, les différentes dispositions énumérées précédemment
correspondent bien à des phases différentes du développement.
En particulier, la disposition superposée, qui existe dans la tige et
dans la feuille des Phanérogames, ne correspond qu’à une seule phase du
développement de leur racine et cette phase est la plus récente.
Zur Bionomie der Palmen der Alten Welt
von Prof. E. BLATTER, S. J. (')
( P l a n c h e s I -Vl l l )
Bis jetzt sind aus Britisch Indien und Ceylon annähcrend 100 l^almcn
als einheimisch beschrieben worden, sicherlich eine geringe Zahl im Vergleicli
zu vielen Gegenden des Tropischen Amerika. Fast alle sind verhältnismässig
unauffällig, und wenn ein Reisender in Indien Palmen antrifft, welche der
Landschaft ein charakteristisches Gepräge verleihen, so kann er sich zum
vorneherein sagen, dass es sich entweder um Phoenix sylvestris, Borassiis
flahellifer (Planche I) oder Cocos nacifera handelt. Die imposanteste Palme
Vorderindiens, ausgezeichnet durch ihren stolzen Wuchs, ihre riesigen Blätter
und ihren mächtigen Blütenstand, ist die Talipotpalme (Corypha lunbracu-
lifera) (Planches II et III); sie ist indessen selten und auf gewisse Bezirke
beschränkt. Es dürfte sich wohl der Mühe lohnen, die Palmenflora von Britisch
Indien und Ceylon in ihrer Verteilung auf die verschiedenen Botanischen
Regionen etwas näher ins Auge zu fassen.
Wir beginnen mit der Region von Birma, welche die artenreichste ist,
nicht bloss mit Rücksicht auf die ganze Vegetation, sondern auch in Bezug
auf ihre Palmenflora. Sie ist im Norden und Nordosten begrenzt von den
Bergen von Assam und China, im Cstcn von China und Siam, im Westen von
Bengalen und dem Indischen Gzean, und im Süden von Khedah auf der
Malayischen Halbinsel.
Wir rechnen zu diesem Oebiete auch die Andamanen und Nikobarcn.
Gegen 70 Spezies von Palmen sind aus dieser Gegend bekannt geworden,
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viecler g eb en . Wi r h a b e n es v o rg e z o g e n , jenen T e i l ausz.iiwäblen, we lche r ü b e r die l 'a lme n von Hri-
tiscli Indien un d Ceylon mit Eins ch lu s s von Birma band e l t .