
E G H I N 0 C H L O A crus gallî.
panic pied de Coq.
JJotn Allemand. Hüner Fennich.
— - Anglais. Loose Panick-g
Fleurit en Juillet et Août 0 .
T 'r ia n d r ie ^ d ig y n i e .
Ord. Nat. de L in n é IV. Graminées.
B -C a r a c t , G é n é r iq u e s . Les glumea e t les valves de la fleur inférieure hérissées; la glume inférieure très.
iet-ite, roulée en dedans vers sa base. La fleur inférieure- mâle ou neutre à deux valves herbacées, ‘ dont l ’infé-
Mjeure s’amincit en pointe longue ou en soie , la supérieure est bidentée. La fleur supérieur hermaphrodite, à
valves coriacées en durcies, dont l’inférieure s ’amincit en pointe. La graine à deux cornes, non sillonnée, enfe
rmé e dans les valves persistentes de la corolle. Epi composé d’épis partiaux alternes ; épillets unilatérales.
■ Car a e t. S p é c i f iq u e s . Epis alternes ou géminés, à épis partiaux plus ou moins divisés. Glumes plus ou
moins munies d’arêtes et.hérissées.. Axe à, 5 angles.
I Qn voit vers a un épillet séparé ;. la.fleur inférieure neutre vers b,; la fleur supérieure hermaphrodite vers c. .
I Çette espèce de graminée a un port si particulier et des caractères si distinctifs , qu’on la distingue facilement
de toutes nos autres graminées indigènes; mais on rencontre des difficultés plus grandes dans.Varrangement
des vayietés de cette p lante, dont d e G o r t ç r ,, (t>. sa Flora VII Provinciarum ,) a mentionné
H deux variétés différentes».,
F Var. @ locustis longe aristatis ; à épillets • munis d’arêtes longues. G’est avec ces caractères , que celte. -
variété a aussi été indiquée dans ma Flora B elgii «eptentrionalis vol. l~p»..72; mais des ohservotionsultérieures
m’ont appris, que rien n'est plus variable, que la grandeur des arêtes, qui sont souvent: sur le
ipème pied d’une longueur tout à f a i t différente, ce qui est la cause que j e ne crois maintenant devoir nommer
cette forme pas même comme, une variété disttincte. _
Ça Var. ¥ de d e G o r t e r , est le Gramen sorghi effigie de L o b e b, une plante qui ne m’est qu’ imparfaitement
connue,
t Çetle espace s'élève ordinairement jusqu’à 4—6 décimètres; mais de G o r t e r nous apprend, que R a in a
i! 1 e. « rencontré un? plante haute, de 5—6 pieds.
îide; dans les champs cultivés etc.
ées.. M. d e B e i j e r l’a trouvée près :
vue moi-même entre Helsum et Doo-
L ie u nat-a-1. Dans-un terrain fertile- et léger et qui n’est pas trop hu
De G o r t e r en parle - simplement comme une. plante des terres cultiv
-fltNymegen-; M. K o p s a l’endroit dit deGrebbe près de Reenen; je l ’ai
y&enwaard et ailleurs en Gueldre-; entre- Vucht et B o x te l, et près de Valkenswaard-, dans la Majorie de Beis-le-
Duc ; entre Oudega et Garyp en F rise ; et au Scharmer dans la Prov. de Groningen. La plante dessinée est de -
# à dernier endroit.
B La Var. @ a été trouvée par d e G o r t e r aux environs du Oranjeteoud en Frise-; par R a i n v i l l e à Voùr- -
fflburg et dans le Bois de Harlem.
B 'L a , Var. y est indiquée par d e G o r t e r dans les champs stériles et sablonneux.
■ 'U s a g e é c o n om iq u e . Les oiseaux réchercheqt beaucoup, la graine. U .Q u ttu y n ,. C’est, une mauvaise*
3l®ïbe dans nos champs cultivés,.